c) La relation horizontale : les relations sociales c) La relation horizontale : les relations sociales Le lien social est en amont et donc supérieurement noble par rapport à l'individu et raisonnablement par rapport à ses intérêts par preuves que chaque individu provient d'un couple parental et que l'humanité a d'abord été tirée ensemble des reins d'Adam pour effectuer la pacte pré-existentiel reconnaissant la seigneurie de Dieu. Surtout que pour l'ennoblissement personnel qui est la meilleure valeur, c'est à travers le lien social que se comprend et s'acquière les qualités morales divines ainsi que certains autres attributs divins. Les règles sociales peuvent toutes être classées dans l'occupation prophétique d'adoration de service. Ainsi sur terre, il faut bien comprendre qu'après Dieu, et avec Dieu, il y a surtout de l'humain, car il est logique que pour connaître et acquérir ces qualités morales, la vie terrestre devait être imparfaite afin que les gens soient éprouvés et aient besoin les uns des autres. Les nobles règles sociales sont claires et évidentes, car la base de ces relations sociales ne peut sagement être que le respect, le partage, l'honnêteté, la justice, les droits, les devoirs, la miséricorde, le service, l'amour, la fraternité, la générosité, le professionnalisme, le conseil du bien, l'interdiction du mal, le soutien aux faibles et l'aide aux miséreux. Il faut donc avoir le sens du devoir jusque dans la défense des faibles et avoir le sens de notre droit bien qu'il soit parfois très sage d'être raisonnablement altruiste. Un des meilleurs niveaux des relations sociales est aussi d'oublier le bien qu'on a fait aux gens pour ne pas vouloir de compensation de leur part mais seulement de la satisfaction divine, de tendre à les combler par du bien donc au nom de Dieu, et d'oublier le mal qu'on nous a fait en le pardonnant pour espérer ouvrir toujours plus le cœur des personnes à l'origine de ce mal dont donc par du bien effectué pour eux. Or quand il s'agit de personnes supérieures hiérarchiquement, il faut généralement demander la justice. En revanche il faut se rappeler du bien que les gens nous ont donné pour valoriser le bien et ces gens, et se rappeler du mal qu'on a fait pour demander pardon et garder notre humilité, tout en sachant se pardonner pour préserver notre volonté et notre force de progresser toujours plus dans le bien. Dans ce sens, les prières profondes à Dieu pour les proches, soi-même ou les autres sont souvent efficaces, surtout quand cela concerne tout problème à venir possiblement. Dans cet excellent cheminement, ni les coups ni les indignes critiques ne doivent nous atteindre. En sachant que les coups font mal, mais que les mauvaises, irréfléchies, injustes, rabaissantes ou blessantes paroles peuvent faire encore plus mal. Il faut noter que participer en tant que donateur ou bénévole à la construction ou à la vie d'œuvres d'utilité publique tels les hôpitaux, les écoles et les orphelinats est évidemment grandement conseillé pour parfaire l'ennoblissement de chacun et obtenir une source de bonnes actions constantes même après la mort. Surtout que si toute l'humanité donnait au moins une heure par semaine dans une association caritative ou pour des réparations ou constructions au niveau communal, une belle paix noble, joyeuse et mondiale basée sur la compassion, le service et donc la piété serait certainement proche. En effet il ne faut absolument pas sous estimer le pouvoir des moyens et rapports humains : Le Prophète (SBDSL) a dit : « Quand le fils d’Adam meurt son œuvre s’arrête sauf dans trois choses : -Une aumône continue (une œuvre d’utilité publique : fontaines ou puits publics, legs pieux, 1 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales hôpitaux, écoles, orphelinats, établissements pour handicapés etc…) -Une science dont les gens tirent profit -Un enfant vertueux qui prie Allah pour un parent. » (Mouslim) Ibn Omar (SDP) rapporte : « Omar (SDP) obtint une terre à Khaybar et partit dire au Prophète (SBDSL) : « J'ai obtenu une terre, jamais je n'ai obtenu un bien aussi précieux. Que m'ordonnes-tu d'en faire ? » II répondit : « Si tu veux, fais de la terre un legs pieux et donne la récolte en aumône. » Omar en fit alors une aumône de sorte que la terre ne puisse être vendue, ni donnée ni héritée, et que sa récolte soit donnée aux pauvres, aux proches, aux esclaves, pour la voie d'Allah et aux hôtes. Celui qui s'en occupera pourra en manger dans des limites convenables et en nourrir un ami éventuel sans la posséder. » La plupart du temps, le soutien aux faibles est religieusement obligatoire, surtout car comme l'a sublimement précisé Béatrice Bourges : « Lorsqu'une société ne s’occupe plus de ses faibles, elle devient une société barbare (et entre donc dans la colère divine et sa possible destruction pour empêcher la propagation de