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Août 1877 PDF

51 Pages·2012·27.23 MB·French
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c Première Année. N^ m Bfcrcredi, Août 1 8 7 7. RUfiEAix : nn: f)'A!r.r!iio:\'. o!. a mm. P a r a i s s a nt les m N D I, M E R C R E DI et V E N D R E DI Un An. t :M,lis. ô Moi?. LE M'MKRO Annonces. . 0 Ma ligne. PRIX Finislère,C(jles-du->'ord, .Morbihan 3 0 lo "fr gfr PRIX Vendu sur la voie publique Rcclaines. . 0 /l O - Aulrps D.^pMrlomcnts , Algrrie , DES INSERTIONS : DE L'ABONNEMENT : Alsace-F.orraine 18 10 15 C E N T I M E S. Les Rôdâmes (îans le corps du Journal ^e traitent à forfait. parti impérialiste , pour se ranger du « radicalisme ». A cet elïet, M. Paris combat s'agitent, leurs adversaires ne âme la dévorante conviction du déi^hon- BULLETIN POLITIQUE parmi les rares troupes restées li lèles qui n'avait pasfiit parler de lui depuis perdent pas de temps. Les journaux neur df. la p:drie. Quelle humiliation pourrait dépisser la sienni'! Livn'e à au cabinet. Ainsi celle dernière quelijue temps, vient d'adresser une publient le texte délibéré par le comité en publiant les derniers d'( (frniités jonpirurs, forcée de renier VO/Jœiel, humiliation était réservée au cabinet circulaire aux inspecteurs généraux des jurisconsultes, del'assignationqui renseignon>enls sur le voyage de .M. le par leur bouche sa destinée et de mentir présidé par un membre de la famille des ponls-et-chaussées et des mines va être lancée contre M.U, Pougin, aux expérancos dn monde; forcée de Maréclial de Mac-.Malioii h Bourges, de Broglie , d'avoir pour principal, pour les prier de transmetlre à son imprimeur, et Dalioz, éditeur du subir comme sienne la doctrine cynique se montre trtVsobre quant aux parti- sinon pour uni(]ue di'fenseur, le polé- ministère des notes sur le personnel HaUctindca Communes, avec mise en de corruption et d'arbitraire que promul- cularités de la réception qui a été faite miste qui s'appelle Paul de Cassagnac. des ingénieurs, des conducteurs et des jeu de la responsabiité civile de .M, de guent ses représentants et ses au chef de l'LtrU. Le journal du gou- gardes mines en service diUaché, pour Fourtou, ministre de l'intérieur. On exploitée par une mapi.strniure qui sem- vernement parle bien de populations cette seule considération que le per- connaît déjà un certain nombre de ble commissinnnée pour tuor la loi dans Parmi les actes plus ou moins nou- enthousiastes et de chaleureuses ova- sonnel ainsi mis la disposition des di'putés du groupe des 3G3 (|ui vont l'e.«.time des hommes, par des parquets veaux dij gouvernfMnent d^, combat, il tions; mais il le fait lui-tiièine sans parliruliers, conserve néanmoins un ainsi se pourvoir contre les diffama- tenant la fois de. la nature du laquais nous reste à signaler la révocalion de émotion et avec utie concision qui droit évenluei l'avancement parmi tions dont ils ont été l'objet dans l'or- et du bourreau; fiélrie. su dehors par .«a M. Hruneau , conseiller gf'iiéral et semble tinnoigner d'un cerlain em- les agents de l'Etat. gane ollicicl du gouvernement : ce diplMiialie, au ded-ms par sa po'ice; barras. Les renseignements de aîieien député delà Mayenne, l'un des infidèle depuis irop Inrplcrnps aux prin- ÏOI/icicl 3!ais la circulaire la plus étonnante, sont, ontr'autres, M.U. Léon Re^nault, ne concordent pas avec ceux qui nous •JG'L eoinrne maire de la commune de cipes qui sont la vie. des sori^ tés, ou assurément est celle que M. Imgarde IJartoli, Tassin, Philippoteaux, An- sont fournis par des feuilles moins Villaine.s-le-.lahi'l. Les iuljoints de .il. dirait que de.s enni;qups -^onl charpés de de LelVemberg, procureur général à drieux, etc. iJruneau ont imnn'diatement donné lui fiire subir le supplice de. la f.'mme intéresséesdans l'avenlure du IGmai, la cour de P.iris, vient d'adresser aux Le 7t';»/w, de son côté, donne la liste leur di'inission. adultère : ils l'élonlT.'nt dans la boue! » et qui s'accordent , même les plus chefs des par(|uels placés sous ses or- des préfets (]u'il fait assigner en ..'om- modérées, pour nous montrer (]u"au- M. N'aclier , maire d'Ab/.ac a été (COMTE DK MONTALEMllliRT, 1840.) dres pour leur recoinîna.nder l'exécu- mag(îs-inlér('ls pour le préjudicf» à lui suspendu de ses fondions ainsi que le cuiie allluence populaire n'a gêné iii)n de l'article 6 de la loi de 18il) causé par les obstacles mis la circu- munici[)aî qu'il pri'sidail ; les mouvements du monde ollioii'l. conseil sur le colportage. Dans cette circu- lation des journaux. Le Ttunps imnon- UNE PROPOSITION OU FiGARO Tue nouvelle loge maçonnique, la L'^s paroles prononcées [>;ir M. le laire. 31. h procureur général émet la ce que le tribunal d'Epernay, ayant d'Paris, est suppri- 3Iaréchal de .Hac-.Mahon font natu- Parf'iilc l:ju!itc, prt'tenlion (jue l'étendue de cet article, admis di^jà un déclinatoire proposé Le ^M'ant jniirml émet, sous la forme ni('e, toujo.irs sans doute pour faire rellement l'objei de tous les commen- croire l'absence de senlinienis clé- aujourd'hui si discuté, est fixée par par le préfit sur conclusions confor- épistolaire qui lui est familière, la pro- taires ; maison remanjue surtout que la jurisprudence ; il articule, en dépit mes du ministère public, il a cru de- po ri lion que voici : ricaux ch'>z les membres ilu cabinet. tout en se diT-'iidant d'être le chef des décisions récemment rendues par voir app^'ler de ce jug.>men! pr'para- liuil journaux de l'Algérie sont d'un gouvernement des « prêtres >>, Ivi vrrtu do r.'uiome : (^ui ne dit rien divers tribunaux. (|ue la loi de 1875 toire à la cour d'appel de Paris. poursuivis sous diverses préventions. consent», qie lo ministère dise demaiu M.le .Mar/'clial a commencé cependant n'a rien innové en matière de librai- il est clair que le Temps est résolu à aux élrcteuis : sou voyage par une visite à la cathé- 11 n'est pas sans inti'rêt de remar- ries fictives. alIiT en cassation, s'il y a lieu; les « L's ge'iS qui ont coniiance dans le drale , et l'a terminé par une fête quer (}ue dans cette éiiuméralion des Ce langage nous paraît plus qu'é- agents de .H. de Fourtou n'ont donc maréchal routent chf^:^ eux au moment dans les jardins de l'archevêché , la d'une élection, tandis que ceux qui lo actes de combat du ministère, le cas tonnant au inomonl où la question de qu'(\se bien tenir. combattent s'em|>rifss6nt pour voter, t^ar population représentée par ses élus de M. Vacher présente ctte circons- doctrine, que 31. de Leffemberg tran- conséquent, au proi'lina vote, lo g<)uver- n'ayant pas voté de fonds pour une nemont décide que vous r'avpz pas busoiliît'V.'' tance particulière que, la veille, le che ainsi de sa propre autorité, est (t st'ibi'ité intérieure» L'Officiel de vons dérangi'r no^ir lui donriT nnVote - - - réceplion municipale. maireavait dressé procès-verbal contre pendante devant la magistrature du cnntiiHit aujourd'hui deux p'ijïRS di; de oonlianoe ; tontes les abstentions un cantonnier qui distribuait le dis- pays, et où il sulïïsait d'attendre avec ch'ni;j''ini'nts dfins la mii^istrature. seront r.onsidèrées comme acquises aux Il est curieux de constater combien La Brcia^î le n'est pas compri-se dans candid'its officiels. » cours de M. de Fourlou par ordre de quelque patience, pourvoir fixer enfin ce mouvement qui, selon toute probabi- La Chambre ainsi nommé» renfermerait la phraséologie otïicielle de notre haut son agent-voyer, et sans autorisation la jurisprudence d'une manière défi- lité, ne sera pas le dernier. une belle majorité de cou-ic-rvateurs. personnel politiijue vise de moins en de colportage. 11 en résulte que toute nitive sur ce point, si l'on tenait Et il se trouve, enrore, des leclours moinsà exprimer le sentiment vrai des cette sévérité, dont le gouvernement et davantage à une saine interprétation Ou lit dans !a Correspondance blcue^ qui prennent au sérieux la feuille do M. populations. Voici, en effet, l'arche- ses agents font étalage en ce moment des textes qu'àintimider les vendeurs qui est à peu près otîlcieuse: de Villemcssant ! vê(jue de Tours qui félicite le Maréchal contre les colporteurs non munis de journaux. Un important mouvement préf'^ctoral de l'union provo(juée dans les cœurs d'autorisation, ne s'applique pas en Enfin, chose plus étonnante en- est préparé au ministère do l'intérieur, il par l'acte du 16 mai, au moment fait, ni dans la pensée du cabinet, aux core, M. b procureur général ne paraîtrai ïOffiricl dans les prerniersjours J'y suis, j'y reste! . môme où les dissentiments qui tra- de la semaine prochaine. opuscules qui professent l'admiration craint pas de transformer olïïcielle- vaillent la coalition monarchi(iue arri- Allons! eticore un petit voyage, du 16 mai. ment les membres des parquets en La emprunte à France \''Emnnij Stan- vent à leur maximun d'intensilé : les préfets de combat, en voiture ! agents politiques, en leur ordonnant dard. à propos du voyage à lîijurges de Aujourd'hui, en efTet, le d(''saccord Ces divers actes des agents secon- de l'informer de tous les incidents po- M. de Mac-.