En bas, le pilote distinguait confusément des maisons assez rapprochées. Cette région, en bordure de mer, étant la plus fertile de l’Iran, et par conséquent la plus habitée, il craignait de provoquer des dégâts.
D’un instant à l’autre, les réacteurs allaient se taire. Il ne pourrait plus compter sur eux pour ralentir jusqu’à la vitesse zéro, permettant de se recevoir n’importe où !
A cette hauteur, privé de ses réacteurs, le K II tomberait comme une pierre et Jean n’avait pas de parachute.