son mal et de la fin de l'humanité, comme ce fut le cas souvent à travers l'Histoire). » En effet son analyse explique excellemment les versets et les hadiths suivants montrant que l'aide aux faibles est une des qualités essentielles demandées pour notre ennoblissement, et donc une des principales preuves de la foi mise en pratique, et donc une protection contre les châtiments divins, et donc la meilleure raison pour laquelle Dieu maintient Sa Création : (S6v53) « Ainsi éprouvons-Nous (les gens) les uns par les autres pour qu’ils disent : « Est-ce ceux (les plus faibles) qu’Allah a favorisés (dans la guidée et la priorité sociale) parmi nous (les notables) ? » N’est-ce pas Allah qui sait le mieux lesquels sont reconnaissants. » (S4v75) « Et qu'avez vous à ne pas combattre dans le sentier d'Allah, et pour la cause des faibles : hommes, femmes et enfants qui disent : “Seigneur ! Fais-nous sortir de cette cité dont les gens sont injustes, et assigne-nous de Ta part un allié, et assigne-nous de Ta part un secoureur.” » Selon Mosab (SDP), Sad Ibn Abi Waqqas (SDP) rapporte : Sad estimait avoir une prééminence sur certains de ses compagnons. Le Prophète (SBDSL) dit alors : « Dieu ne vous accorde-t-Il pas la victoire et ne vous assure-t-Il pas votre subsistance uniquement par l'égard pour vos faibles d'entre vous ? » Abou Darda (SDP) a dit : J’ai entendu le Messager de Dieu (SBDSL) dire : « Aidez-moi à secourir les faibles (et à éviter donc les sociétés barbares possiblement punissables divinement), car vous ne serez (donc) secourus et pourvus de votre subsistance que par égard aux faibles. » (Abou Dawoud) On rapporte ces propos de Abou Bakr (SDP) : Ô gens ! Vous lisez ce verset : « Ô vous qui avez cru ! Vous ne répondez que de votre propre personne et celui qui s’égare ne vous fait aucun tort si vous avez suivi la bonne voie. » Cependant j’ai entendu le Messager de Dieu (SBDSL) dire : « Les gens, quand ils voient l’injuste commettre son injustice (oppression) sans l’en empêcher, ne sont plus loin de voir Dieu les frapper tous, sans distinction, d’un châtiment provenant de Lui. » (Abou Dawoud, Tirmidhi et An-Nasaî) Houdheyfa (SDP) rapporte que le Prophète (SBDSL) a dit : « Par celui qui tient mon âme dans Sa main, vous commanderez le bien et interdirez le mal ou bien vous ne serez 2 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales certainement pas loin de voir Dieu envoyer sur vous un châtiment venant de Lui. Vous L’invoquerez alors et Il ne répondra pas à votre appel. Aicha (SDP) interrogea le Prophète (SBDSL) : « Ô Messager d’Allah ! Serions-nous (quand même) anéantis alors qu’il y a parmi nous des gens vertueux ? » Il dit alors : « Oui, si la perversion est répandue (dans votre région pour empêcher la propagation de son mal). » (Tirmidhi) En opposition au règne animal, la loi du plus fort physiquement ou donc du plus riche financièrement est donc noblement à rejeter humainement, mais cela a été perverti économiquement par la tyrannie de certaines idéologies comme le calvinisme et le protestantisme. C'est ce qu'ont d'ailleurs rappelé les quatre premiers califats, puisque les croyants les plus pieux, sages et bienfaisants y on été désignés comme califes. Encore par rapport au monde animal, l'homme peut choisir entre le digne mutualisme ou l'indigne parasitisme. Or le mieux est évidemment de chercher à unir les gens dans certaines bonnes œuvres sociales. Par conséquent de temps en temps, il faut penser à offrir de notre personne, de notre temps ou de nos biens pour les autres en particulier donc les faibles (handicapés, orphelins, pauvres, personnes âgées, malades), plutôt que de partir trop fréquemment en vacances par exemple, surtout que la vie terrestre est d'abord faite pour les bonnes actions et que c'est le Paradis éternel qui est fait principalement pour les vacances : (S8v3/4) « (Les pieux sont) Ceux qui accomplissent la Salat et qui dépensent (dans le sentier d'Allah) de ce que Nous leur avons attribué. Ceux-là sont en toute vérité les croyants : à eux des degrés (élevés) auprès de leur Seigneur, ainsi qu'un pardon et une dotation généreuse (infinie au Paradis Eternel, pour leur générosité). » Dans ces on peut rappeler la parole d'Henry Ford : « Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble (pieusement et en s'ouvrant vraiment aux autres) est la réussite. » Surtout qu'un homme n’est rien quand il est seul. Ses succès, il les doit autant à la communauté dont ses parents et son boulanger, qu’à ses efforts personnels. Un homme qui prétend avoir réussi seul est un menteur ou un crétin, et dans tous les cas, un escroc. Ainsi chaque personne devenue adulte doit avoir conscience de cela afin d'intégrer le monde pour y jouer équitablement un rôle productif améliorant, ou au moins stabilisant. Or la ploutocratie mondiale actuelle favorisera toujours les riches, alors qu'un