\lah)n, la juste observation n'est plus seulement entre royalistes daires de l'administration ne restent qui suit : litiques qui s'accomplissent dans leur L'ESPRIT DES M O R TS et partisans de l'appel au peuple, il se pas, d'ailleurs, isolés, et les hauts ressort... alors même que l'action du Le Figaro et les jo-.:rnaux du m/?irj8 glisse encore dans les rangs des bo- dignitaires du gouvernement ontvoulu ministère public ne serait pas enga- « Le. supplice de la France, pour èîre g-nre nnt rendu la fameuse phrase : « .J'y napartistes eux-mêmes. Le Pays prendre part eux-mêmes à la lutte qui gée dans l'affaire. moins douloureux, est il moins honteux sui«, j'y reste », tristement ridicule. semble prêt à rompre en visière avec doit délivrer le pays de l'hydre Elle avait quelque chose d-î grand, de q'ie celui du reste de l'Iiiirope! II'las! sublime dans sa simplicité , quand les VOrdre et le comité de direction du « latente», mais néanmoins effroyable En revanche, si les hommes de chacun de nous S"nt au fond de son obus pleuvaient par coûtâmes , et que la FEUILLETON recf-voir des soutll-^ts, comme les soldats même plus tard, car le môme sort nous leur servante; et Grédel , malgré son bien coatonts , quand le bombardement allemands ; n'abaisse pas nos enfants, nos était réservé. leiKiapporter leurs plats . enfin de se faire commença ve;8 sept heures d une faeoQ DE VUMOX RÉrUBLlCAiyE pauvres enfants, à être les diimcsiiqups et Aprè.s le pissagede ces milheureux, aux- indignation, aidait la mère , toute pâle et é, 0 n'antahle : soixante pièces de canoa bestiaux des nobles allemands ! — Mon Du 1" Août 1877. quels je donnai du pain , quoique nous les dents sfrrée.s. sur la ( ôte de Wéuhem tiraientà là fois ! Dieu, nous sonimesbien coupablesd'avoir ( 28 ) cru l'honnête hommi, qui t'avait prôté, n'or. eussions plus guère, puisque les .llle- Le général et le co'oael ne soupèrei.^ La ville répondit aussitôt, mais a sept manfis, trois joursavant. nous avaientvolé qu'à neuf heures , l'aile de camp à dix, h'Mjres et demie, une noire colonne de swrnieiit piair le viuler, et ses ministres, HISTOIRE vingt-sept mii;h:^s au sortir du four; après ainsi da suite, durant toutij la nuit , sans fumée s'élevait d' jà sur Ph.ilsbourg. Les qui. commençuent la guerre d'un cœur ca trisie spe'jta?!G. nous vim';:=! arriver coup s'i-iq ;!i;i.;r d^^sfitigaos et de répiiibement gros canons de la place n'oii répon.taiorit léijcr, — après nous avoir promis la paix, DU PLÉBISC sur CO U), avec ua grand fracas et traine- do-^ pauvres femmes. qu'avec plus de rage; les obus si/llaieat, — et qi.'i Srj sont sauvés la poche garnie ; ment de sabres, trois ailes de camp les bumbes éclataient sur ia côte. et les mais nous n'avons pourtant pas mérité, Il riaient beaucoup de M. le curé de prussiens, qui nous atinoncèrent : le pre- CDUp.s de tonnerre du b tsliou de Wiis'-h- nous, Alsat'ienset Lorrains, les plus fitièles Vilsbourg, chez If-qunl ils avaient passé la mier, un c/iloael ; ledeuxième, un général, btrg roulaient daus nos eclios jusqu'au RACONTÉE enfants dslagrande U"volulion,nnn, nous nuit pré(;éd(3nt8 , et qui leur avait du que ot le troisième, je ne sais plus quoi... un fond du l'Alsa'.'e. n'avons pas mérité lie devenir Allemands le maih'jur de Nitto éon venait d'avoir Par uii des 7,500,000 OU duc, u-i priuce, quelque chose dans ce Ma femme et Grédol, assises l'iniQ ea et Prussitiiis !... 0:i ! quiji malheur î... » r'-'tireSOS troupes de Romo, et que « qui- gearo ! fa-e de l'autre, se regardaient en sili^nce ; PAR .le viens do pleurer... Aprps tant de mi- conque mangfirait du pape en i-ièveraii !» moi je me promenais do long eu largij, !a C'est le rolotifîi qus j'eus l'honneur — ERCKMAXN-CUATRL^N. sères pt d'abominations , mon cœur a l'sadrniraieatces parolesets'enf.iisaiam têio pHiK'héo, s.)ng^Ant à .la^'ob et à tous C'^^m'iie ils disaient — dd goberger, le colo- deh-îrdé... du boa sang. lesho.inêLes gms, qui, drtns ce moment, nel WdiItT, du' 10'régimynl de grenadiers -Mtintenant je conTini.e , et je tàc'ûerai sil-'sie;is ; et puis le général vint aussi me Moi, dar.s mon coin, jo pensaisque d'un voyii-'nt se consumer leur.s miisons, leurs VII (Siiilc). de ne i;-im;iis oublier que je raconte une iinbécilo ou ne peut entendre que des S()t- maiibles , 1m fruit de leur travail pendant faire l'honneur de souoer à mes dépens. histoire vraie, que tout le moabe connaît, tises. cinquatite ans. Mais esperoiisque le peuple ne sera pas Ce'ui-la s'appelait •\L:icha Cowley. Ils toujours aussi bête; Dieu prendia piùede quti tout Je monde a vue. nous firent le plaisir de nous annoncer que X la fin, jefinis par m'rmd 'i.-mir, front A dix heures je sortn, la colonne de Ce mèmnjour, vers le soir, plusieurs le lendeiniiu on bombard-rait sohdeni'int sur les genoux; mais leji.ur pa.f-aissait à fuméo f'itaitdfiViMiue plus la;-gr>, ell« s'éten- nous. Je ne dis pas le Di^u dns j'^suitfis voitures li'.-VIsaciens, revenant de Luné- Ph'ilsbourg. Ces gens-là sont pleins do P"ine, qim la maillon ('taitdt-ja remplie d:i dait vers l'hApiial rt l'.igli'..^ ; „ii j.-.iiaitdit ni celui des Prussiens , — qui soat des ^iile, passèrent narlevilLii^epourretonmer délicatesse ; ils pensaient que cetî<-5 bonne b.-uit des éperons . des sabrt;.s, (>t surtout un grand drapeau noir , q n se courbe de jésuites protestants, — mais celui que CDHZ eux Les l'russiens les avaie'jt forces nouvelle allait nou.s réjouir , moi , ma de:ioris do l'aide do camii : temps en teuips, et puis qui se relôvu thacua sent dans sa poitrine; celui_ qiii de marcher ; leurs chevaux n'avaient plus femme ot ma iille ! « Vie:, ^as-tu, ? \'if'n.iras-tu, jusq Tau ciel. nous fait réipandrG des larmes dejiitié sur quo la p'^au et ies os : et ces gens maigres, bourrique, .inc, bé'itr'', neniar i ? Mauvais Un escairou de oui,-assier.s, et derrière nos frères i.-.just^'m'^nt écrasas ; c'est de c« j uines, to:nbaie:;t à forcc d'avoir reçu des L'î dra;-.caa des grenadiors sili''.sionç fut diô!!^, vinndras-tu bieîitôt ?» u n au I re j e h u s.?:i r 1 s, HI i e :i t u r ] a col I i n e ; Dieu-là que je parle, et c'est a lui que je coups et d'avoir supporté la faim. apporté dans la chambre du oobm.el. Ce m lis ils des.jendirunt vr-nire a terre du ( ôié crie : régiment arrivait d^s frontières autri- C'est ;iinsi qu'il appelait son d.jmi'Slique. de Metting . oii se trouvait la quaruer Oa ne leur avait pas seulement donné C'o^t leur mMiiièrH (io traiter ieurfî soldats, « Regarde ce que nous avons souff-^rt ! chiennes; il avait atteniu la déclaration de du |)rinoe A ibort. une ration de pain sur toute la ruate ; les qui les écoutent gravement. IM m-iio près Vois si nous l'avons mérité ; vois si nous neutralité des bons caiholiqiies de là-bas , Allemanls avalai-^nt tout ! lis au'-ai'-nt vu (ie l'oreille, l^s yeux sans murmurer l.esobusdcssoixanlefiièoes continuaient sommes cause de noire igiioraiice ; et si p'iur venir, en cheoiiii du fer, se joindre tMinber un des nôtres , un de c-^ux qu'ils uui^ parole. Ihenheur-'ux enc ire quand lu de monter dans les airs et de retomber dans nous ea sommes cause, punis-nous 1... aux douze corps d'armée qui nous enva- avaient forcés de traîner leurs b?g iges ; ils discours ne li;iit pas par un gruid sout'ilet la fumée; les b nnb'S et (jbus de !a Mais si les autres en sont cause, s'ils nous hissaient avec tant de gloire. l'auraient vu tomber la d'^ fitigue et de ou un coup de pied au bis du dos ! Et (-'«si ville roulaient dcrrièrn los biiteriKS dés out refusé des écoles, s'ils ne aousont rien privations à leurs pie Is, qu'il ne 1 ui auraient C'est ce q j'appris, eu écoutant ce q a'ils omiuecela qu'ils pensent nous \oirun Prussiens ;elle.-iéclataient dans leschamps. appris de ce que nous devions savoir ; s'ils ont profité de notre crédulité pour nous pas tendu seulement un verre d'eau Sans se disaient entre eux. j nir ; c'e-^t ce qu'il appellent nous donner 0.1 entendaient aussi les échos de Lutzel- nos pauvres frères lorrains envahis, qui les « les nobles vertusaliemandes. » tromper , mon Dieu , pardonne-nous , et Cette nuit-'à fut bien mauvaise pour ^bourg tonner de seconde eu seconde ' le rends-nous noire patrïp, notre chèr-j patrie no irrissai'înt de leur propre misère , ils nous. Les officiers voulaient être servis Le colonel déjeuna vers cinq heures du vieux chdt.'au. la-bas , devait trembler seraient tous morts. d'Alsace et de Lorraine I... Ne nous fais chacun à part, l'un après l'autre ; ma mutin i une compagnie vint prfm Ire le dra- sur SOI r(,'cher. pas Allemands 1.,. Ne nous-réduits pas k Voilà Ifi vérité. Nous l'avons vunouS" fdnnne était obligéa d(? cuire pour eux, de pe9.u et le régiment partit. Nous étions • [À Suivre./ L'*Unîon Républicaine du Finistère. u^illaie fan'^hait los hommos par nùîUrr's. l \ S O l I V E X I Il propriétaires du journal Y.ivnur vont mis à un comm''n;'ï'it de cluTchfr à aug- AVIS AUX RÉPUBLICAINS aiit.MIR.3ii vail'ant s.iMai qui la pronon- actionner le fonctionnaire qui ne craint menter les liénMfii'i-'s que lui pri)cure son çât. ertrt^ Hpiiï Ivmrt-^es de cigare, daus pas de mettre audacieusement la main, commerce ou son industrie en y joignant Nous recommandons A tous nos Aujourd'hui que les orléanistes, sous la la tT'T^p de Mal}ik'>lT la vente d'objets ('trang^rs à ce cotniuerce amis p()lili(jiirs un moyrn tnVsimpie au mépris de la loi, sur le colportage et Mais les salons d»^ i'Elyst^e ne ressom- conduite de V.M. nuffet et le duc de la distribution de leurs produits, en sup- prini:i[ial, à la <'harg« de so conformer aux et lrt's-pnili(ju(; de propagande: bleni en ri<^n à Malakctl. et comme cVst Brofjlie. se .