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lJ~ . Introduction: laforet atoujours eteressentie comme un espace de violence et d'exclusion. - Pour I'homme sauvage. -.Pour Ieheros ensorcele. Reponse c.: ils'agit d'un fait divers local (on precise Conclusion: pour tous deux, la foret est un lieu de Ienom, l'iige etl'adresse de lavictime ainsi que Ielieu refuge. exact de I'accident). Source:Est-Eclair,20/9/97. IIs'agissait d'une conclusion: I'emploi de donc; Iefait de poser une question rhetorique (<Ne serait-il pas 1.Reponse c.:Ielexique estpeu specialise, Ietheme plus sage... ») et prospective (demain...) est carac- n'est pas caracteristique de lapresse grand public. teristique des conclusions. 2. Reponse a.:ilyadansIetitreuninfmitifd'injonction. Source:Lefranr;aisdansIemonde,nO289. Les differentes parties du texte sont nettement sepa- .rees: 1.Reponse a.: ils'agit d'une lettre delecteurs (<Nous Eintroduction, sous forme de question, pose lapro- sommes indignes »)extraite d'une revue municipale .blematique generale. (on mentionne l'Opac, lestrottoirs et lessquares). Lapremierepartieevoque l'amelioration de lacondi- 2. Reponse a.:«Nous sommes indignes»; presence tion ouvriere eten donne deux exemples (<entemoigne de points d'exclamation; la derniere phrase: «Que! .d'abord»,«entemoigneilt aussi»). triste avenir... » La seconde partie prend Ie contre-pied de ce qui pre- Source: Paris, Iejournal, novo97. cede: lesecarts semaintiennent. Iciaussi,deux exem- pIes: pas de propriete ouvriere sans endettement, .limites dela scolarisation. 1.Reponse b.:Ielexique est peu specialise mais trop Laconclusion:ampleur des changements etmaintien complexe pour un public d'enfants ou de jeunes ado- des ecarts. lescents. 2. Reponse c.: il est question de sante (angoisse, . depression, anxiete), mais Ieton n'est pas scientifique .Titre:Pour mieux connaitre LaRue (a commencer par Ietitre). Premier intertitre: Qu' est-ce que La Rue? Source:LaVie,24/4/97. . Deuxieme intertitre: Un salaire, d'accord. Et apres? . Troisieme intertitre: Une totale transparence Reponse b.:ilestquestion del'agriculteur franvais en general et non d'une personne determinee. TermesservantadesignerSan Clemente:cette abbaye- ce chef-d'reuvre -Ie monastere -l'eglise. . On evoque l'evolution de la population agricole depuis 1851,Iepourcentage des hommes ceIibataires Le buraliste: M. Lebideau - il- Iecommervant - Ie .et de celui desrevenus non agricoles. buraliste. Reponse c.:ils'agit d'un article documente dont Ie Les agresseurs: des individus - cette bande - les ton reste neutre. r6deurs - lesmalfrats -Ie jeune agresseur - tout cejoli monde. L'article indique tout d'abord Ielieu.Le titreresume Ie fait divers: un accident etses consequences. L'intro- 1.estdecedee duction resume les faits. Le developpement apporte 2. serendrait (en Chine) des precisions. La conclusion indique les suites de 3. sesont installes - poursuivaient Ieblocage - instal- l'accident. laient un barrage filtrant (occupation de troissitesde Bull). . Introduction: objet de la recherche de Laurence Wylie:lesdifferencesdecomportement gestue!aux 1.L'ancien PDG de Panzani a ete mis en examen. Etats-UnisetenFrance. . 2.Les travailleurs palestiniens reviennent (retour- .Premierepartie: lesgestes typiquement americains. nent, rentrent) en Israel. .Seconde partie: les gestes franvais. 3.La maternite de Pithiviers va rouvrir (sera reou- Conclusion:ilne faut pas trop generaliser. verture) prochainement. -~ du recit des faits toutes. les circonstances qui les Nous exigeons: l'octroi d'une prime; Ie rembourse- entourent (imparfait-decor) et de les commenter ment total de la Carte orange; l'assouplissement (c'est Ie (,temps du commentaire,}). du contrale; l'abandon delapolitique {(zero defaut,). Resumeparagrapheparparagraphe = 1.La France est souvent consideree comme un pays 1.Reponse b.:franchir Iecap de... franchir labarre de... de cocagne. Or larealite estmoins souriante. 2. Le chamage, qui touche beaucoup de jeunes et 2.Reponse a.:La population est passee de 56 a 58 millions d'habitants. engendre la precarite, est la preoccupation majeure des Fran<;:ais. 3.Reponse b.:II n'est pas question dans ce para- 3.Le tissu social se delite, frilosite et instabilite se graphe deprogression, de croissance, mais d'une evo- developpent, surtout parmi lesjeunes. lution, Ievieillissement de lapopulation fran<;:aise. 4. A l'oppose, la situation des personnes iigees s'est . nettement amelioree. 