pieux chef religieux privilégiera logiquement les faibles ou cherchera au moins un juste milieu équitable dans l'intérêt de chacun. Surtout que la stabilité de l’ordre social et politique dans la durée repose essentiellement sur la réciprocité voire sur les contreparties concédées par les dominants aux dominés, surtout par rapport aux transformations techniques ou économiques dont pourraient se servir les dominants pour oppresser. En effet sans le concept de réciprocité, d'équité ou mieux d’obligation morale n'impliquant pas l’égalité des charges ou des obligations entre (très) riches et pauvres, il devient impossible d’interpréter la société humaine autrement que par le résultat animal de la force perpétuelle et de la supercherie, et donc d'éviter la rupture du pacte social implicite humain, synonyme de contestation du peuple voire de révolution. Ainsi une haute position donne plus de devoirs alors qu'une position faible donne plus de droits, comme le prouve la zakat devant être payée à partir de 3000 euros thésaurisés par an. C'est pour ça que le chaos du monde ne naît pas de l'âme des peuples, des races ou des religions, mais de l'insatiable appétit des puissants, en particulier des très riches thésaurisant toujours plus dans des paradis fiscaux sans donc payer la zakat. Un des 3 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales buts réussis par le pseudo projet important de l'hyper classe bourgeoise, ultra-libérale et donc cosmopolite est d'avoir amené une grande partie de l'humanité dans le salaria (esclavage) des multinationales, une autre dans la précarité de l'uberisation, et la dernière dans la difficulté du chômage. Or si l'économie était ce qu'en disent certains libéraux naïvement ou mensongèrement idéalistes, elle serait prétendument réglée comme le mouvement des planètes. Les lois du marché seraient aussi inflexibles que les lois de la nature. Tel un chef d’orchestre, le marché harmoniserait les intérêts divergents et distribuerait équitablement les ressources. Et toute intervention publique serait donc nocive, puisque le marché génère spontanément la paix et la concorde. C'est en partie vrai, mais seulement en partie, car la puissante perversité du libéralisme, c’est que cette croyance légitime la loi du plus fort et sacralise l’appropriation du bien commun en particulier par l'usure ou le marché à outrance. En effet le libéralisme était au départ le droit avant le marché, alors que maintenant le marché est passé avant le droit dont au niveau de l'autorisation de la prostitution. C’est pourquoi depuis que ce libéralisme, qui a été récupéré par la droite financière après avoir été portés au départ par les ouvriers de gauche, est l’idéologie spontanée des bourgeois cupides, des oligarchies avides, des mondialistes wokistes.En revanche le drame bénéfique du libéralisme ou plutôt du marché libre, qui a donc pour essence de faire passer les intérêts particuliers avant l'intérêt commun, c’est qu’il est rangé au magasin des accessoires chaque fois qu’une société (un peuple) privilégie le bien-être de tous en particulier par une consommation modeste. Ceci prouvant que par le mode de vie prophétique, nous pouvons sagement démoder tout système politique erroné, et prouvant donc que le peuple pieux peut avoir le pouvoir sans l'avoir et finir logiquement par avoir un dirigeant éclairé. En effet l'esprit du peuple tend plus vers l'honnêteté que la plupart des dirigeants, car il recherche plus la justice sociale. Sans omettre que la propriété d'une demeure par essence sédentaire a généralement diminué la bienveillance. En effet quand quelqu'un est isolé et oublie le sentiment d'éphémérité du court passage sur terre dont souvent par la sécurité ressentie à travers cette acquisition d'une propriété immobilière, cela peut voiler les nobles efforts demandés sur terre et la future demeure au Paradis en dépendant. C'est à dire que dans le sédentarisme, il y a logiquement moins de volonté d'entre-aide que dans le nomadisme par exemple, puisque quand on considère une chose comme acquise on fait souvent moins d'effort pour elle. Or l'indépendance financière et le droit de propriété foncière et commerciale accentuent la liberté et donc la paix sociales pour éviter la tyrannie ploutocratique. C'est pourquoi il n'est pas étonnant que l'accès à cette indépendance financière de même donc qu'à la propriété foncière et commerciale devienne de plus en plus impossible, à travers la perverse monopolisation de l'économie par des multinationales appartenant à des oligarchies corrompues poussant à des lois supranationales oppressantes. Cependant l'attachement à la propriété foncière est déconseillé par le Prophète (SBDSL) pour éviter donc un sédentarisme trop individualiste, un amour trop important du bas-monde, un oubli de son épéhémérité et un détournement de la demeure éternelle du Paradis, ce