À l’heure convenue, la nièce de Lotz était venue chercher Kissingen, Thierry et Hjalmar pour les conduire au rendez-vous fixé. Ils quittent la ville vers minuit, arrivent au pavillon fatal une demi-heure plus tard, croyant y trouver Hans Lotz. On les laisse seuls un moment. Quelques minutes s’écoulent et, tout à coup, l’engin dissimulé dans le gros pot à tabac explose.