1.Dequoiest-ilquestion?Du baccalaureat. Dequiest-ilquestion?Des 628 000 candidats qui vont Le resume Best plus complet et ph::lsneutre que Ie passer Ie bac (y compris bacs pros et bacs tech- resume A. niques). Quand? Lundi matin (c'est Ie<,dernierweek-end'})' 2.- Baccalaureat - bac- epreuves ecrites, oraux - 1. Serapporte au moment de laparole. seriesgenerales, bac technologique ouprofessionnel- 2. Serapporte au moment delaparole. examen. = = 3.Cejour-Ia Ie25aout- dixjoursplustard Ie4 - Candidats - jeunes - eIeves. septembre. Suggestiond'enoncesplus brefs Repereschronologiques:en 1822 - vingt ans plus tat- 1.Aleur sortie de Matignon, lesresponsables syndi- en 1831 - desormais - en 1843 - pendant huit ans - caux se sont declares de<;:usde leur entretien avec Ie en 1851 - dix-neuf ans plus tard - apres l'abdication Premier ministre. de Napoleon III - sesannees d'exi!- acette epoque- 2.LeQuaid'Orsay dement toute intervention denotre en 1862 - en 1885- a83ans. ambassadeur au Pakistan visant afaire liberer lesdeux jeunes Franpis recemment condamnes a dix ans de detention pour trafic de drogue. Relationslogiques 3.Deux jeunes Marseillais ont realise en stop un tour 1.cause-consequence (sibienque) du monde d'une annee afin d'enqueter sur lescondi- 2. opposition-concession (avoirbeau) tions devieet d'etudes desjeunes. 3. condition-hypothese (conditionnel) 4. opposition (endepitde) 5. comparaison (bienmoindreque) 1.Reponse a.:Tous conditionnes par lacouleur. 6. condition-hypothese (aucasou) 2.Les deux phrases clessont: 7. condition-souhait (pourvuque) - <,Noussommes totalement conditionnes par lacou- 8.but (adesseinde) leur etlesindustriels Iesavent bien.,} 9. cause (craignant:participe present avaleurdecause) - (,Bienentendu, les couleurs n'ont pas de valeur en 10. comparaison-opposition (Si..., il n'en va pas de elles-memes, ils'agit d'une symbolique purement cul- meme) turelle.,) 1. but; 2. consequence; 3. consequence; 4. but; 1.Le texte A ne relate que lesfaits, les evenements 5.consequence. precis; ilsepresente comme une chronologie. Lorsqu'i! s'agit de la consequence: mode indicatif. Dans Ietexte B,tout un arriere-plan est restitue et Lorsqu'il s'agit dubut: mode subjonctif. nous permet de remettre en perspective les evenements :precisions sur la personne de Clovis et sur celIe de son pere ;indications sur la situation et les La premiere phrase ne pouvait etre que la c. La enjeux politiques de l'epoque ;mise en relation des phrase b.paraphrasait la c.La phrase f.etait donnee causes et des consequences (consequences politiques comme une consequence de b. Les phrases a. et d. du mariage de Clovis, consequences militaires de la etaient liees par une relation d'opposition (conduite batailledeTolbiac). universelle /variations d'ordre culturel). La phrase e. 2.Le passe simple est par excellence Ie temps du introduite par brefetait laconclusion~ recit. L'imparfait permet d'ajouter au <n,oyau dur'} L'ordre logique etait: c.- b. - f.- a. - d.- e. ~~ 1. Ordre:f.- a.- d.- c.- e.- g.- b. 1.Arguments utilisespour mettreenconfianceIedestina- - La phrase f. estla seule ne commenc;:antni par une taire: . anaphore (par ex.: Cettefievre...) ni par un terme - lesmembres de l'association sont de hautes figures d'articulation (par ex.: eneffet). C'est donc Iedebut morales ouintellectuelles (prix Nobel, par exemple); du texte. -les «personnalites qui soutiennent Partage» sont - Sondo-manie (f.) renvoie afi(~vre(a.). tres connues (ils'agit d'artistes, essentiellement); -les debuts de la Cinquieme Republique (a.) ren- -1'honnetete del'association estmise en avant (Grand voient a 1962 (d.). Prix de laTransparence) ainsi que son souci de deon- -1962 (d.) renvoie a 1963 (c.). tologie (membre du Comite de la Charte de Deonto- - barometre de popularite (c.) renvoie a simple logiedesAssociations humanitaires) ; instrument (e.). - ily a 50 000 donateurs (qui font deja confiance a - interdisait lorsque cela l'arrangeait (e.) est suivi PARTAGE), de deux exemples: 1963 et 1968 (g.). 2. Unargument qui nerelevepas del'ethique: on rap- - interdiction autoritaire (g.) renvoie a Un tel pelle que 50%des dons sont deductibles des imp6ts coup de force (b.). (vous n'en paierez donc que lamoitie). 