qui n'empêche donc surtout pas de chercher à être propriétaire d'une entreprise. Il est donc possible d'avoir une demeure en location ou une propriété foncière sans attachement et sans y végéter, tout en ayant une propriété commerciale familiale pour utiliser principalement l'argent dans l'épanouissement familial, les investissements entrepreneuriaux, le développement national et la recherche scientifique raisonnable, 4 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales mais aussi donc pour empêcher la tyrannie politique soumises à des entités privées ultra-riches. En sachant que payer une location n'est pas un mal surtout si c'est pour éviter d'acheter une propriété par de l'usure même en petite partie : Selon Abdullah Ibn Masud (SDP), le Messager d'Allah (SBDSL) a dit : « Ne vous attachez pas aux propriétés foncières car elles susciteraient en vous le désir de ce monde (avarement et jusqu'à votre mort dont par une possible sortie de la vie sociale et car ne dépensant plus mensuellement pour Dieu en ancrant donc le cœur à la terre au lieu de tendre vers l'au-delà). » (Tirmidhi) Le Prophète (SBDSL) a dit : « Sois dans ce monde comme si tu étais un étranger ou quelqu’un de passage (puisque devant retourner par les bonnes actions vers notre monde originel qu'est le Paradis). » (Boukhari) Le livre intitulé "le jardin des vertueux (ryad salihin en arabe)" permet de connaître une grande partie des comportements dignes que l'on doit (dans une forme d'obligation) ou peut (dans une forme de mérite) avoir au niveau social. Il peut être acheté dans une librairie musulmane et sur internet, ou être étudié gratuitement dans le site : http://islammedia.free.fr/ La série télévisée « Omar Ibn Al-Kattab » présente sur internet ainsi que les livres sur la vie des Prophètes ou sur la vie des compagnons du Prophète (SBDSL) comme « La vie des compagnons (comprenant aussi des passages de la vie du Prophète) » en 3 tommes de A. Benhalima dont une grande partie est présente dans les sous-chapitres e, f, g et h du chapitre V de ce site peuvent également être étudiés pour profiter et s’imprégner des grandes valeurs de piété, de moralité, de caractère, d'intégrité, de noblesse et d'intelligence des divers Prophètes et de nombreux compagnons du Prophète (SBDSL). La représentation physique de ces derniers dans la série télé étant controversée par crainte de déviance vers l’idolâtrie, il semble tout de même qu'à notre époque médiatique et où les musulmans différencient clairement le polythéisme impur du monothéisme pur, c'est surtout la personnalité des personnages, l'excellence de leurs exemples, leurs rôles religieux et historiques, et leurs places au Paradis qui doivent être privilégiés malgré l'apparence des comédiens. Surtout que pour les enfants, en comparaison à de pervers dessins animés traumatisants comme le petit poucet racontant l'histoire mensongère de parents abandonnant les enfants et d'ogres les mangeant, ces histoires sur les Prophètes et leurs compagnons, rappelant véridiquement leur défense des valeurs familiales, sociales, religieuses et donc divines, ne peuvent être qu'une meilleure car très pieuse construction personnelle renforçant noblement. Les médias sont un outil, et comme le couteau ou le corps humain, ils peuvent être dignement utiles ou indignement nocifs en fonction de la manière et du but dont on les utilise. Il semble important de rappeler que l'amour des proches ou des autres en Dieu est la plus grande des valeurs sociales, car elle se vit à travers les sublimes attributs d'Absolu, de Suprême, de Dignité par excellence, d’Éternité et de Transcendance du Créateur. De plus en nous soumettant humblement, légitimement et constamment à l'irréprochable noblesse divine, cela nous apporte un sentiment très serein tendant à un raisonnable comportement permanent, et nous préparant donc à pouvoir mourir de détente dans la bienveillance. C'est pourquoi il faut essayer de vivre chaque moment en rapport avec Dieu. C'est à dire pour prendre un exemple, en pensant à joyeusement remercier pour son geste amical et notre agréable surprise un enfant ou un proche nous ayant offert un cadeau, tout en lui rappelant la satisfaction divine pour cet instant d'amour partagé. En effet, il faut souvent pieusement 5 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales encourager les enfants ou complimenter les gens en Dieu pour les habituer à propager l'indispensable bien au nom de Dieu. Le Prophète (SBDSL) a dit : « Quand quelqu'un te fait une faveur, dis : « Qu'Allah te récompense par le bien », car tu auras certainement excellé en louant cette personne ainsi. » Invocation : « Ô Seigneur accorde moi dans ton infinie miséricorde, d'aimer et d'être aimé au moins par Toi, et de réconforter et d'être réconforté au moins par Toi. » Il faut donc aimer le vivre-ensemble en Dieu aussi simplement et