Ni autobiographie d’acteur ni roman, C'est beau une ville la nuit est « une balade, l’œil et l’esprit grands ouverts au vif de la ville et au droit à la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d’espérances ». Un blues en prose, ponctué de chansons, écrit par l'homme Bohringer à ses amis vivants ou morts, aux femmes qu’il a aimées, à la vie, à la page blanche. L’enfance maudite, l’alcool, les coups de chagrin, l’héroïne, il aura tout connu, pour s’octroyer quand même, au terme de son errance, le droit à l’amour, au bonheur, à l’écriture.
« Vie je te veux. Je t’ai toujours voulue. J’avais pas le mode d’emploi. »