2. Titre possible: Sondages politiques :une passion bien franc;:aise. Le texte expose etcommente lesreponses dusondage. IIesttres fortement structure: une introduction; deux Concederquelquechoseaquelqu'un parties: qu'entendent lesFranc;:aispar «patrimoine» ? - On dit souvent, avecquelque raison, que... en quoi Iepatrimoine est-ilperc;:ucomme un bien col- - J'admets bien volontiers que... lectif?; une conclusion. Les differentes parties sont - Tout cela,jene Ienie pas. articulees de maniere ordonnee: d'abord,ensuite,egale- - C'estvrai. ment,enfin. - JeneIecontestepas. - Presence d'infinitifs: «mieux vaut encourager que But decepremierarticle:convaincre lesfemmes d'ar- critiquer», «lesabsences sont asignaler»,«mieux vaut reter de fumer. evoquer l'hypothese d'un redoublement que decider Arguments utilises: l'esthetique (vieillir moins vite, sans prevenir». sentir bon...) -Ie bien-etre (retrouver souffle, gout et - Modalite du devoir: «l'appreciation doit donner a odorat...) -la sante (risques de cancer). l'eleve un conseil», «1'appreciation doit permettre de situer l'elevepar rapport au niveau de saclasse». - Le texte ne s'adresse ni aux elevesni aleurs parents Arguments utilises dans Iesecond article: arguments mais aux enseignants (qui delivrent des «apprecia- d'autorite (on invoque 1'opinion du PrTubiana, can- tions»). cerologue etpresident de la Conference mondiale sur a ante'),etayespar des chiffres (nombre de pages du ra port de cette Commission, pourcentage des deces Texte A: explicatif (on definit un terme) Jco secutifs au tabagisme en France et ailleurs). Texte B: narratif (c'est un recit) Texte C: prescriptif (conseils, dire de faire) m.'~+..m.m..mm Texte D: argumentatif (convaincre) e premier article met 1'accent sur lesbienfaits que Texte E: descriptif. . l'on obtiendra sil'on cessedefumer.Le second,qui emploie un ton dramatique, insiste sur les risques mortels encourus. 1.ON =lesgens de jadis Le premier article s'adresse exclusivement aux jeunes 2.ON=lesgensd'aujourd'hui- femmes soucieuses de bien-etre, Iesecond s'adresse a 3.,4. et5.ON=Iemourant,jadis tous ceux (mais surtout aux femmes) qui desirent 6.ON =lesgens,jadis eviter desrisques majeurs. 7.ON =vous,lecteur 8.ON =moi,auteur. - Lionel Jospin a comme destinataire: «vous »; Jacques Chirac s'adresse a: «Les Franc;:ais»,(<ils». Le narrateur esticiomniscient: ilvoittout etsaittout. - Lionel Jospin insiste sur 1'idee de faire quelque Il sait, par exemple, ce que pensent et ressentent chose «ensemble» et sur Ietheme «ma victoire, c'est Charles Bovary et Rodolphe. D'autre part, ildonne la votre »;Jacques Chirac pose tres nettement une son propre point de vue sur 1'audace de Rodolphe ou alternative (soit..., soit...) et avertit des conse- la mediocrite de Charles: «Il ajouta meme un grand quences nefastes d'un mauvais choix. mot, Ieseulqu'il aitjamais dit... » _mm.,,~ - Letitre:meurtre (c'est-a-dire laviolence poussee a Termes exprimant Iacomparaison/opposition: alors que - son paroxysme) dans une ecole (c'est-a-dire Ielieu en revanche - tandis que. de I'innocence). - Le«heros»:sesmceurssont incomprehensibles et (1) Reponse a.:maximaliste/minimaliste (cf maxi- celaestimplicitement attribue ason caractere d'etran- mum/minimum) . ger. Sanationalite est d'ailleurs indiquee. Sareaction (2) Reponse b.: universaliste (l'universel s'opposant a estpresentee comme anormalement violente, dispro- ce qui est determine par Iecontexte, relatif en fonc- portionnee aI'insulte, banale. L'adolescent aagi avec tion du contexte). une (,froideur»impitoyable et avecpremeditation (cir- constance aggravante :ilestrevenu executer son geste ('entaxi»). verbes servant dans Ietexte aexprimer I'opinion - La famille (des femmes, qui plus est) est restee - sansjugementdevaleureneux-memes:considerer (,impassible ». que - trouver + nom + adj. - juger + nom + adj. - estimer que - penser que - etre d'avis que; - avaleur positive: s'emerveiller de + inf.; La premiere version (Liberation) est moins precise, - a valeur negative: deplorer + nom - rechigner a moins objective et nettement plus favorable aux deux + inf.- seplaindre que - regretter que. femmes. Cet article insiste sur: - lafragilite physique (etsociale) de lavieillefemme; -Ie caractere non de!ibere deI'offense (un geste mal- 1. verbesqui,dansIetexte,expriment Iesoutien,I'accord: encontreux, un malheureux hasard) ; sefeliciter de + nom - applaudir - approuver. - Iecaractere odieux et labrutalite du policier dont Ie verbesexprimant Iedesaccord,l'opposition: critiquer- racisme estfortement sous-entendu. denoncer - s'e!ever contre. 