^ont donnilivement png:;>ç;és lois et aux règlements ; avec d.'s bul'etins de voie et non avec de"» dans une voie sans issue ; aujourd'hui primant arbitrairement les vendeurs de ••Vitt^ndu que la vente des journaux ap- H(>aiiC()ii() d't'Mlr'eiJx sont nbonnf^.s cartoiich^^s qi'.o la posi'ioti du maréi^hal que les orléanistes sont devenus une journaux. partient au commerce de la librairie, (]ui ou acliclcurs au numi''ro d'un ou de doit être attaqiifie. le « J'y suh, j'y reste » Cela nous prouve que si l'ordre moral s'étend à tous les produits de l'impriiuene; plu-iif'iirs journaux rt^publicains. compajT'iie du rég:irnenl bonapnrli^e, De siMiihle pas à la masse du piiblii" tout pouvait supprimer la lecture et les livres, que les liens qui unissent i-ette industrie il n'est pas sans inlérét de se rappeler Une fois (]u'ils auront lu ros jour- à f.iit aussi h-^roique qu'il le peut paraître il le f<'rait à l'instant, et ce commerce sont si étroits, que les lois aux quelques personnes int<^rfsst^es qui q'ielle était la situation de ce parti en qui s'en sont occupées ont généralement natu, au lieu de les lacf^rer ou de les A côté de celle question déjà très-grave, écnveut daus les journaux du gouveiue- 1870, quelques mois avant le 4 septem- soumis aux mômes règles l'exercice de ces jeter, (|ij'ils les adressent par la poste il y en a une toute d'humanité : N'est-ce mei.it bre, moins d'un an avant la convocaiion deux profess\ons ; ;\di"s (^lof'b'ursdos communes rurales. pas le pain même de ces pauvres colpor- de l'A-îspmblée nationale, où allaient Que le commerce de la librairie, suivant Ceux (le nos amis ()ui ne voudraient teurs et de leurs familles que leur retire la manière dont il s'exerce, est régi, soit Le Discours du Maréchal siéîrer M. le duc d'Aumale et M. le prince pas ou n'auraient pas U^ temps de faire la passion politique' Qu.'importe, sans par l'art. 6 de la loi 27 juillet ISISI, soit de Joinville. eu x-mômiîs l'envoi de leurs journaux, doute, aux gouvernants de l'heure pré- par le décret du 10 septembre 1870 ; ET LA PRESSE Nous venons de parconrir le Journal sente! Un aveugle ne vit, depuis isr»4. Attendu que la loi de 1849 est sans ap- n'auront qu'A s'adresser à VUnion officiel dn 3 juillet 1870 ; il n'y a rien de que de celle industrie; d'autres sont às;és plication dans l'espèce ; qu'elle a pour but républicaine. Nous nous chargi^rons plus inslnictif. principal, eu assujettissant à une autorisa- LPS jnurnanx N^pub'ICÎÎINS snnt unani- On disentait, ce jour-là. au Corps lé^'S" ou infirmes aussi. Enfin, voilà bien des tion les colporteurs et les distributeurs de de col envoi en lour lien et place, Dimes d^n-: leur appréciation. EU» peut lat f. une pétition par laquelle les princes gens minés ou sans ressources pour le livres, d'écrits et de brochures, d'attein- Lt> prix d'envoi d'un journal du sp'psiimerdans ces que'ques lif^nes du d'Orléans demandaient qu'on abrogeât la bon plai.'îir des quelques hommes qui ont dre la librairie nomade qui n'offrait pas partornenl est de 2 centimes ; le prix entrepris de f.iire marcher la France. les mêmes garanties que la librairie séden- d'envoi d'un journcfl de Paris est de XIX'^ Siècle : loi d'exil qui les frappait. Ce fut M. Es- Ils verront comme elle marchera con- taire, qui échappaient plus far'ilement aux 4 conlimes. tancelin qui porta la parole. Puis on passa Ce n'<itait vraiment pas la peine de faire tre eux; aussi ne se pressent-ils guère investigations de la justice, et dont la mo- Nous demandons i\ nos amis de 232 kilomètres pour aller prononcer à au vote. ralité personnelle a paru dès lors devoir de convoquer les électeurs. Il leur est Bourses ce discours-là. Toujours les 173 Députés se prononcèrent pour la être contrôlée ; fm're ce b^çer sarrlQce d'argent en vue plus facile de vexer les citoyens paisibles m^m^s p-^n-'^ralués, qui ne réussissent proscription ries princes d'Oiléans; 34 Attendu que le rapporteur de la loi s'ex- du bien du parti. mêtne plus à être équivoques, car les actes seulement votèrent pour qu'on rouvrit et laborieux, même en dehors de toute prinnit en ces termes : en sont un trop lumineux commentaire. politique. « L'article no s'appliqiiant point au ven- les portes de la patrie à des princes qui de ir à domicile, le commerce de la librai- LTnio/f républicaine est en vente Mais les org^nps réactionnaires eux- ne demandaient à rentrer que comme rie n'a point à s'en préoccuper » cho/. les dépositaires dont les noms mêmes manifestent un enthousiasme mé- simples citoyens. L'ordre moral et les bnreani de tabac Qu'un arrêt de la cour de cassation en suivent : diocre. Eu voici les b/efs commentaires : Parmi les 34 protecteurs des princes date du 5 février 187-1 indiquait aussi le d'Orléans, nous trouvons les noms sui- caractère de la distribution illicite, c Son MM. L'Union : vants : Le ministre des finances vipnt d'adres- premier caractère consiste à no pas atten- MM. narthélemy Siint-llilaire, Dethmont, ser aux préfets la circulaire suivante : dre les acheteurs ou les lecteurs, mais à Rnoi'STAII,, libraire, 42, rue de la Mairie. C'est l'pxrr'^ssion d'une pensée honnête aller au-devant d'eux, et à les provoquer Ih-i.Ar.iiiKNNK, d(^bil de tabac, 59, rue Horace de Choi-^enl, Crémieux, Jules qui ne sort point d'une certaine sphère, Paris, lo, 2S juillet 1S77. d'une manière quelconque à l'achat ou à Sailli Yves. Favre. GirauH, Gnyot-Monlpayron.K, Le où le st^ntiiu'iiit du devoir a rf'm 'lir rpste la réception gratuite de l'écrit qu'il s'agit à la portép -ips molestes héros qui défen- Cesne, Magnin. Maléz'enx, Ernest Picard, Monsieur lo préfet, de répandre; son second caractère est de StifDfiI- HeOnI.S , marchand de journaux, rue dent résolûment tout poste coiifij à leur Jules Simon, Thiers, Wilson. LPS préfets, qui nommant les titulaires s'adresser au public, c'est-à-diro indistinc- M"" Pt-MAiNR, débit de tabac, 25, rue de garde. Parmi ceux qui repoussèrent impitoya- des b'ireaux de tabac de classe, avaient temerit à toute personne. » la Mairie. blement la demande des exilés, nous auiref()is la faculté de les suspendre < pour Qu'ainsi défini, cet article ne s'applique Le Vnijs : torts politiques. > pas à Cazantet ; qu'il est en ( IT-^t, vendeur KI.UH'KT. débit de tnban, 3(5, rue d'A;- trouvons peu prè'^ tous leurs amis d'au- g^iiillon (Champ-de-Bataille). Ce pouvoir leur a été retiré par la circu- à domii'ile ; qu'il attenil l'aeheteur dans Le plus bel éloy'" qu'on puissa faire du jourd'hui ; nous mettrons.senlement quatre laire ministérielle du 23 septembre 1876, son mag.asin: qu'il n'aalVure qu'aux per- Fiu:ni',iii('. CLAHA, débit de tabac, 13, rue disi-ours prononcé à B )urf?fl3 par le noms en re'it f, parce qu'ils sont signifi- et il a été décidé « que dorénavant les sonnes qui entrent volontairement chez de S am. marée hal de M.ic-Mihon, c'est qu'il n'est pas du goût des républicains. catif-!. Ce sont : titulaires des débits de tabac nommés en lui pour lui lemander lesjournaux qu'elles M"" LK CAUIÎOUI.EC, débit de tabac, 84, rue 1* M. Buffet, qui est g;énéralement con- vertu àu décret du 25 mars 1852 ne pour- désirent acheter ; de Siain. 1/Univers : sidéré, avec M. le duc de Broglie, comme raientpluséiresuspendusde leur fonctions, Attendu qu'il est, par suite, un libraire LE GI.AIS, débit de tabac, 25, rue d'Ai- l'homme d'Elat le plus autorisé de ce pour des faits de quelque nature que ce sédentaire et qu'il n'a be.soin que de faire guillon. Si l'on vsent poindre, sous une phrase jù.1, que par les directeurs des contribu- la déclaration prescrite par l'article 2 du parti ; LESTI.M, débit de tabac, 3, rue Monsre. discrète et calculée, la crainte de passpr tions indirectes agissant sous le contrôle déeret du 10 septembre 1870 ; pour rétrograde et clérioal. cpla, non plus, 2° M. Chesnelong, qui a, plus tard, né- de l'adruinistration supérieure. » Que ce décret a eu pour but de rendre MoiiKi,, débit de tabac, 88, rue de Siam. n'est pas nouveau. Peut-être, d'aillpnrs, gocié la fusion ; Aux termes de celte circulaire, vous libre la profession d'imprimeur et de li- Vu;, marchand de journaux, G5, rue de la lUuTipe. ne sait-on pas encore dans les régions 3° M. Koib-Bernard, le président du devriez. M. le préfet, « si quelque débitant braire, et, par suite, de permettre à tout go.ivprnementales que, par l'ancien régime comité de l'union -< conservatrice » ; de tabac de la catégorie dont il s'agit s'ex- le monde de vendre les divers articles de Et dans les Bureaux du Journal, 31 rue etlerléricalisme, nos adversaires entendent M. Piipuy de Lôme, pour lequel les posait aux sévérités de l'administration la librairie ; —que, cette liberté procla- d'Aiguillon. l'cdrR piilitujue et religieux en manquant aux devoirs qui lui sont im- mée, le législateur a cru cependant devoir orléanistes ont voté contre un des leurs, Bref, c'est toujours le même horizon un posés en matière politique, signaler sa exiger une déclaration dans le but unique Luiididernier, h 5 heures l/2de l'après- M. André. peu court, avec" dps tons gris qu'aucun conduiteau directeurde votre département, de permettre à l'autorité udiciaire d'exer- midi, te nommé Ui'voas, Claude, ftgé de Rapproché de la politique actuelle, ce rat/on ne vient éclairer. auqu«l il appartiendrait de le suspendre cer une surveillance et de pouvoir recher- 40 ans, garçon d'écurie à l'hôtel des Peti- scrutin jette un grand jour sur les événe- provisoirement, sauf à en rendre compte cher les ouvrages dont la saisie aurait été tes Messageries, rue d'Algésiras, 4, a été Le Français : ments qni se précipitent. Dès celte époque, immédiatement à l'administration supé- ordonnée st dont la vente serait prohibée ; trouvé mourant sur les remparts, en face Il «e fallait pas s'attendre à ce que les M. Buffet proscrivait les princes d'Or- rieure. » Que la nécessité de cette déclaration in- de la rue Colberl. Le malheureux ;avait