naturellement que lors d'une manifestation humanitaire, d'un match sportif à domicile, d'un spectacle comique ou d'un concert musicale. Surtout que comme c'est grâce à Dieu que tout bien est possible, nous devons aussi voir Dieu derrière les croyants vertueux et souvent derrière les autres, en particulier chez ceux ayant un honorable comportement ou besoin d'aide : Selon Abou Hourayra (SDP), le Prophète (SBDSL) a dit : Dieu Puissant et Majestueux dira le Jour de la Résurrection : « Ô fils d'Adam, J'étais malade et tu ne M'as pas rendu visite. » L'homme répondra : « Seigneur, comment aurais-je pu Te rendre visite alors que Tu es le Maître des mondes ? » Dieu dira : « Ne savais-tu pas que Mon serviteur untel était malade ? Pourtant tu ne lui as pas rendu visite. Si tu l'avais fait, tu M'aurais trouvé auprès de lui. » Dieu dira ensuite « Ô fils d'Adam, Je t'ai demandé de Me nourrir et tu ne l'as pas fait. » L'homme répondra : « Seigneur, comment aurais-je pu Te nourrir alors que Tu es le Maître des mondes ? » Dieu dira : « Untel t'avait demandé de le nourrir, et tu ne l'as pas fait. Si tu l'avais nourri, tu aurais trouvé la récompense de ton action auprès de Moi. » Puis Dieu continuera : « Ô fils d'Adam, Je t'ai demandé à boire et tu ne M'as pas abreuvé. » L'homme dira : « Seigneur, comment aurais-je pu Te donner à boire alors que Tu es le Maître des mondes ? » Alors Dieu conclura : « Untel t'a demandé à boire et tu as refusé de l'abreuver. Si tu l'avais abreuvé, tu aurais trouvé la récompense de ton action auprès de Moi. » (Mouslim) Commentaire : Une des raisons essentielles de la vie principalement remplie d'amour profond et généreux de Jésus, surnommé l'esprit de Dieu en islam, était de faire aimer Dieu, pour qu'ensuite les êtres humains ait la possibilité de noblement Lui rendre hommage et même de sublimement Le représenter par la bienveillance et la bienfaisance envers tout être humain. De plus quelle que soit notre fatigue psychologique chaque jour que Dieu fait, il faut essayer de toujours se dépasser pour préserver notre attention, notre douceur, notre courtoisie, notre amour, notre bienveillance et notre bienfaisance dans les relations familiales et sociales demandant par essence le respect. Or si parfois nous n'y parvenons pas comme tout être humain est imparfait de nature et affaibli lorsqu'il est fatigué, alors nous devrions facilement nous accorder mutuellement notre pardon en particulier avec nos proches. En effet le mauvais passé doit vraiment souvent être laissé derrière soi à part sa bonne éducation, afin d'avancer plus facilement dans le bien. Dans ce sens, une forme de félicité est de ne pas rester dans l'empathie pour le mal être des gens mais plutôt sur la volonté profonde qu'ils aillent mieux et dans les actions ciblées pour y parvenir. En effet la pieuse réflexion profonde puis la noble intention longue afin de solutionner un problème participent à améliorer le destin et donc l'état d'âme. De même une autre forme de félicité est d'avoir le cœur ouvert dans un intense ressenti de juste milieu envers toute chose et dans une grande bienfaisance pour tous et soi même, sans la timidité qui est une prison du cœur au niveau social, mais avec la pudeur, ce qui devrait être facilité par le souvenir que lors de notre enfance nous n'aurions pu vivre sans les autres en particulier les proches et les commerçants. En effet en restant fermé, on finit par créer ses propres barrières. Il faut donc oser les dépasser pour rencontrer, connaître et comprendre l'autre, en particulier pour améliorer notre bienfaisance sociale et notre prédication. 6 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales Par ailleurs, il est évidemment légitime de satisfaire nos nobles intérêts, désirs et plaisirs sans nuire à autrui. Mais après avoir répondu à nos besoins et ceux de notre famille, le plus noble est que nos intérêts, nos désirs et nos plaisirs deviennent la satisfaction des autres dans leurs besoins vitaux, matériels et familiaux, et dans leur réconfort face aux épreuves par notre transmission de l'enseignement moral religieux. Ceci bien évidemment avec l'espoir principal qu'ils soient guidés par Allah à l'islam et au Paradis, comme à l'époque du Prophète Jésus (paix sur lui) et de ses apôtres ou du Prophète Mouhamed (SBDSL) et de ses compagnons. C'est à dire tendre plus vers l'être que l'avoir. Surtout qu'espérer principalement pour les autres qu'ils aillent au Paradis ainsi que nous-mêmes est la plus grande preuve de respect à leur égard et de volonté que leur vie et donc la société ne soient pas en perdition à cause de l'indignité. Dans ce sens, il est très éclairant et utile de souvent dire dont pour le présent, tout temps ou les pieux : - « La hidina, Dieu guide nous » par la sagesse jusqu'à la noblesse harmonieuse sur terre avant celle naturelle du Paradis - « La yarhamna, Dieu fais