2.La lecture du texte permettait de deviner Iesens de mitige :lesopinions ne sont pas unanimes, ellessont Laphrase I estautoritaire: c'est presque un ordre. partagees (entre celles qui sont favorables et celles La phrase 2estlaplus classique: polie sans exces. qui ne Iesont pas). Les phrases 3et4indiquent une reserve plus grande, une nette (,mise adistance ».Iei, lespasses (imparfait et conditionnel passe) ont une valeur modale etnon 1.Les deux premieres phrases qui servent d'introduc- temporelle. tion et les deux dernieres qui servent de conclusion refletent I'opinion personnelle deFrans;oiseGiroud. On peut noter qu'i! estfrequent devoirl'auteur s'exprimer Cetechangenous laisseimaginer quelesrelationsentre enintroduction ou,plus souvent encore, en conclusion. Mme X etI'epicier sont quotidiennes (,A demain'»), 2.Le ton estmoqueur. anciennesetconfiantes: -I'epicier sait qui est (,Paul ,),qui est (,Aline ,)et connaitlesraisons du conflit quilesoppose; 1.Reponse c.:donner quelques conseils aux parents. - Mme Xexpose devant luisesconceptions de lavie, 2. Correspondance questions/reponses (entre paren- de I'amour, etluifait part de son sentiment sur cette theses, ce qui vous permettait de relier une question (,situation ,). etune reponse) : . - d. et 1.(conditions renvoie a conditions ideales, utilisation du conditionnel); Reponse B: laquestion portait surIesens de l'expres- - c.et 2. (coucher tot renvoie aheure du coucher, sion (,faire recette »et non sur ce que voulait dire Ie se coucher a 20heures); journaliste. - e. et 3. (qualite du sommeil renvoie a mauvais sommeil ou sommeil agite) ; - a.et 4. (combien d'heures de sommeil renvoie a La question pourrait etre: Quels sont, dans ce texte, gros dormeurs, petit dormeurj; lesverbessignifiant: (,infligerune defaite al'ennemi,)? - b.et 5. (rentree scolaire renvoie aecole, rentree, recreation, cantine, resultats scolaires). '-*,- Reponse A: la reponse porte precisement sur Ie patrimoine de rapport et non sur lasituation desper- 1.Evoquaient l'«environnementaffectif,): sonnes retraitees en general. - dans Ie premier paragraphe, les deux dernieres phrases; - dans Ie deuxieme paragraphe: (,Ce qui compte, Termesexprimant Iaressemblance:seressembler - des c'est Iemoment d'echange avec les parents ,)et (,Le similitudes - lameme - peu different - comparable. temps passe ensemble estindispensable »; - dansIedernierparagraphe:(,Iifautechanger,parler aveclui». 1.Elements essentiels:un accident entre une mota et 2. Dans Iequatrieme paragraphe, lorsque Helene De une voiture 75-Ie jeune amota abrule un stop peu Leersnyder dit (,je»et se pose en conseillere auto- visible - samedi, vers 16h 45 a Chennieres, pres de risee: ('Jedonne toujours ce conseil aux parents. » Liars (dans laregion grenobloise) - nationale 85-Ie jeune aseulement une jambe cassee. 2.Entrefiletpour Iejournal local: Reformulations Motocyc1iste accidente a Chennieres 1. ... il deteste repeter (ou dire deux fois) la meme Samedi, vers cinq heures, un jeune motocycliste aete chose. victime d'un accident assezgrave.BrUlantIestop,peu 2. Afin de Iepersuader de renoncer a son projet, ses visible, ils'est engage sur la nationale 85 et apercute deux amis serelayerent mais en vain. une Renault 19.Les gendarmes de Liars ont trans- 3.Je vais vous expliquer tres precisement comment porte Ieblesse aGrenoble. (ou de quelle maniere) tout ceci estarrive. 4. Iim'a propose de partir aMilan mais personnelle- ment (ouquant amoi), j'aurais prHere Venise. 1.Lesdeux motsimportants: mariage - baisse. 5. ... se sont revelees vraies (dans (,avere.>,ilya deja 2.Propositionsdetitre: (,vrai»). - France: lafindu mariage - Mariage :tendance toujours alabaisse - France: lamariage toujours enbaisse ~rbes remplar-antunelocution a. sejourner trois mois - b. communiquer une decision- c.informer desrumeurs - d.ranger, classer des Selon lesmedias, la violence actuelle serait due aux papiers - e.nuire asareputation. frustrations des exclus delasociete de consommation. Reformulations Relation d'opposition: Bien qu'ils aient toujours une 1. Selon l'INSEE, les revenus des retraites, en retard reputation de gastronomes, lesFran<;:aisconsacrent sur ceux des actifs dans lesannees 80, pourraient les de moins en moins de temps apreparer les repas, y avoir rattrapes, voire depasses. compris Iediner, souvent pris (,sur Iepouce ». 