défenseurs de la politique des 363 fissent léans : Il est probable que si le suffrage Je n'hésite pas à penser qu'il convient combe, par suite, à quiconque veut vendre dans la presse un bienveillant ao<^neil au universel n'avait pas fermé les portes du aujourd'hui de rétablir entre les préfets et chez lui un article quelconque de la librai- été frappé d'une insolation. discours de M. le président de la RppuMi- Corps législatif à M. le duc de Broglie, M. les directeurs des contributions, un par- rie ; mais qu'on ne peut soutenir que, plus Transporté dans l'écurie des Petites- quR. Mais ce qui nst assez caractéristique, le duc de Broglie, député, aurait volé tage d'attributions qui me paraît basé sur restreint sera ce commerce, plus les obli- Messageries, il a rendu le dernier soupir une juste interprétation du décret du 35 gations du commerçant deviendront rigou- c'est que les journaux radicaux se mon- alors comme M. Buffet. — Ce sont les quelques instants après. mars 1852 sur a décentralisation. reuses, et que, s'il ne fait que joindre à trent ce matin moins vifsdans leurs appré- chefs du parti orléaniste. S'il im porte de réserver à l'ad ministration d'autres marchandises (quelques livres et ciations que les organes du parti qui se dit des contributions indirectes l'emploi des quelques journaux, il n aura pas satisfait républicain conservateur. publie la correspondance L'Océan movens de répression sur les agents pré- à la loi en faisant la déclaration qui le .suivante : V Ordre : posés à la vente des tabacs, au point de soumettra, le cas échéant, aux perquisi- PLUS DE JOURNAUX  RENNES vue de la bonne exécution du service, il tions de la justice ; Le maréchal a pris soin de ne pas abor- n'importe pas moins de laisser à l'autorité Qu'il n'est écrit nulle part que, pour être Au ministère de la justice on est asse* der les questions réservées; il s'est abste- Sous ce titre, on lit dans préfec'otale qui les a nommés l'apprécia- libraire, il faut tenir exclusivement dos frappé de la façon dont les Cours statuent nu de dire une seule parole qui pût être VAvenir : tion de leur conduite au point de vue articles do librairie ou en avoir un nombre dans les procès politiques portés devant exploitée par les divers partis comme un politique. déterminé, ou des ouvrages de telle ou elles afirès condamnation en première ins- encouragement ou comme une désappro- La vente sur la rue et dans les bureaux tance Autrefois, comme an lendemain du Dr'S dispositions contraires ont l'incon- telle nature ; qu'il est interdit au juge de bation. Il ne nous a pas invités comme on de tabac de tous les journaux, vient d'être 16 mai, par exemple, les Cours se mon- vénient de gêner les uns dans l'e.xercice de distinguer là où la loi ne distingue pas ; l'y invite depuis six semaines, à cacher matériellement empêchée par M. le préfet leur action et de charger les autres de Que, d'ailleurs, le commerçant qui ne traient, dans l'applination de la peine, plus nos couleurs et à nous piéseater au com- de La Morandière. responsabilités qui ue sauraient exclusive- vend que des journaux est assujetti à la sévères que les tribunaux. Aujourd'hui, bat sans drapeau. Voici l'histoire : ment leur appartenir. même patente que le libraire qui vend des c'est le contraire, et presque toujours, sur appel, des réductions du peine sont pro- J'ai,en conséquence,dénidéqu'àl'avenir livres, et non pas à la patente spéciale du nonc.^es, «lors qu'il le faut remarquer, la La Presse Etrangère Il y a environ cinq semaines, sous le la suspension des titulaires ou g:érants colporteur : magistrature du premier degré est déjà si précédent préfet, l'administration fit re- débitants de tabac de 2' classe serait pro- Q l'il a été si bien reconnu que le com- peu ferme. Nou"; lisons dans le Nord, organe de la nouveler toules les autorisations de col- noncée , comme elle pouvait l'être avant merce pratiqué dans ces conditions est chancellerie russe : portage , obligeant les titulaires à se la circulaire du 23 septembre 1876, par le régi par le décret du 10 décembre 1870, Peut être serait-ce trop généra'iser que préf-!t < pour torts politiques» , et par le qu'on voulut en 1873 te soumettre à l'au- de considérer comme un symptôme ces L'^s déc'aratians faites par le maréch il munir de nouveau de toutes les pièces : directeur des contributions indirectes torisation en rétablissant le brevet pour la marquf^s d'indulgence ; cependant, on af- de Mac-Mahon à B lurges sont 'le nature extrait de naissance, certificat de vie et « pour torts de gestion > J'ajoute que la librairie sérieuse ; firme que le garde des sceaux n'y est pas mœurs, casier judiciaire, le touts'élevant durée de la suspension ne pourra excéder resté indifférent. à rassurer sur plus d'un point ceux qui Q i'un projet de loi fut pré.senté à l'as- craignaient que l'af^te du 16 mai n'eût, à à environ 5 fr. pour chacun; ces pauvres deux mois semblée nationale par M D-^pevre, alors Pourquoi, n'est-ce pas, ne pas con- l'intérieur comme à l'extérieur, des cons'î- gens se croyaient donc en règ'e pour Dinstous les cas, il en sera immédiate- garde desscetiix, et qu'on lit dans l'ex- quPMCPS périlleuses pour développement longtemps et sûrs d'exercer paisiblement ment rendu compte à l'administration posé des motifi qu'il existe « de petits damner ù. mort, en bloc et d'un seul pa( ifiquo dn la Franr^e. Msis sans dout.T leur petite industrie. supérieure. C'est à elle seule qu'il a|)par- magasins où l'on vend, soit exclusivement, coup, tous les organes politiques qui le m'lins du monde de la ferme volonté du Or. jeudi dernier, employant un subter- ÙHudra, comme par le passé, de prononcer sou concurremment avec d'autres mar- ne font pas œuvre servile d'adulation maré. hal dfi tenir scrupulpusement les sur les propositions qui lui seraient chandises, des livres, des imprimés de proin'^sses qu'il vi^nt do renouveler, on fuge peu dig'^e d'elle, l'administration, adressées , la révocation des agents sus- toute nuance, dos j<)urnaux, sans avoir le envers T « ordre moral i » peut se dernatidpr ai .v>n pouvoir ftera tou- p£ir la voie de la police, fit demander à pendus. caractère de véritables librairies. » Pourquoi ne pas in.stituerde suite jours à la hauteur de sa volonté. Ildéclaie ces colporteurs toules les autorisations 'Recevez, monsieur le préfet, l'assurance Qij'il y a lieu, dès lors, de reconnaître des commissions mixtes qui, sans ques'u) but est de marcher sur le terrain renouvelées, sous pretexle d'inscrire des- de ma considération très-distinguée. qu'en faisant sa d'^c'aration, Cazantet a même entendre la défense, condamne- dnla Constitution, « à la lête des hommes sus les noms des journaux colportés par rempli l'obligation qui lui était imposée et Le ministre des finances, raient par ordre tout journaliste in- d'ordre de tous les partis. — Pourquoi chaque marchand, dont le catalogue fut qu'il n'a pas contrevenu à la loi de 1819, donc le rarti républicain, qui renferme t. CAILLIUX. qui no trouve pas ici son application ; dépendant, à la déportation ou au fourni à la police sur sa demande. incootPStHblpm'^nt dans ses rangs beau- qu'il n'a agi que dans le but de se procu- ba^ïne ?... coup d'hommes d'ordre, est-il systémati- Les colporteurs rendirent leurs autori- rer un profit l'?gitime, et non pas dans Pourquoi ne pas aller jusqu'au quement écarté ? Et si, à cet égard, le but sations sans défiance. Ils attendaient qu'el- celui de faire fraudre à la loi. T R I B U N A UX bout dans la voie de l'injuste et de que se propose le maréchal n'est pas atteint, les leur fussent rapportées, mais l'aulorité ^Par ces motifs, le tribunal relaxe Cazan- . est-il surprenant que des doutes s'élèvent les a retenues, et, à la place, les colpor- tet sans dépens. l'odieu.x i sur l'exécution dns autres parties du pro- teurs ont reçu , dimanche, par le Tribuoal CorrectioDDel de BordeaDx Et, chose digne de remarque! ceux gramme présidentiel ? ministère de la police, des pièces ainsi qui gourmaiident ainsi la magistra- conçues : LIBERTÉ DE LA LIBRAIRIE. — ACQCIRREMEWR. Nouvelles Locales ture et l'excitentà une sévérité encore Dans lo monde orflciel plus rigoureuse à l'égard de leurs PROCF.S-TERBÀL t)E .NOTIFICATION Le tribunal correctionnel de Bordeaux, L^ correspondance républicaine cons- présidé par M. Paye, a prononcé mardi advnr.^aires, ce sont ceux-l.\ mômes L'au mil huit cent soiiaate-dix-sept, tate que dans les sphères officielles, on est le vingt-huit juillet, son jugement dans l'afTiire Cazantet, le A V IS qui ont usé et abusé le plus effronté- libraire-coiffeur II a adopté la même doc- trè^ deconcerté du peu d't'ffrt pror'uit Nous, commissaire de police du l" ar- ment de sa non-interventioni trine que les tribunaux de Montpellier, de par ledi>coursdu maréchal à Bourges; rondissement, soussigné, avons notifié à Aujourd'hui qu'on sévit, — nous sa- Toulouse, d'Aurillac et de Rouen, con- Conformément à l'article 21 dot M. Daveu (Julien-Marie), demeurant rue on comptait sur lui pour ramener la con- damnant ainsi, une fois de plus, les pré- Statuts du journal /'UNION RÉPU- vons combien, — contre les journau.^ d'Antrain, i « 31, un arrêté de M. le préfet, corde dans le camp de la coalition et pour en date du 28 juillet 1877, qui retire au tentions du gouvernement. 'Voici le texte BLICAINE DU FINISTÈRE, .)/.)