nous miséricorde » - « La yaredna, Dieu sois satisfait de nous » - « Ya Rab, Ô Seigneur » face à des situations agréables ou difficiles vécues par soi-même ou par autrui, dans un sentiment de demander profondément tout ce qu'il y a de mieux en particulier l'amour amical divin à notre égard et pour autrui, tellement nous aimons Dieu pour la noblesse sublime de tous Ses attributs, tellement nous espérons que nos louanges et glorifications soient considérées comme les meilleures pour Sa satisfaction, nous-mêmes, nos proches, l'humanité, la réussite noble généralisée et toute créature, tellement la position, la moralité, le caractère, la puissance et la réalité de Dieu sont louables et parfois insaisissables puisque sa transcendance inestimable dont au niveau de l'étourdissement de l'amour est supérieure à l'illimité et au suprême aussi présents dans Son identité, tellement nous dépendons en permanence de Sa force contre laquelle nous ne pouvons rien et que pourtant nous aimons grandement, tellement nous sommes honoré, reconnaissant et heureux de connaître Dieu suite à Sa création de notre personne, et tellement nous espérons qu'Il nous utilise de la meilleure manière et fasse de nous ses voisins les plus proches au Paradis. D'autant plus que vouloir immensément recevoir l'amour de Dieu et Son Paradis éternel pour soi-même et autrui apparaît logiquement comme une source d'acquisition rapide de toutes les qualités spirituelles, et donc de la valeur suprême qu'est l'ennoblissement personnel maximal. D'ailleurs cela se traduit souvent par une pudeur discrète, un digne comportement, une ambiance apaisée, des situations purifiées, des problèmes solutionnés, et donc de la joie de vivre, synonymes d'entrée au Paradis. Car quand nous voulons profondément dans notre cœur que les gens entrent au Paradis, ils se rendent compte plus ou moins inconsciemment avec leur cœur de notre grande bienveillance à leur égard en s'ouvrant généralement à l'amitié, puisque les cœurs sont comme des rois ayant des discussions secrètes. Et tout cette noblesse sublime présente dans la vie créée par Dieu mériterait donc que nous nous évanouissions de respect, d'admiration, d'amour et de grandeur par elle. Parmi la plus grande noblesse humaine se trouve l'écoute sérieuse, bienveillante et bienfaisante. Alors lorsque autrui ressent cela à notre égard quand nous sommes dans la difficulté, il est important d'accepter sa bienveillance ou sa bienfaisance : Moujahid (SDP) raconte : J'accompagnais Ibn Omar (SBDSL) en voyage. Quand je voulais monter, il tenait mon étrier. Quand je montais, il arrangeait mes habits. Une fois, il est venu (m'aider) et je n'ai pas apprécié son geste. Il dit : « Moujahid ! Tu as un caractère difficile. » 7 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales C'est pourquoi il faut essayer de toujours ressentir ce que le conjoint ou autrui ressent pour l'aider au mieux, pour ne pas l'attrister, le décevoir ou le contrarier encore plus, ou pour lui faire des recommandations si possible discrètes voire encore mieux indirectes. Et de plus en général, il faut tendre à ne rien refuser ni rien demander : (S2v155) « Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim, et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants (et aux généreux dans la piété) qui disent : “Certes nous sommes à Allah et c’est à Lui que nous retournerons.” Ceux là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde, et ceux-là sont les biens guidés. » Salim (SDP) rapporte ces propos de son père Abdullah ibn Omar qui les tient de son père Omar : Le Prophète (SBDSL) me donna ma part du butin et je lui dis : « Donne-la à celui qui en a plus besoin que moi. » Le Prophète (SBDSL) reprit alors : « Prends-la ! Quand tu reçois de l'argent que tu n'as ni demandé ni convoité, prends-le et garde-le pour toi. Si tu veux, dépense-le ou bien fais-en aumône. Mais ce que tu ne reçois pas de cette manière, ne le convoite pas. » Salim (SDP) a dit : « Abdullah (mon père) ne demandait rien à quiconque, et il ne refusait pas non plus les dons qu'on lui faisait. » (Boukhari et Mouslim) Or il faut donc penser à accepter l'aide des autres surtout quand nous les avons déjà aidés pour que eux aussi se sentent bien par leurs bonnes actions, sinon nous pourrions être considérés comme égoïste concernant l'agréable bienfaisance, d'autant plus si elle est pieuse : (S7v199) « Accepte ce qu'on t'offre de raisonnable (comme bonnes actions), commande ce qui est convenable et éloigne-toi des ignorants. » Il faut noter qu'il est demandé de commencer par aider les proches pour les habituer à aider autrui, car leur proximité leur donne la priorité et la propagation de cette bienfaisance sociale en est facilitée : Le Prophète (SBDSL) a dit : « Entre un dinar que tu as dépensé au service de Dieu, un dinar que tu as utilisé pour affranchir un esclave, un