2. D'apres les experts, les disparites entre les pays Relationcause/consequence:Etant donne lesconditions occidentaux diminueraient alors que celles existant de vieactuelles (travaildesfemmes, journee continue, entre lespays en voie de developpement s'accentue- etc.), Ietemps consacre aux repas aconsiderablement raient nettement. baisse depuis vingt ans. Reformulation: Au Moyen AgeIepauvre aune double Suggestion de termes marquant laprogression dans Ie image: celui qui provoque Iedesordre dans la cite et raisonnement celui par qui Ieriche, en lui faisant l'aumone, peut 1.Tout d'abord - en premier lieu. assurer son salut eternel. 2.egalement- aussi- enoutre. 3. De plus - en outre - par ailleurs - d'autre part- Ensuite - En troisieme lieu. Reformulation: Etant une He,la Corse est dHavorisee 4. pour finir - enfin - et ce seramon dernier point. car elle est loin des grands centres economiques de 5.Bref - en somme - au total - en un mot - par l'Europe; son aridite empeche toute agriculture ren- consequent. table et la condamne au (,monotourisme »,ce qui ne suffit d'ailleurs pas ala rendre autosuffisante. C'est donc l'Etat fran<;:aisqui assure, a60%,lesressources 1.et 2.d'ailleurs des menages corses. La mieux lotie des regions du 3.et4. ailleurs continent re<;:oitlamoitie de cessubventions. 5.par ailleurs. 1.En trente.ans, Ienombre des etudi;mts aquadruple, a. Comme Iepersonnel navigant d'AF a depose un depassant aujourd'hui les deux millions. Ces nou- preavis de greve pour Ie8 novembre, des perturba- veaux etudiants viennent essentiellement des classes tions sont a craindre ce jour-Ia. moyennes et ne sont plus les meilleurs eleves des b. Le personnel navigant d'AF adepose un preavis de lycees,ceux-ci prHerant s'orienter vers desformations greve pour Ie8 novembre, sibien que des perturba- plus selectives, comme lesgrandes ecoles. (45 mots) tions sont a craindre cejour-Ia. 2. Lareforme de 1997tente deremedier aux difficultes c. Des perturbations sont a craindre Ie8 novembre des nouveaux etudiants par l'instauration de tutorats et prochain en raison du preavis de greve depose par Ie lamise enplace d'un semestre d'orientation. (25mots) personnel naviguant d'AF. 3.meme si(+ indicatit) a. Bien qu'il soit interdit de fumer dans les lieux 4. egalement - aussi - par ailleurs 5. comme - comme par exemple entre autres. publics, la reglementation n'est guere respectee, en particulier. .. b. Le gouvernement a beau interdire de fumer dans Exempledetextestructure leslieuxpublics, beaucoup ne respectent pas laloi,en Les medias nous presentent souvent lavieen banlieue particulier. .. sous un jour bien peu avantageux. 11n'est Ieplus sou- c.En depit de lareglementation interdisant de fumer vent question que des banlieues a problemes ou la dans leslieux publics, beaucoup continuent aIefaire, delinquance et Ie racket feraient rage. Certes, tout en particulier. .. n'est pas roselorsqu'on vitenbanlieue, meme s'ils'agit d'une banlieue tranquille. On peut, par exemple, se sentir un peu eloignedesplaisirs delavilleque lamau- Suggestiondephrasesexprimant lacondition vaise desserte de bien des communes rend difficile- etl'hypothese ment accessibles. D'autre part, on ne peut nier que 1.En travaillant un peu plus regulierement,.. . l'architecture du {t<out beton ,)laisseparfois adesirer. 2.Au cas ou;e ne pourrais pas venir... Cependant, c'est souvent en banlieue que l'on peut 3. Sans cet embouteillage,... trouver des logements plus spacieux, Ie calme, des 4.Mieux renseignes,... espaces verts... En outre, les municipalites multi- 5. ... a condition d'avoir termine... plient lesinitiatives pour rompre I'isolement des habitants: ons'integre beaucoup plus vite etlasolidarite y estplus manifeste. Premiercoupledephrases Dernier point a considerer, et non des moindres, a. C'est parce qu'il a travaille jour et nuit pendant les prix en banlieue sont tres nettement inferieurs a des mois pour reussir son examen qu'ill'a obtenu ceux que l'on pratique a Paris, que ce soit pour Ie brillamment. logement ou pour l'alimentation. J'ai longtemps vecu b. Ayant travailIe jour etnuit pendant desmois pour a Paris, jevisactuellement dans un pavilion aBagno- reussirsonexamen, ill'a obtenu brillamment. let.J'ai deux chats, un petit bout de jardin OUje cul- c. Comme ilatravaille jour etnnitpendant desmois tivemes rosiers. Et