/. ré|)iiblicai ns, l'Océan, encore mal du jugement : jetf^r le trouble dans le camp opposé ; or, sieur Daveu l'autorisation de colportage .satisfait, trouve les cours d'appel Attendu que, par déclaration du 26 juin les Actionnaires sont convotjués, à la l'union conservatrice ne p^rc.ll pas sur qui lui avait été précédemment accordée. dernier, Cazmtet a fait connaître à M. le liéunion, en Assemblée gmérale, qui indulgentes à l'excès et les tribunau.\ le p"int de se reconstituer ; les bonapar- En foi de quoi nous avons rédigé le préfet de la Gironde son intention de tenir se tiendra à llre^t, à la salle Saint- de première instance trop peu fer- présent acte. tistes ifjtransigeants refusent toujours de le dépôt de journaux dans le magasin qu'il Georges, rue Traverse, le MARDI, mes. Mais ce même Occ^a/?^ alors que Le Commissaire de police, occupe .à Bordeaux, rue Capdeville, et où s'y soumettre, et les républicains se sou- 7 AOUT, à sept heures et demie M. Thiers était président de la Repu- (Signatur» illisible.) il exerce la profession de coiffeur ; cient fort peu d»^s affirmitions par les- Qu'il a mis en vente des journaux de du soir. bliquo, a pu impunément injurier qui'l'es le président de la République Sur quelques autres notifications, le diverses nuances politiques, conformé- Le présent tiendra lieu de lettre chaque jour le chef de l'Etat qu'il s'est < ffjrcé de rassurer les fonctionnai- mot arrêté est bifTé et remplacé par « dé- ment à cette déclaration, et qu'il est pour- de convocation. traitait à courir de « sinistre cieiLlard » res ; un personnage qui a ses grandes cision. » suivi pour avoir contrevenu a l'article 6 de entrées à I li'ysée dirait h^er : on s'atten- En tous cas, les arrêtés ou décisions du la loi du 27 juillet 1849, pour n'avoir pas MM. les Actionnaires et de « L'hntnpiQiion autocrate. » préfet n'ont point été lus ou laissés aux sollicité une autorisation à la nécessité de La réclamation de VOcéan est bien dait à UQ coup de pistolet, mais il a fait laquelle, dit la prévention, on ne peut se sont priés d'être porteurs fondop, comme on voit. \'oilà la jus- colporteurs démunis de leurs autorisa- long fr^u. soustraire qu'à la condition d'ouvrir une de leur carte, qui leur tice des cléricaux ! Le public corn-- tions. Ils n'ont, en retour, que la pièce librairie sérieuse, et non pas simplement OQ ne saurait mieul apprécier le dis- insérée ci-dessus. Elle suffit pour engager un dépôt de journaux ; sera demandée à l'entrée. parera et jugera tout ce qui méritQ cours de Courges. la responsabilité de qui de droit. Us Attendu (|u'il est ipcontestableiaeût p9r« d'être ju^'é en cette affaire, L T n i on nopnblicniue du Finistère. IPS probabilités du temps pour le moi'^ barque de la Bretagne, licencié sur sa Communes, il sera en onirp requis d'in- CONSliIL MUMClî'Al- DE BREST UECAPITN.ATioN CFNEHAI.E : demande. sérer les proleslations des [i. rst.. ncs dé- d'am'it : Recet. ord^" 1.05(1380^ / , ,/,«, r.aof Léonard, pharmacien de classe, et signées dans les placards ilo-it il s'agit. Si extr. 101131(1 „ , ' s K s s 10 N I. !•: 1S L A TIV K La direoiiun des fon os sidérales restant Pirioii. phinnacien de "l' classe, arrivent par un de ces hasards amiuel nous ne Df"-!). Mrdiil"' 797.356 ^'(0 / , ,,, ,)iifT| à peu près la môme en août qu'en juillet, de la R'^union. croyons pas, le premier de ces deux Compte-Rendu de la Séance du 30 Juillet. lltM. .iXtPHO. 3W,854 91 ^ les courants iDterniittPntsou boura>que.s Le Ray, aide-pharniacien auxiliaire, procès ne pouvait avoir de solution en l-ACtDANÏ PES lUXETTES. 5,478'69 qui engendrent les pertuibatious. conti- débarque du Navarin, puis de la Breta- faveur des répul)iicains, il est de toute nueront à s^vir le plus souvent sur l-i gne, entre en congé. in-idence (pie le seiumd, du moins, devrait An cours de la discussion de ce budget, zone supérieure {tner àn Nord, Baltique') ; L" Poix, aide-pharmacien auxilinire, leur être favorable, puisque iiul ne peut une question a été présentée au Conseil par suite, le lem^s sera relativement beau rentra decongé, embarquesurlaZ^'/e^aync. contester le droit de réponse invoqué par • par le rapporteur de la commission. H sur la France, principalement pendant la M. Andrieux. s'agissait d'une demande de la fabrique 1" et la 3« dizîiiues. et notamment sur le R A P P EL A L'ACTIVITÉ de l'église Sl-Sauvcnr de Ueconv .ui-'.e, sud-ouest et .0 Mili. Xéannioius, des Le journal ofliciel du bonapartisme , tendant i'i ce que la ville reconstv ii-i' la roups C(« ven'. dt'S .s'rai;'S et des i ragcs Of;kier^ mariniers rappelés à l'activité VOrdre, publie une lettre signée llouiier, chapelle que la marine vient d'abiiin e sur éptirs SH nianiiesteroiit çà et là, tantôt sur par dépêche du '23 juillet. Padone, et Jolibois , qui a évidemment la le quai piès lesVivres. La demande a été une latitude, tantôt sur une aut'-e, prétention d'élre un manifeste. Uans ce repoussée par le Co-iscii, qui a trouvé q!ie vaut l'importance et le moile de néolinai- Pour Rrcst document on lave la lêle à M. de Lassa- Pas de coinpto-i-ûiidu oUiciol. la ville n'était nullement engagée à faire soii de la June, vers le 2, t 5, -f- 10, 12, MM. gnac, en lui disant qu'il ne connaît pas les Toi qu'il avait o\é ('labli sous le celle construciion. Aucune somme n'a été 15, » 18. « 23. + 26,» (29), « 31. » prin- La (xrost, Augieret Le Ca, 1"' maîtres véritales raisons d'agir ducomitéd'exécu- pivfoctorat 'le M. Pilioret, (lu'oii ne dans ce but versée parla marine à la ville ; f.ipalement vers les époques mises entre iiipcacaniciens. lion de l'appel au peuple. .Mais, quand on il appartient à la fabrique de Si-S,iuveur guillemets ou marquées dusigtie pins (^-f-), Floch, Cocaigne et Ivervasou, 2" maîtres lit celte pièce avec un peu plus d'atteniion peut copondant taxer d'ii-i l)i(Mi grand de trouver les fonds nécessaires à la avant ou anré.s, et particulièrement sur de manœuvre. on croit remarquer qu'elle a moins pour radicalisnio; tel qu'il avait été main- reconstriictiuii de la chapelle. la zoue septentrionale ou la zone centrale, but de morigéner cet important qui se Le Brun, Lirzin et .\mic, 2" maîtres nomme Paul de (^as^^^gnac , que de bien tenu sous M. Souvostre lui-même, [,es conclusions du rapport ont été mais jayyiais régulicronent partout, et canonuiers. préfet de M. do Marcère, l'un des adoptées. _ successixement dn l'ouest à l'est Migadel et Lissonde, 2" maîtres de pprriésc ils'aevri sq die> 'slebo 1n6a im>aarit ias léctsé, efat idte sdanécsl ianveori r Os é[)oques coïucident avec les 7i(fuds timonerie. 303, le compte-rendu otïiciel publie CHEMINS HE Fi:it DE I.'OI'EST ainsi la responsabiiité d'une aventure mal de la lune (passsge à l'équateur de cet R>ué, sergent-fourrier, engagée et qui menace ruine. le lendemain mémo des séances, astre), ou bien avec les luneslices (<^han- (irojant, maître voilier, Nous connaissons déjîi ccite tiAte des mettait rapidement et compiètenient FÊTES ET RÉGATES A BREST genieiit de déclinaison de notre satellite), (iisquet, maître calfat. amis de la première heure à s'échapper nos concitoyens au courant des af- ainsi qi-'avec r/f.<f groupes de points astro- llouel, 2' maître charpentier. Les 5 etli Août 1877 d'un bàlimenl (pii fait eau de toutes par ts; nomiques. (lare la gtèle et les crups lo- faires de la ville. M. Souvestre, pré- Pour Lorieiit mais si (loyalistes. Bonapartistes, Orléa- cales!.. Peu de pluies étendues. Défaut fet de M. de Fourtou, a changé cet A l'occasion des FÊTES KT 1U:GATES DE d'humidité là où IPS grains orageux ne MM. nistes n'otil pas contribué à faire le 16 usage. Les informations particulières BREST, qui auront lieu les 5 et 6 ANÛL 1877, séviront pas, notamment sur la zone mé- Lobjois et Merrien, 2" maîtres méca- mai , qui doni; l'a fait ? Nous ne voyons les nillds d'Aller et Retnur délivrés aux ridionale. Variations brusques. Nuits fraî- niciens. plus guère que les ullramontain.s auquel que nous pouvons nous procurer, ne prix du T.irif spécial C. V. n" 7, p'ir les ches (1", 3'dizaines). Radiation solaire Pour Toulon on puisse l'allribner. et nous savons que valent certainement pas le compte- G-'ires de vivfi, 2° et 3' dizaines principalenipnt. MM. .M. ue Fonrioii fait dire au Maréchal que .MOPLA X. PLEYHER CURM. SAINT- rendu officiel auquel nos lecteurs TIIEGONNEC, LANDIYISI.^U, L.^N^EHNEAU et Ne pas oublier que les pprturbations Jametiet Guillernot, 2" maîtres canon- son conseil des mimstresne constitue pas étaient habitués; elles nous permet- KERIUON, pour HUKST, les 4, 5 et 6 Août, emploient deux ou trois jours pour se pro- niers. un gouvernement des p-èires. seront exceplionnellemeiil valables, au pager, par zones ooîicentriqucs, de l'ouest J;iouen, Thomanet Colleau, 2" maîtres En vérité, qui donc a f.nt le IG mai, car tent du moins, de les renseigner sur Retour, jusqu'au 7 Août inclusivement. a l'est de la Franco. de tuiiouerie. il ne s'est pas fait lont seul? les principales f[uestions débattues. Bigojlot, sergent-fourripr. Dièvre, 2" maître mécanicien. Nous avons publié dans noire dernier ("ne lisie pour la sotiscriplinn dés numéro la condamnation d'un commis- Lu dernière s'^ance du Conseil municipal Ki'gMies est déposro dans les bureaux Nouvelles Maritimes Pour Cherbourg .«^aire de police par un juge de paix de pour la session budgétaire a en lu-ii liituli de ï'CnioN rcpiihliraine. ^ MM. Taibes. dernier. Nos renseignements particnliers I^Tloteiier , Veillet - Lavallée et I^e Les réaclionr,aires, et surtout les bona- nous metient à même de f.jire connaître à La Société des Instituleurs et InstUu- Mouvements survenus parmi les officiers Huédé, 2'' m;iîtres mécaniciens. partistes, ne peuvent s'en consoler. Con- nos lecteurs les principa es dispositions trii^es tiendra son assemblée générale à devaùscau au l" Août. damner un fonctionnaire qui a commis un qui V ont été décidées. Hrosl, le 2' Jeudi, 9 août, à 10 heures. MM. L'Adjudication pour la fourniture de abus de pouvoir, n'est-ce pas porter l'at- Là séance a tout eut ère été remplie pnr C)liivier, capitaine do frégatp, débarque M a ne lus et Tuyaux d'aspiration en cuir, teinle la plus grave à leurs chances de la lectin-e du r.