dinar dont tu as fait aumône à un pauvre, et un dinar que tu as dépensé pour ta famille, c’est celui que tu as dépensé pour ta famille qui te rapporte le plus grand salaire. » (Mouslim) Dans ce sens indiquant de s'occuper en priorité des proches, il est important de gérer toutes ces relations de la meilleure des manières, c'est à dire sans en délaisser certaines pour d'autres, et en allant jusqu'à chercher ceux ayant besoin d'aide et ayant honte ou trop de pudeur de l'avouer ou de la demander : (S2v273/274) « (Les pieux qui hériteront du Paradis pensent aussi à dépenser pour les) Aux nécessiteux qui se sont confinés dans le sentier d'Allah, ne pouvant parcourir le monde, et que l'ignorant croit riches parce qu'ils ont honte de mendier. Tu les reconnaîtras à leur aspects : ils n'importunent personne en mendiant. Et tout ce que vous dépensez de vos biens, Allah le sait parfaitement. Ceux qui de nuit et de jour, en secret et ouvertement, dépensent leurs biens (dans les bonnes œuvres) ont leur salaire auprès de leur Seigneur. Ils n'ont rien à craindre et ils ne seront point affligés (au Jour du Jugement Dernier). » Il existe trois niveaux de conscience : ceux qui n’ont conscience que d’eux-mêmes (qui sont de plus en plus nombreux), ceux qui ont conscience en plus de leurs proches (famille, amis, collègues), et ceux qui ont conscience en plus de l’humanité, des animaux et de l'environnement. Ça peut donner les égoïstes, les tribaux et les universalistes, comme çà peut donner les individualistes, les claniques et les humanistes. Or la solidarité fondamentale correspondant principalement à celle familiale et locale (du voisinage au communal, voire 8 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales jusqu'au départemental et régional) réapparaît précieusement de plus en plus comme le prouvent les grands parents revenant chercher les petits enfants à l'école. Surtout car ce localisme devient une seule solution importante face aux incohérences structurelles très nocives du mondialisme ayant même entraîné nécessairement les deux parents à travailler pour faire survivre la famille atomique. D'autant plus que ce sera probablement en grande partie le système de l'Eden terrestre complété dont à travers la technologie blockchain. Or il est aussi important que ce localisme soit facilité raisonnablement par les objets connectés et l'intelligence artificielle. Çà devient urgent car les différentes grandes crises du mondialisme prouvent qu'il faut produire tout ce qu'on peut proche chez soi : eau, nourriture, électricité, éducation, médicament, vêtements. A ce sujet, il est intéressant de lire le livre blanc du ZYRRI à l'adresse http://zyrri.io/zyrri.pdf . Ainsi l'homme peut voire doit évidemment consacrer sa vie à quelque chose de plus grand que lui-même : famille, proches, voisins, quartier, ville, nation, humanité ou/et propagation de la religion pour Dieu. De même la famille peut se consacrer aux proches, aux voisins, au quartier, à la ville, à la nation, à l'humanité ou/et à propagation de la religion pour Dieu. De même la nation peut se consacrer à l'humanité ou/et à la propagation de la religion pour Dieu comme à l'époque des califats authentiques. Dans certaines conditions et en fonction de certains rôles, la sagesse peut parfois être particulière, comme un gouverneur peut faire des choix particuliers en désaccord avec la religion pour obtenir unes stabilité nationale ou un couple marié peut se mentir pour apaiser la famille. Et avec une discrète intelligence pieusement illuminée correspondant à un des sommets de la sagesse, nous pouvons donc nous habituer à être au dessus du négatif que pensent les autres, puis le transformer pudiquement par une noblesse délicate souvent purificatrice de situation à travers une subtilité indirecte ou un bel état d'âme. Dans ce sens, il faut remarquer que la grande majorité de l'humanité partage de diverses manières différents dosages de politesse et de bon sens cherchant généralement une réelle bienveillance, que nous devons tendre à comprendre ou à conseiller en ressentant la personnalité et le destin des autres. En effet généralement chacun essaye de faire de son mieux face aux épreuves de la vie : « Se mettre à la place des autres est souvent de bon conseil » (Julien Denormandie) Ainsi il faut respecter les choix d'autrui s'il pense qu'il est pour l'instant dans son meilleur chemin, surtout que ça peut être le cas par rapport à son évolution progressive, mais en lui rappelant qu'il y a un seul meilleur chemin vers lequel tout le monde doit tendre : celui du mode de vie prophétique. En effet, chacun n'est le résultat que de ses connaissances. Dans ce sens il est de tradition prophétique de ne pas tout le temps regarder dans les yeux un interlocuteur et de penser à avoir une intonation douce et un langage correct. Et les temps de silence doivent être