Paris estquand meme adeux pas. pour reussirson,examen, ill'a obtenu brillamment. Bref,j'aimis en pratique Iesouhait d'Alphonse Allais: Secondcoupledephrases mettre Paris alacampagne. a. Malgre I'appel des pouvoirs publics a aller voter dirnanche,plusd'un tiersdeselecteurs sesontabstenus. b. Les pouvoirs publics ont eu beau appeler les .1.Plan detaille Frano;::aisa{<faire leur devoir de citoyens ,)dimanche, En 1945, IeJapon renono;::aa son systeme familial,Ie plus d'un tiers d'entre eux sesont abstenus. .ie(concept de «famille-souche ,». c.Les pouvoirs publics ont appele solennellement les Ce systeme a pour but de preserver la lignee: la Frano;::aiasallervoter dimanche. Plus d'un tiers d'entre charge se transmet de fils aine afils aine et celui-ci euxsesont neanmoins abstenus. doit maintenir Ierang de la {<maison,),s'occuper de .sesparents et du culte des ancetres. La loiasupprime Ieiemais son esprit demeure: Textestructure -l'aine reste charge du culte des ancetres; Dans les annees 65/70, bien que la liberalisation des - ilsuccede asonpere alatete de l'entreprise; mreurs ait deja commence, la contraception etait -.ilveilleau bien-etre de sesparents ages. encore peu pratiquee et 10% des femmes etaient Le Japon joue donc sur deux registres: celui du meres avant 20ans. passe et celui delamodernite. Aujourd'hui, lesjeunes fillesetudient plus longtemps 2. Compterendu et maltrisent leur fecondite. Ceci, joint aux effets du En 1945,IeJapon sevit oblige de renoncer ason sys- ch6mage, lesincite aretarder la naissance d'un pre- teme familial traditionnel, Ieie,fortement marque par mier enfant. Ie confucianisme et caracteristique d'une societe de 60%desfemmes nees en 1945 etaient meres a25 ans. type agricole, qui etait alabase de son ideologie mili- Pour cellesquisont nees en 1965,moins d'un tiers est taro-fasciste. Le ieavait pour but de maintenir atout dans ce cas, alors qu'on constate, en revanche, une prix Iebien-etre, la cohesion et Ierang de la famille; nette augmentation des {<jeunes meres ,)de plus de c'est au filsaine qu'incombait cette responsabilite. En 30ans. cas d'absence d'heritier male, iletait courant d'adop- ter un fils,sipossible Iemari delafilleainee.Actuelle- ment, silaloine porte plus trace de ce systeme, Iesta- Retablissementdeslienslogiques tut du fils aine demeure preponderant: c'est lui qui 1.cependant - pourtant - neanmoins - toutefois veille au culte des ancetres, ilsuccede a son pere ala 2.s'explique par tete de l'entreprise etc'est aluid'heberger sesparents ~ vieillissants. Comme souvent, IeJapon donc asu allier Tout d'abord, cela leur permettrait d'organiser avec son adaptation alaviemoderne ason sens des tradi- lesenfants des activites plus longues (sederoulant sur tions. (150 mots) l'ensemble du week-end) et donc de resserrer des liens familiaux souvent un peu rel:khes. Le mercredi resterait Iejour consacre aladanse, ala Propositiondeparagraphes musique ouad'autres activites sportives etculturelles 1.Ce n'est qu'en 1886 que parurent LesIlluminations, propices a l'epanouissement de l'enfant. Ce serait, redigees par Rimbaud douze ans plus tot. IIy resta toujours pour ceux qui Iedesirent, Iejour del'instruc- indifferent, comme ill'avait ete en 1883,lors des pre- tion religieuse. mieres publications de ses reuvres. En effet, depuis Certes, en contrepartie, lesvacances seraient un peu 1875, il avait abandonne toute activite poetique et plus courtes, larentree s'effectuant plus totetlasortie s'etait lance dans lacarriere du commerce. plus tard. Mais est-ce vraiment un mal? Les parents 2. C'est avingt ans tout juste, en 1874, que Rimbaud s'accordent apenser que les«grandes vacances» sont ecrivit enAngleterre l'un de sesplusbeaux textes, Les trop longues et que lesenfants, qui finissent par s'en- Illuminations.Des l'annee suivante,ilabandonnait toute nuyer, aspirent eux-memes aretrouver l'ecole. activite poetique pour voyager et faire du commerce. 