-ipport de la commi>sion du qui desait avoir lipu IH 9 auûi 1877, est de la Vateureu'>e et se rend à Cherbourg à .succès, en H'^rissant et punissant leurs budu'et, pour 1878. - Le rapporteur était Kosique des Équipages de !a Flotte renortée au 16 AOUT* suivant. — Les destination de la Guyenne, bâtiment sur moyens d'action f.ivoris? M. Anner. — Le vote avait lieu après lequel il comptpra du jour de sou débar- Manchrs en cuirs pour Pompes rivées On comprend donc leur mécontente- chaque paraj^raphe. Un écart de 11,000 sont supprimées de la fouraiiure, et le Programytie des innrceaux qui seront quement de la Valeureuse. ment. franiîs seulement exiNte entre les chitl'res dépôt de garantie est réduit de 1,800 fr à eX''cutc.<t demain Jeudi, '2 Août 1S77, Bernard, Le Bdrzic, Galidy , lieute- M. Paul de Cassagnac exhale le sien en proposés par M. le Maire et ceux déliui- 1,500 francs. à 7 heures du soir, sur le Champ-de- nants do vaisseau ; Corrard , Chevreuil, termes très vifs — si vifs, û\l\eTelégraphe, livement adoptés p:ir le Conseil ; la ditîé- (Dépêche du 26 juillet 1877 (Matériel, Bataille. Dubois, enseignes de vaisseau ; Auvray, que le parquet ne manquerait certaine- reri'ie est minime, si l'on considère que les Approvisioanemeuis généraux. médecin do 2°"' classe débarquent de la ment pas de s'émouvoir, si le rédacteur J) echt apeixtrireasc, driencfetilrteess ,e tfo drémpeennts esu no rtdoitnaal irdees 21.. OMuavrecrhte, d'œu uvre J1o0u8r) . .d e. MENDELSOIIN. gVnayl eu, reeuus e,q uaelti tée mdbea rpqausesnatg esrusr, leà l'Cefofeli-t Le vapeur VA rmorique, venant de eabns cohlueefd, nta Pnnt gqnu ne' ésloanil parsostuérgéé d, eM l.'i dmep Fuonuitré- 2,287,701 fr. 31. Bordeaux, est entré dans notre port le 30. Honheur AI-BER. de se rendre à Cherbourg, à destination tou , détiendra le portefeuille do l'inlé- BKCKTTF.S : 3. La IJvrij. PIROEEI.LE. de la Guyenne, bâtiment sur lequel ils rieur. Le chapitre 1'% rectte^ ordinaires, 4. Ernam VERDI. compteront du jour de leur débarquemetit L'escadre de la Méditerranée, sous les C'est égal, nonïi voudrions bien savoir comporte quatre paragraphes : 5. Caprice polka) L. C. de la Valeureuse. ordres du vice-arairal Jauréguib'^rry, est f» quoi serait condamné un journal répu- Jacquemart, capitaine de frégate, prend mouillée, depuis avant-hier soir, à l'entrée blicain qui voudrait voir iin acte de ven- § i. — Produit des imposi- Molène. — Nous recevons de notre provisoirement le commandement de la du port de Bône. geance dans la décision d'un magistrat. tions directes 98,500 ^ correspondant le télégramme suivant : Division, eu remplacement de M. le capi- De la part du Pays, c'est une simple §2. — Produit des biens taine de vaisseau Morier, admis à la re- .^LiRlIVIi: i^lAllCIIA!\DE gentillesse. communaux 18,366 1" août, 10 11. 45, matin. traite. Quelle belle chose que l'ordre moral ! § 3. — Produit de l'octroi, Arrivages du 30 au 31 Juillet 1877. Un grand paquebot est échoué près de Chevalier, prolongation de congé de marché des boues, droits de voirie 910,189 la Jument. (Ecueilprè-sderîied'Ouessant). convalescence de 3 mois, pour Paris, à Jeffrey, cap. Munston, reti. do Cardiff, D É P Ê C H ES compter du 14 août 1877, date de l'expira- (L'octroi, à lui seul, four- ch. de houille. — Consolation, cap. Le tion du titre précédent. nit la somme de825,000 fr.) Un arrêté préfectoral en date du 10 juil- Vigoureux, ven. de Port Launay, sur § 4. — Recettes diverses.. 13,325 let répartit ainsi qu'il suit, pour 1878, Turin, capitaine de vaisseau, se rend à lest. — Armorique, cap. LeGall, ven. de entre les arrondissements et cantons du Dunkerque où il devra arriver le 2 août Bordeaux, avec div. march. — Diane, cap. SERVICE TÉLÉGRAPHIQUE TOTAL 1.040,380^ département, le nombre de 600 jurés attri- prochain, à l'effet de présider la commis- Breluzeau, ven. deSt-Martin, ch. de vin. de l'Union Républicaine. Le chapitre recettes extraordinaires, buésau F'inistère, oonf"rmémftnt à l'article sion d'examen des élèves-pilotes des côtes — Anna-Dorothea, cap. Rugi, ven. de donne un total de 106,310 francs. nord de France. 6 de la loi du 21 novembre 1872. Kœiiisberg, ch. de chanvre. — Pierre et Paris, >•• Août, 10 h. 50 matin. poLsiati opnlu se xfotrrateo rdriencaeitrtee pdreo v1ie5n tc denet ilm'ime-s Arrondissement de Quimper.—133,756 seaBue,r scheo rnedneds àE sDsaurndkse. rlqiiuneit,e noaùn tdilo dveavisr-a dMivar. iei,n acrcahp.. C—o stAanrgde, ,v enc.a dpu. HMaevmreb, raavredc, Hier M. Decnzes a eu une longue habitauts: r25 jurés. Cautou de Bnec, 6. entrevue avec M. Holienlohe. additionnels, pour la création et l'agran- arriver le 2 août courant, a i'effet de faire ven. do St-Martin, avec div. march. — dissement des élablissemenis scolaires. Concarneau, 11. Diuarnenez. 18. Foues- partie de la (commission d'examen des Bayadère, cap. Bernard, ven. du Havre, Le liruit s'accrédite que la date des Celle imposition donne annuellement naui, 7. Ploj^rtsiel-Saint-Gerniain , 15. élèves-pilotes des cotes Nord de France. ch. de briques. — Marie-Lowse-Philo- élections serait rapprochée. 82.500 francs. Pi)ut-Croix, 20. Pont-Labbé, 19. Quimper, Barthes. enseignede vais.seau, débarque mène, cap. Le Clerfc, ven. de Boulogne, (Sous toutes réserves) .Midhal-Pacha Total général des recettes : 1,146,690 fr. 23. R jsporden, 6 de la Bretagne et embarque sur le Hugon, ch. de ciment. — Lucie et Marie, cap. quitterait Vienne denuiin pour se ren- DÉPENSES : Arrondissernent de Brest. — 213,598 par permutation avec M. Saget. Thomas, von. de Dunkerque, ch. de Le chapitre 1", dépenses ordinaires, habitants ; 199 jurés. Brest, P' camou, 23; .Sai,'--!, enseigne de vais'^ea», débarque houille. — Gloire, cap. Bouilly, ven. de re à Conslatilinople. se divise en sept sections : 2* cauloii, 34 ; 3" cautoa, 27. Dioulas, 18. du Hugon et embarque sur la Brehgne. Dunkerque, ch, de houille. — Clara, cap. Le corps d'armée de la Dobroudja 1* .Administration et percep- Landernean, 19. — Lannilis, 14 Lesne- B'>ry, lieutenant de vaisseau, cesse ses Cariou, von. de Molène, avec div. march. a arrt^lé momentanément sa marclie vea, 17. O'Jtssant, 2. Plabeiinaiî, 13. fonctions d'aide-de-camp du préf^^t mari- tions ; police. 264,305'^ NOBTIES sur Siiistrie. Pioudalnv'zeau, 14. Ploudiry, 6. Saiut- time, et embarque sur la Bretagne en (La police comprend 64 Renan,12. qualité d'olH ner au choix Brestois, cap. Cannic, ail à Douar- Une bataille serait engagée depuis 2a°g eCnhtasr.g) es et entretien des Arrondissement de CMtenuHn. — Biraz^r, capitaine de frégate et Tissot, bnreineellze,, caavpe.c Edsiuvo. I,m aailr.c àh . B—ilbJauol, iseun r lGesat-. hier h Yani-Saghra. BULHER. 106 812 habitants ; 100 jurés. Cadinix, 14. lieutPriaut de vaiss'^au, cong-s à solde biens communaux ; dé- — h'rnilie-Marguerite, cap. Siéphan, ail, penses de sûreté, salu- Chàteaulin, 18. Ciiàifauneuf. 16 CMZUU, entière pour faire usage des eaux ther- a rile-de-Sein, sur lest. — Conco'de, cap. B O U R SE DE P A R IS brité; éclairage 165,520 16. Le Faou, 7. Lo Iluelguat, 12. Pieyben, males de Vichv pendant la 4' saison. Roussel, ail. à Nantes, ch de vieille fonte. DU 1" AmjT 1877. (L'éclairage coûte 70,000 17. Lormier, lieutenant de vaisseau, prend — Consolatioti, cap. Le Vigoureux, ail. les fonctions d'aide-de-camp de M. le francs.) Arrondissement de Morlaix —141,369 à .Swansea, sur lest — Clémence, cap. Cours du i''. Cours du ZI. (.ontre-amiral préfet maritinn par intprim. 3» Sapiers-Pompiers et dé- habitants; 132 jurés. Laudivisiau, J3 Simon, ail. à Douarnenez, avec diverses Au comptant. Dubyrd, lieutenant de vaissetu, arrive penses militaires 19,230 Lanmeur, 14. .Morlaix, 21. Plounscat, 11. mari'hanilisps. 3 0/0 70 15 70 3a au port venaut de 'i'uulon dibarqué de la (Une augmentation de 300 P;0ui£ça»^au, 14 P.DUzévédé, 11. Saint- i 1/2 0/0.... 102 » lue 60 francs a été votée comme P.»l-de-L'^nn, 19 Sai.jt-Thégonnec, 12. 5arZ/ie le 16 juillet 5 0/0 106 » 107 10 inlemnité an sergent-ma- Sizun, 8. Taulé, 9. Marion, lieutenant de vaisseau, arrive jor de la compagnie, chargé au port venant dp Rochefort et emba-que DEltNIÈlIli^OUVELLES A ternie Arrondi^'isementde Quimperlé —47,428 d'un service irès assi-jettis le 28jui lelsur l'Orne, en qualité d'uffijier 3 0/0 70 50 70 '15 habitants; 44juiés. Arzauo, 5 Bannalec, au choix. Le conseil des miinstres s'est réuni, 5 0/0 106 20 107 20 5ant. 4* Fonds de secours aux éta- 9. Punt-Aveu, 12. Q nmperlé.ll. Soaëf,7. D.jbart, lieutenant de vaisseau, permis- hier matin, à l'Elysée sous la présidence Banq France. 3062 50 3065 » blissements de chanté.. 212,850 sion de 15 jours pour Biest et Perpigciani du .Mai échal de Mac-Mahon. Crédit foncier. 7)0 » 717 50 (Soit un quart du budget Le ministère de l'instrnctinn publique Rollin, lieutenant de vaisseau, rentre Les membres du cabinet ont disoulé la Nord., i V.,.. li-là » 12.13 26 desdépensesordinairescon- s'occupe en ce moment des réformes de congé et sert a terre. que.vlion judiciaire relative au Bulletin Lyon....... 1008 75 1010 n sacré à des œuvres de bien- à apporter dans les e.