considérées comme un fruit de l'amitié ou de l'amour en Dieu, car telle la présence d'un enfant, le rappel de Dieu apaise et donc purifie les situations. Cela dans le but d'arriver rapidement à partager dans la tolérance des plaisirs simples de paix ou de solidarité avec le plus grand nombre, surtout que ces sentiments sont amplifiés lorsqu'ils sont massivement partagés. D'ailleurs comme aussi on apprécie plus de rire à plusieurs, de supporter une équipe de sport à domicile avec tout un stade, ou de fêter le nouvel an avec toute une nation, et en réalisant bien les caractéristiques du Paradis, l'importance d'y être le plus grand nombre devient essentielle. En effet le plaisir partagé est évidemment plus grand en grand nombre, d'autant plus quand 9 / 41 c) La relation horizontale : les relations sociales c'est un grand plaisir. Et le groupe est donc aussi un renforcement au niveau humanitaire, au niveau politique, et au niveau religieux comme le prouvent le cinq prières obligatoires quotidiennes à faire en groupe à la mosquée quand c'est possible. D'autre part il ne faut pas hésiter à copier le bien des gens même au niveau de leurs expressions orales ou physiques, en particulier dans leur courtoisie, leur élégance, leur humour, leur l'amitié, leur amour, etc... Dans ce sens, considérer la valeur d'autrui comme royale est importante, car le protocole de meilleur accueil comme la ponctualité et le confort esthétique que nous devons d'ailleurs rechercher raisonnablement, fait partie de la politesse des rois à laquelle nous invite Dieu, par preuve qu'Il va en accueillir certains sur Son Trône suite à Sa proposition de Le rejoindre spirituellement dessus, à travers l'ennoblissement personnel maximal synonyme d'une pratique religieuse, d'un caractère et d'une moralité tendant à la dignité constante. Dans ce chapitre, certaines paroles sages du Prophète (SBDSL) ou de Dieu (Glorifié soit-Il) semblent évidentes de nos jours, mais à l'époque de la révélation elles étaient nécessaires pour leur mise en pratique, comme aujourd'hui par leur répétition. Et par une attention profonde, on peut découvrir divers enseignements cachés dans la plupart de ces enseignements sacrés. De plus afin d'apaiser diverses situations pour l'agrément d'Allah, il est sage de patienter quand on se fait insulter, mais aussi de penser à prévenir la personne nous injuriant des risques de retombées négatives lors du Jugement Dernier. C'est à dire faire comprendre que nous voulons plus de bien aux injustes qu'ils en veulent pour eux-mêmes. C'est pourquoi il faut éviter de trop rire ou de rire en se moquant d'autrui, car la calme sagesse sérieuse de la grandeur du cœur, du respect envers l'autre, de l'amour sincère et de la patience dans l’humiliation diminue tôt ou tard si les rires sont trop fréquents et les moqueries trop régulières, alors que les larmes de la sensibilité la préserve et la développe, surtout que le sérieux doux est un des aspects principaux de la noblesse ressentie profondément. Ainsi nous devons plutôt souvent penser sereinement au salut de notre âme et de celles des autres. (ExtHadith) Anas (SDP) a dit : (Un jour) Le Messager de Dieu (SBDSL) nous a tenu un sermon auquel je n'avais jamais rien entendu de semblable. Il (SBDSL) nous dit : « Si vous saviez ce que je sais, vous ririez certainement peu et vous pleureriez (par sensibilité de ressentir l'immense noblesse divine et d'avoir vu le Paradis et l'Enfer) certainement beaucoup (et les compagnons présents pleurèrent, mais il est précisé dans un autre enseignement que Dieu dit au Prophète de les laisser tranquilles dans le joie de leur fraternité). » Dans une autre version : « On rapporta au Messager de Dieu que ses compagnons riaient (probablement beaucoup) dans leurs réunions. Il leur fit ce sermon : « On m'a présenté le Paradis et l'Enfer, et je n'ai jamais rien vu jusqu'à ce jour de plus beau ni de plus affreux. Si vous saviez ce que je sais, vous ririez certainement peu et vous pleureriez certainement beaucoup (par sa grande sensibilité liée au niveau immense de noblesse, d'amour, de beauté et de joie se trouvant sur terre et au Paradis, et à son niveau important de crainte, d'espoir et de compassion acquis suite à sa vision horrible de l'Enfer). » Ce fut pour les compagnons du Messager de Dieu (SBDSL) la journée la plus pénible de leur vie. Ils se couvrirent le visage et se mirent à pleurer en faisant entendre un nasillement. » En revanche au Paradis, ses hôtes arriveront certainement à rire de presque tout, comme à notre époque de médias et de spectacles souvent comiques, et comme le permet l'imperfection humaine au niveau de légères fautes de langages par exemple. En effet même si la noblesse morale est très importante, on pourra la vivre moins sérieusement au Paradis, sauf pour ce qui 10 / 41
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