2. Contre la semaine scolaire de 4jours Son renoncement fut siabsolu que lapremiere publi- Reduire la semaine scolaire a quatre jours nous cation desesreuvres,en 1883,Ielaissaindifferent. semble une absurdite, meme si certains parents s'en feIicitent, estimant que cela va «sauver» leur week- end. Ont-ils songe, ces parents-la, que tout Iemonde Texteapartir d'unplan lineaire ne dispose pas d'une residence secondaire ou l'on Introduction: Le cafe estune institution bien franvaise peut aller semettre au vert desIevendredi soiret que etlorsque l'on v~utevoquer Iecharme de laviequoti- les enfants risquent bien souvent de trainer deux dienne en France, on represente souvent des jeunes jours de suite en villesans savoir que faire? gens prenant Iesoleilaune terrasse debistrot. D'autre part, touslesenseignants s'accordent adireque C'est a la fin du XVIIesiecle, en 1686 exactement, Ielundi matin, les enfants somnolent et ont presque qu'ouvre Iepremier cafeaParis,IeProcope, qui existe oublie apres deux jours d'interruption cequ'ils avaient toujours. A cette epoque, ils'agit d'un etablissement appris lasemaineprecedente. luxueux oul'on deguste cafeouglacesen discutant de Si l'on adoptait, au niveau national, la semaine de litterature et de politique. Le succes est immediat: quatre jours, les enfants auraient quelques jours de vingt-cinq ans plus tard, ilyatrois cents cafes aParis, vacances en moins. Ce n'est pasun probleme en soi, tres frequentes. Ala veille de la Revolution, on en sauf bien sur s'il y a des enfants d'iiges differents et compte 1800 et plus de 4 000 en 1807. Pendant les donc desrentrees tres echelonnees. cinq annees de la Revolution, Ienombre des cafes a double! Et surtout, une foisencore, l'interet desparents l'em- porte sur celui des enfants. Depuis des annees, les Au XIxesiecle,semultiplient desetablissements moins specialistes (medecins, psychologues ou educateurs) prestigieux, les«assommoirs» oul'on sert de l'absinthe Ie repetent: c'est la journee d'ecole qui est trop aux proletaires. longue enFrance etnon la semaine. Au tournant du siec1eapparaissent les «bougnats » a venus d'Auvergne chercher fortune Paris: ilsouvrent des «cafes-bois-charbon f).Actuellement, lesAuver- Plan Mti suruneopposition(2) gnats sont encore majoritaires dans laprofession. Le nombre des cafes en France diminue d'annee en La suppression du service militaire II y a quelques mois, Ie gouvernement franvais a annee: ils ont perdu leur fonction sociale qui en fai- saitIelieu meme de laconvivialite. Apresent, ce n'est rendu pubIique sa decision de supprimer Ieservice militaire. La plupart des jeunes gens ont applaudi a souvent qu'un lieu ou l'on passe en vitesse et seul cette rHorme qu'ils reclamaient depuis longtemps, prendre un cafe ou manger un sandwich et non un endroit ou l'on seretrouve entre amis. considerant que cette annee de service etait une annee perdue qui interrompait leurs etudes, lescou- Conclusion: Que les touristes se consolent: il reste quelques beaux cafes a Paris, certes un peu chers pait de leur environnement et ne leur apprenait rien mais indiscutablement prestigieux, comme LeFlore, d'utile pour l'avenir. IIest vrai que, desormais, l'ar- LesDeux-Magots ou La CloseriedesLilas. mee abesoin de specialistes et non de jeunes peu effi- (35Iignes) caces en cas de conflit. IIest vrai aussi que lavaleur democratique du service national, tant de fois invo- quee, est de moins en moins vraie :lesfilsde cadres Plan Mti suruneopposition(1) superieurs parvenaient plus facilement a se faire 1.Pour la semaine scolaire de 4jours exempter que lesfilsd'ouvriers. La semaine de quatre jours, laissant libres Iemercredi Le service militaire n'est plus un passage rituel dans et Ieweek-end, semble plebiscitee par de tres nom- la vie d'un homme, pas plus que l'entree en sixieme, breux parents qui yvoient de multiples avantages. la communion ou Iemariage. IIest loin Ietemps OU c'etait pour Iejeune paysan lapremiere (et souvent la Les incitations financU:res, telles que les allocations seule) occasion de voirdu pays. familiales, par exemple, ne suffisent plus. Les femmes Et cependant, onne peut s'empecher de ressentir une desirent pouvoir concilier travail et maternite et don- certaine nostalgie a I'idee que cette institution, qui ner aux enfants Iemaximum de chances. C'est donc remonte alaRevolution fran<;aise,vadisparaitre.Effec- I'ensemble des conditions de viequ'il faut considerer: tuer son service, c'etait, au-deIa d'une corvee, faire construction de creches ou d'ecoles maternelles, loge- preuvedesenscivique,serevendiquer comme citoyen. ments plus spacieux, possibilite de travail a temps Le service etait aussi Ieseullieu, souvent, ou se ren- partiel, etc. contraient des jeunes issus de milieux differents et ce Face a cevieillissement,une question cruciale sepose: brassagesocial aidait sans aucun