\amens des étudiants dt's Communes, Aucune décision n'a été Orléanà 1062 60 1055 » faisance. en tnédecine, Mouvements survenm parmi /« officiers prise. Ouest 6«0 » »îRa » 5° lustr. publ.. 88,651^40' Anjourd'iuii les élèves ne commencent du rorp.'i de santé, du 21 au 31 A la suite dil consëil, .M. de Oroglieet Dettpgi'd'Egypte 185 » 1«7 50 , B bliolhèque. 7.000 » îi passer les examens de doctorat qu'après Juillet m?. M, de Fouriou sont restés en conférence Musée " '00 » la quatrième année, A la fin des trois MM. avec le MaréchaL V i s j ^ ï ia premières,on se contente de valider leurs ,TheiUre....._29 inscriptions, en les soumettaul, par pure Ctrat>ger. médecin de clapseï débar- On lit dans la Corresjwndance univer- r2O95if'40 120 951 40 quodela Bretagne, part pour l'immigra- selle : formalité, h une épreuve que les étudi;inis e* Cultes 8,800 et les professeurs considèrent comme peu tion. Hier dlganl Fancli ann TALtC. incrour, M. le maréchal ayant manifesté la (Le Conseil a réduit de Friocourt, médecin de 1" classe, cru- sérieuse ; de telle sorte que les trois pre- ^jOOO fr. la subvention à la barque sur la Bretagne. curiosité do voir ce que les jôurnâux (la lann GOltIt, inevei. m'ères années d'études sont gaspillées et disaient de âon voyage et de sou discours fdb'iqiie de St-.Martin, fixée Manceaux et Porinel, médecins de 2" que la plupirtdes élèves ne commencent à Bourpps, un travail spécial a été fait sur à 4,000 fr. dans les proposi- à travailler que pour le premier examen classes, rentrent de congé. (Trivet liger.) l'ensemble des_ feuilles de province et de tions du Maire. An budget de «loclornt. Le Landais, médecin de 2» classe, dé- Paris qui apprécient l'excursion du maré- additionnel de 1877, une barque du Aavarin. inn naountek f;ouw, 1877. D'après ce projet, qui a reçu l'approba- chal. somme de 6 000 fr. a été tion de la KacuUé de médecine, les exa- .\uvray. médecinde^^ classe, débarque Le travail contient dix feuillets avec Ma mignon lann, inscrite pour l'établisse- mens dits de fin d'année, seraient suppri- de la Valeureuse. une analyse des articles de chaque jour- Pa am eus hirio ©un tammick sidz<^.t 6 ment d'un beffroi). més et les épreuves du doctorat réparties Prima, médecin de 2= classe, embarque fell d'in kaoseal ganid ar re diwarbenn •J* Diverses 6.600 sur les cinq années d'études au lieu d'ôlre sur le Friedland. nal. traou ar gouarnamant, da lavaret eo aber accumulées à la lin de celte période. Lhelgouac'b, médecin de 2' classe, em- Si ce travail est f.iit avec sincérité, M. le eun tamm politik, evel ma ve lavaret en TOTAL DES DÉPENSES ORDIN. .. 7Y7,35(.>''' I0' barque sur le Navarin. maréchal de Mac-Mahon y pourra puiser galU'k. — Glao a ra, hag (z oo rèd d'in hQchâp^Te'Uépenseaextraordinaires, H'^bcrt, ai le-mé iecin, rentre de congé. d'utiles enseignements. chom en ti. Eiirusamaut, am fûs dastumet se divise en deux >ections : On lit dans le Phare de la Loire : Fouéré, aide-méJecin, se rend à Toulon ma fœim, eti amz'jr vad. Ar glao a zo grèi 1. Remboursement du capital et intérêts « L'arrondissement de Paimbœuf joue pour embarquer sur la Provence Le Petit Parisien nous donne copie de en deiziou divt-za-man, hen etis grêt paou de l'emprunt de 2,500.000 fr. 195.022^ 19 décidément de malheur. Il n'a pas usé Auhry, aide-médecin, débarqué de la la sommation adressée par huissier à M. brrt7 (grand tort)_ euz an edou , o tiskar (Il reste 500,000 f. à émettre). moins de oi//^ sous-préfets depuis le 16 Psyché. de Fourtou, par M. A-idrieiix, l'un dei» ant zho war an irvi, er parkou ; hngon 2, Travaux communaux. nni. Le cinquième, .M. Lepomeliec, vient Vaucel, Buisson et Brcdiam, aides- 363, qui invoque le droit de répon-^c ins- d'ar bottprabes, d'ar panes, d'ar c'haol ha Acquisitionsetfraisvrelatifs. 148.832 72 d'èire attaché au cabinet du ministre de médecins, débarquent du yavnrin. crit dans les lois sur la pressepour d'ar melcbon ben eus grêt vad, — ha mar (Une somme de 5-i 000 fr. 1 inténeur. Laurent, aide-médecin, embarque sur requérir s.t nrolesla»;on contre les iilïir- deu ann amzerda vtza brao, hep dale, est inscrite pour la fourni- Qaand nous serons à dix... » la Psyché. mations d'ff,,in;itoiri's contenues au nul- hag e teuo, dre n'hraz Doue, ~ e savo ture d'eau potable à Uecou- vrance, la conslruciion et Esch;u3zier, médpcin auxiliaire de 2- lèiin des Communes. Ou voit (| l'en même hag p tarevo (mûriront) an.a edou, ha na Les probabilités du temps classe, Coutaiid et Wailhtr, âiHft" VuHfie- temps que le niinislre del'inlérieur,com- vf-zo kf't brazani) drouk. l'aménagement des écoles communales cins auxiliaires. Hfii^^rqueijl du Xavarin, me nous le disions lundi, va clrc reclier- Met kement-zeholl a ouzoud kerkoulz ub ',a Bntagne, entrent en congé. cbé comme civilement responsable des ha me, bag a draou ail e fell d'ia kjuiz TOTAt D5S DEP'" WTRAOUpiîf ' 343.804 ' t) 1 Voici, d'après jNiçk î^fli^uew), UlessiDij, aide-méd'cia auxiliaire, dé- diffamations commises par le Bulletin des did. Hon député republikaa a zo bet gi r. 1/rnioii Uepublicnino du Finîstèr:' V('Ip{ ai-"hnno!i a-n»^v(/. Iri aniai), pe d'tzho o'hos/'? M.H lia lîlpont k'H kredi ionl'ont (il-^ vpirpnt") gnelet sk'i''- ilri' lii?- M. n innird est nomnip sous-prcfet Di;(~i:s : 7. dt>!>I, ar 1» 7, lien < ù-; hnarct .i'ii;ii : enr gir a g-'imMi'-/-" hnil, na komer aoun, leo'h a ve e'hoant il g am-zho (î.ielct di^ , , Pii rfm|)'i''nin'Mii do M. Murchanl « T"s ;i t a ra k.' (i'<>[">qiî' ) ann e\e' bngale. pa v»- iavarei d'ezlio P vt-f.iu; a rpoîit ma', liiiio. pe:iri.>/. ;in ijutl a (jni n'a ji'is i/T' eiilr. M.ui(! o|||v,i(i\. l'poiise de Ludovic liiiclieiiPl, ml? p]<?c- — C iii'ii -n;! s'.'pM'> poin- •'I i''ii I r au p.II. :;i ans 7 lunis. — Inii ir- L(i ti'iiuidii, Far'i b ; t a oi./ioiin kf^t (.-'hoaz }>•' lui knt v'ant ar blciz mar na ze iiout k 't. oii'ii ppn ar ^<)uarnaiînnt broiv.a n'ho Tiii ni'r, S ans In imiis. — J.iC(|uos K^'iaiidreii. I! e t. pas u-re.ité!. Et m -n li.ibii. briMi,-, dciz e v»f.>ht g èt, iii' t h"p ila'e peh a Da gent."., — pa vi z ^ g'èl apn (^'i^rtion- d-cù>ke;i o'hoanl nemet da ober h'".ivpl et !• s rob 'S de nia l"eni;ne ? P''i\ eui r-liMili-, \rulMi; Mai ie L'\uii. ans 11 V'z>. a ^rp lan. pn nnz (luPi iii'lo. m» oar nou, ann ploctourieiin hii d-eù'^ kargou df'j.iutf- d li:i i^a vitfoîit k'ii repiib ik H ri'ji.-.it nour le miiM^^'èie. iiinis. - \i is;i,li> NI lu.iiu. -J ans s mois. — Liiiile vad, ha rnarli z ? t nitoj'h c'hoHz. Evel-sp. indan ar gouarnaniaut, da la\aret eo ar evit liisk.-ir ar RoiiiiMiic. mar donf'-n! oa Là on lin i x;>liiiu ' evli.') li'i'o'! ri a l'i IS ans ."i UMIS. M.ifi''Ali.tiuilli'I lil, l'J ez PO mai d'imp PÎII d^ri-'hel prest, in l'oni-tionHTiPnn, — ria dleont k-n k:ioi!t v( za ei) liani-viiiau bai s ICaïubr aua dejtu- M .M.w'li-iiit avec / (jiii i si un jutr, ans. - '.l-xndi • IJ- Vorce. I lieilio. toed, ba la^à 1 wn-ann t'ôa CMir roin* pe qui;, ••••l'oii'lii avoi' assi/,'i'im [vriineinT goi.zmiii ôa hiou rei boa mouez oa, tvit anun da goll ho o'hargou pe ho irisouab - na \t fonip ki t suri renet. Iflinour in'ho de fo votetpvitar l(-pu!)lic. pun impalai">r. llerri ppni jii» (|Uin 1 on l'a d-' la noiiiiiiation de M. {'ilkrajiBciiic fl<''Uiiiii<*iôro Marcliand aveu un d. pevar Met keiiieut-xe la i;'hiv,r\czo kel, A" ^]uJist^ed a znbrpuian, niinistred an Nanti, nann. naeo ktt f'velse e (Vhoarvp/o, Hoi itsK ni; i.i Nni 30 .ini.i.ia' J877. h:iv' ann dpputeed republikanet, perepz oa ordre moral tmiuero daon, hod-t ù-; prêt iiipl pveihenn : — Ministred an O'dre Le journal qui riiliciisp si plaisauiineul hag e rafont c'h'iaz hoil ar pez a c'balfont 7)inral. liroglie, Fourtou, hag ar re-aU, na anezho tri (Vhant tri ha triuguent tr les bévues do M. de Loui tou et do sou 11 est d'us ige (jno les grosses émissions Gaiiibr a zo bet torred, a zi^troo d.i ^'er- S' iiMit aci'oiiipagiipes et soutenues par la e\it olier aoun d'aun électouripiin, d'aim vefoutkfn ministred, lUPt taolet a vefont élal-mnior, c'est le... i'igaro! sailies pevar c'hant, d'ann nei.beuta , li;n:?s(; do nos l'on Is publics, il y avait duddiwarar mars dreist-boll, ha lakài d'auu traon, d'ho zro, evel ho prefeie', Tableau ! pendant le fours du mois de juillet des goude ann elprtionnou, ha neuze na vezo aiin pzhe da voii evit enebourienn ar Ké- sous-prefeied, meariou, etc., h.ig ann dud sous.Tiplions iniporiantps dont la dernière ken ar Republik tpc'het (exposée) da veza piihlik, pa Vf zo deut deiz ar votadt k. Tor- ho defo votet gant-ho a-eneb ar R-^publik ; aura lieu le 3L O.i pouvait donc, pensait diskarret, hag ar Franz a c'hallo bflva en clt' SSrost n t ho d-( ûs Kanibr ann depuiepd. bag ar ar re zeeoho defoezomni nezve dagrpnan le public, a.'U<Mt'r sans craintes de la rente prelt-lpd ba suus-pn ft-îed repubiikaned , ha da gaout aoun, rag mar dalc'hoîit kar- ppoc'h indan eur gouarnamant pi-hini n i Du n au Juillet JS77 pour la vendre à priiiiH à la fin du mois. glaskoen pep-tra neniet m id ar Fransijpnn T ut a bien marché jusqu'à avant-hier; h.ig ar iripariou a c'ballent terri ; gour- gou ha plaso:; indan ar gonaruamant, e droi z-t ho d-fûs ann holl dnd ho d-pù'? Vf font en riski braz da goll anpzho, pa holl, h-i dreist-holl hini al labourerieu hag NAlSSANOKS : -22. une certaine hésitJ tion a i-ommencé à se manil'est<-r hi>-r sur lei)oulevard dans les k.trgDu indan ar gouariianiant. ar re a ve goufzo paotred ann ordre moral, ar pez a ann holl dud a boan. Garçons : 10. — I.oon-Mario IIiicl. — Paul rangs des achiiteurs. Aujourd'hui on a baiivet foia-tionnerien pngalfk, da derri y'hoarvfzo hep-mar, pa vezo a-nevpz, bag Ha setu perag ann holl oherourienn, Mohert. — Ainùdé Duliii. — Kii|ioiie IUiihImoI — e»-;ayé quelques rt'alisalions et les oil'res artisaned ha labourerienn douar a die Ailoljilie Lu C.uen. — Paul Tiorcolet. — .luaii an(zbo ive pe da noazoud dVzho, mar na evitmad, an dro-man, ar republikaued sont tombées dans le vide. 0 i n'a pu VHU- V()tf)nt kêt evit ann dud e lavaret oc'h ar gouarnamant. voti bpp-tro ma ve electionou , — evit Koraiitrel. — Pninçois Fers. — Louis .Melzger. — dre qu'en (^Misentant à une forte réduction VPZO •Vlplionse ramlias. republikaned, — hag a rafont, [a vezo lie prix. OlFeites dès le début le 3 «/o à d'tzho voti evit ho, — da lavaret eo evit D'aun eill, — ann oherourienn (les ou- deut ann deiz, na eo ket gwir, Fanch ann Fillt's: IQ. — Eugèni'î .ly. — Maria Morvan — 70 -tô et le 5 % à 107.40. Nos rentes n'ont enpliouripDi) ar Rppuhbk ; —en eur g>r, vriers), ann artisaned hag ar meveillenn Talec ? — Marie ("loujon île Croiuld. — Limlie Le lioux. — pas iiu se relever, elles ont c.