doute ala cohesion dans vingt ans, dans trente ans, quipaiera lesretraites? nationale.Et puis,sipour beaucoup, l'annee deservice La France vieillit mais certaines entreprises s'en etaitune annee perdue, pour d'autres, I'armee donnait rejouissent: lespersonnes agees, siellesne produisent une «seconde chance >}(formation professionnelle, plus, disposent, en moyenne, de revenus superieurs a possibilitedepasser Iepermis de conduire.. .). ceux des actifs et consomment beaucoup. (25 lignes) (36Iignes) Plan mixte:chronologiquefparcategories 1.Les critiques B etD emanent plutot desmedecins. IIsemble que lapresse quotidienne aillemieux, apres Les critiques C,D, G etI,desenseignants. un declin continu de plusieurs annees. Ce redresse- Les critiques A,E,F, H etJ des parents. ment est particulierement net pour LeMonde qui a 2. Texteargumente retrouve cette annee son equilibre financier. IIestquestion d'etendre aI'ensemble de laFrance la SiI'on examine l'evolution des tirages de nos quoti- semaine scolaire de quatre jours (lundi, mardi, jeudi, diens depuis la guerre, on constate qu'apres I'explo- vendredi), dejaappliquee dans bon nombre de depar- sion au moment de la Liberation, la tendance gene- tements. rale estalabaisse depuis lesannees 50. Les critiques, nombreuses, emanent aussi bien du Certes,la situation delaFrance en 1945explique l'avi- corps medical que des professeurs ou des parents. ditedeslecteurs, privesdenouvelles depuis quatre ans: Les medecins tirent la sonnette d'alarme :pour eux, cette annee-Ia, ilya 26 quotidiens aParis (contre 10 ce rythme est aberrant, il ne peut provoquer que aujourd'hui) tirant aplus de quatre millions et demi desequilibre nerveux et fatigue. C'est aussi lafatigue d'exemplaires (contre apeine deux millions et demi desenfants queredoutent lesenseignants et peut-etre actuellement). Cette soif d'informations ne dura pas. aussilaleurpropre. Vne semaine ecourtee, celasigni- Cinq ans plus tard, les tirages a Paris avaient baisse fieen effetdesjournees plus chargees siI'on veut res- d'un bon millionetnombre detitres avaient disparu. pecter Ieprogramme scolaire. Actuellement, alors que la France compte dix-huit lis soulignent par ailleurs certains effets pervers tels millions d'habitants de plus qu'en 1945, les tirages que I'inattention ou la tendance au «zapping.). Pour ont diminue de moitie. La province tire un peu mieux de nombreux parents egalement, cette reforme ne va son epingle du jeu puisqu'il reste 65 titres et plus de pas de soi.Adieu les samedis tranquilles. Que faire sept millions d'exemplaires. des enfants tout Ieweek-end lorsque I'on ne possede Comment expliquer cette desaffection des Fran<;ais ni maison de campagne ni Jardin?Revenir autour du pour leur presse quotidienne ?On avance generale- 25 aout pour la rentree des petits, c'est abreger les ment trois causes. La premiere concerne la concur- vacances et ({punir >)les enfants plus ages dont les rence de latelevision. Cet argument estdiscutable car rythmes scolaires sont differents. d'autres pays, comme la Grande-Bretagne ou Ie II semble que Ie ministere de l':Education devrait Japon, possedent davantage de televiseurs sans que la ouvrir un vrai debat sur cette question et prendre en presse en souffre. consideration I'avisde ceux que preoccupent la sante Leprix desjournaux semble un argument plus impor- etl'equilibre desenfants. (15lignes) tant, il depasse de loin celui de beaucoup de pays europeens. La derniere raison estpeut-etre laplus importante: la 1£plan-raisonnement qualite des quotidiens laissesouvent adesirer etbeau- Texteargumente:Baisse de la natalite en France coup hesitent aacheter - cher - un produit de qualite Comme sesvoisins europeens, laFrance vieillit,faute tres moyenne. d'un taux denatalite suffisant. Etudes plus longues et precarite de I'emploi condui- sent lesjeunes couples a retarder la naissance d'un Commentairededonneeschiffrees(1) enfant, souvent jusqu'a latrentaine. Actuellement, l'esperance de vie a la naissance en Avecla contraception, la fecondite est parfaitement France est de 74,6 ans pour les hommes et de 82,2 maitrisee et l'enfant toujours desire. Pour cet enfant ans pour lesfemmes, ce qui en fait Iepays d'Europe «programme »,les parents veulent de I'espace, une oulalongevite estlaplus grande. IIs'agit d'un pheno- bonne education, desloisirs... mene relativement recent: ily acent ans, lesFran<;ais