ôturé à giêt bo d-fûs holl e\el ma plije d'ezho, n'ho d-eù< k-^t ezomm da gaout aoun e Françoise Cossoii. — Fu^ônie r.roacii. - Anne 70 3-2 1, et 107 15 eu baisse la 1'® de — la a-vad, aotro, — am eûs lavaret pana oa ken eno Kaiiibr ann depuieed varikfe labour , cl(!ho. Ar republicaned liolland. — Anne te Itlaise. — .l<:;iiiiie lioll.nul. O.fvJ 1/-2 et la seconde de 0.75 centimes. evit stouim ho derc'hel penn out-ho. ive a Iaka labourat, me oar-vad, — hana d'pzhan. — Ili'iiriette Vaillans. — AuiJusliiiii iluinily. — Lu sort (!e la liqui<1ation parait désormais II ig en gwirionez , aman e votfomp Anne Doliollou. g avenient compromis. .\ux cours actuels, Ar bopl hen PÙS guelet kemeut-se gant grpdan ket e vefe guelet n'hoas ann aotrod k:Hzi holl evitar R'îpub!ik, ne met ar sa- MAKIAGKS : 7. la plupaitdes piimes dont la rofionsp'auia tristiHigès, abalamour mi vele skier pe- IXz f invidik hag ann r.ob'arz o laboura- crist, marteze, hag eul lakez aotrou beu- lieu lem lin seront abandonnées II y au- naoz aa dud-se a ree eur giou braz (grand ho-unan ho doua ou, evit na aofont ket nak. Fraii'vOis Johni, iinarlior-niaitre cliarpontier. lait alorsbeauc uip de rentes à revendre et ton) eus ar c'hotmners ha^ euz ar vro labour d'ar re ho defo votet evit ar repu- avfC Marie r.uillnrni, cuismii ro. — Au.Liiis'e Pt^- lesollVes n'ayant pss pour contre-partie de Kenavezoeur wpz-all, ma mignon lann, cliaid. ta|ior;il il'ariiius. vriil'do Maiic llolliorel, ho'l. lia kouizgoule ar b')pl u'hen eùs blikanet. Bczit en peoc'h eta war ann vendeurs à découvert liquidant leur po- rag deut eo ann abardaez, ha na welaii avec Zoé li.uiclié. — I.uc ("ouef, jouriKilier an grêt di:.urz a-beJ, en nep-lec'h, n'hen eûs dra-ze. ken sk èr da skriva, — ha Doue das port, voufdeAiiiie l'ocli.ird, avec Fnie.sliiie Vole, sseit.i onL,e es :itorbalnigua'rtaioionnst fdoerc éBmûnenet dàe Glau bealims-a k"t k iinerret eur fuz il , evel gw. z-all, D'ann drivet, — mar lavar d'hpor'h eur ciillivMtnce — M;itlnirin llous.-eaii, marin de mirou en iec'hed. s int une trop bonne valeur pour que Ifj evit lii-k'^ii w.ir arru, hag ob'^r enr revo- bel. k na raio k^-t d'hpoch ho p.i^k hag e coniint'ire, vculMe ('.flcsline .Nicolas, avec Marie Da vignon. succès ne leur (imissiou puisse être com- luli<v!i nev(z Nam, b-n eo fir iiipurbet vpft-t daouet, mar viJtel evit republikaned, l.ainer. Imgéi-o. — Thuopluli^ .laincot, ineiniisicr, promis. avec Marie Ke inarec , coiiUiriére. — l'Iiarlc^ ha jasiaiit ; n'heii < û> gièt neniet hija he tui onpst ha tud vad. bfzit e'ho.iz hpp FANCII ANN T A L E C. Glaiidoii, c^t'oral d'arm''.^. ;ivcc Fiiiiiia lîi^iioii. diou >ko>iZ gant g'ac'har hi trucz z k-^-n doan ua nec'h (sans sou(!i) war genient ze, — lin-lave Le (Iraïui, liciileiianl au 71" re^iineiil ei'Zann dud pere a e.'h'iaiitae mont hag rag ann Hen-ze a rafe eur sanrilèj, ha mar d'iiil'aiiterie de ligue, avec Amélie .Marg. A1 I S UN COUP D ORDRE MORAL olier en ppp-tra etieb iuul (!a voloutt ) ar he D )up kouunaret eneb da unan bennag, DKCKS : 13. Oîi (loni.'iiulo un .Lirdinifr marié, VIO, hng en . ûs làrtl : na VPZO ktit a-eneb d'heoc'h, met a eneb Extrait d'un journal du matin : pour UIH3 ccimpagiic près Hrost. lia pgile. I.aïKcnt Giiill.iiiiot M inoi<.— Pauline HiMois, « lion zro a denio ive, abred pe dive- I au II nidis — l.-idoir Miii.aiit 1 mois — /ad, hi d'iuip a Vf z ) ar gir diveza G ;elet Ha neuze, nia zud k^az, sonjit raad, Il fallait bien qup, d'un mouvement M ne M rvaii. Il nuis. — .1. s-pn Horii e. gir- S'adresser au bureau du Journal. a vpzi), pa vpzi) deuPt deiz ann enigann me ho ppd. PU dra-man : I.ibr oo'h d'à voti profpctorai aussi compliqué que celui du dici:-inajor. ntra-t". veui de Marie li.nloi', SI t)p ar gonibat, — nann ga;it fusiliou ha evpl nia kaifot, ha dea a-bed na ouvezo, ]6 mai, se d^^gagàt au moins une situation ;i's -i iii.'is - Chai'i'S liaiii oud. ex iiiariii, de vaudpville. kanoi ou, na onip k"t k^n diut-se br^-man, mar karpt. da biou ho pezo mèt ho raou^z, E le s'est dpgasji^e. •JiS au> 0 mois. — Fr niçois Ferree .'i au 0 iuoi,s. A K iDPt gant taïuuKJU paper hauvet biilleti- pa è gwir pz eo secret ar vot. S-flaotiii — Jos p I SI 1", 'J au- G iiioi--. — lio l'lui Li: Figurez vous que M MiTliand, em- LOU vot. » koinzoïi hag aliou ann ho', mar kiret, ko- plov'^ dans une 4<'"an le administration Cal', "J" uiai r i cliarp nlit^r. époux de. Aime l.e L'I'TUDH de NOTAinn; à GUICL.-VN s^-tu pptra hpQ Pib lavarpt ar bopl nierril zok-'U bulletiaou vot digant ann lin uiciore, sollicite une modeste sous- ilolV o.') aii-i 'J nv i . — Ijieuiie (orilii r. 'Ji a; s î- uioir-. — Loiii?e \\a renie/, v uve d'^ H'ii" Arrondissement de Morlaix. evii k.-niont a z i l)et g rot a eiieb d'tzhan, holl, m-it pa vpz) ileiit ail amzer, na lakit pr"fei'ture. liéi'.iiaiit, 78 Ml-: mois — i.O'iis MeUg'r, en loul neniet ann hini a v-zo warnfzhan Il V tenait comme conservateur d'abord, hag ar b()()l az» bet fur, hag abalaiaou;- hano an den da behini huc'h eds c'hrjant pt, plus, cela llattait les goûts de sa II heures. — -leaii Stver, ans (i lUuis. S'adresser à M. lli-iuiou. Notaire à da Z'^ Ptrec'ho hag e ctiouiino ar vi.aoar da r< 'i ho mouez. femiu'^ DKCÈS AIX noI'lTAfX I 7. l'icilhen, ou à M. CLOAIU-:c. , Avoué à gant han, rag an aotrou Thiers bea eùs 0 bonheur ! ï'Olficiel annonce sa nomi- yUninix. bpt lavaret g\v. z-all gant g'.viiiontz : — lia mar deufe unan bennag, na eùs ket nation. < Ar victoar a vez<j d'ar furra ! • forz piou a v(zo, — prtfet, sous-préfet, Il court au ministère et veut remercier Éhii-Civll clt' l»oeoii% rancc L-ivarei a ^^zo d'ann dud, d'ann dud uiear, a'^joint, baruer a beo 'h, person, tout le personnel. Du 22 au 2S Juillet 1S77. DE GLÂCES SÀLON hepinstrufUoa dreist ho 1 ha d'ar greuer- pe eun ail, — da damai ha da c'hourdrouz Une seule formalité manque à sa joie : rienri. evii «b-r aoun d'tzho, peiiaoz mar ac'hauor'h, pe da noazoud d'heoc'h, aba- sa nomination ne lui a pas été notiiîéo .NAissANcns : 12. par lettre ho d'tùs eur gai k benuak, ua tùs kal a lamour d'ho vot, komerrit testou warne- Le spcrétaire généra', qui ne sait à qui Garçnns : if. — Adoljdie Pellen. — Isidore Glaces tous les Jours, iotz ppgeu izrill, indan ar gouarnaniaut, e zhan, em glpmmit, hep aoun a-bed, hag répondre, le rassure à net égird : Aruoull. — Henri ("ulvez. — Kiiyéne liiircl. — kolifontanezbi, mar voiout gant ar repu- aua den-ze a vezo barnet hervez al lezen- — Ne vous inquiétez pas, lui dit-il. '.Jiiill lUiiie Uallan. — Kdoiiard Uiiiués — llippo- IJelle Glace naturelle au Détail biikiiied. D'aun oberouneun, d'ann arti- nou ha koûdaonet d'ar prison pe da eun Vous êtes nommp, c'est l'essentiel. lyle Pellé. — Alexandre Le Vep^e. santd had'al labou-erieuii douar a vezo amant, hervez ar pez hen devezo grêt. Le couple Marchand fait part de sa FiU s: 4. — Clôinentine t'orre.— Klisa Kly. — lavaret na gavfout ket a labour ; hag ar Ann dud diwar ar maës, hag ann obe- nomination à tous ses amis. Monsieur se .Marie Durant. — Anna C.liarpenlier. MAISON D U M E N IL \ê!eienn a lavaro d'tzho c'hoaz , — ha rourienn na int ket hirio ken diwisitk commande un bel uaifoime et madame dreist-holl war ar maës, — n'ho devo ket (aussi ignorants) ha ken aouennik en deux belles rob^s. MARIAGES : 3. CONFISEUR-GLACIER Cppendanf, M. Marchand s'inquiète de Louis Le Bris, caporal fourrier di la flotte, avec ho fask, e koifont bo ine hag e vtfont dao- electionou evel maoant gwez-all, hag ann ne voir toujours pas venir sa lettre de Marie Clcgiier, taiHeiise à Icmmes. — Jules 17, Rue du Château, 17. iiet en kreiz punz ann ife.n, mar roont ho aotronez na gazont k-et anezho atao evel nomination. Burmon, matelot voilier, avec Marie Le (iall, moufziou evit henvel depueted republi- ma karont. Bat int tromplet kerliès à wez Il rouvre YOfficiel. couturière. - C.uillaume Le Uns, maçon en ville, .l.-F. CUSTY. kaned... lia petra na vtzo ket lavaret ma tigoront bremaa ho daoulagat hag e Qa'y lit-ii ? avec Maiio Hall, couturière. Le (ié.rniit : Elude de CllLTTON, commissaire- 400.000 francs, sous la raison so- S'adresser, pour le visiter, à M. MO APPAREILS CONTINUS pi iseiir à Bi est. l ue de Siam, 13. ciiile : Biron et Desliayes. ADJUDICATION REL, restaurateur à Kerhuon, et POUK LA KAIIRICATIO.N DI-S La sigiiaiure sociale portera ces mêmes noms,el chacun des associés En l'Elude de M* BELLAMY, notaire pour traiter, au bureau du journal. BOISSONS GAZEDSES DE TOUTE.S ESPÈCES T V l> o «i H A l> H • K V E N TE P U B L I Q UE en fera us:ige. E iiix de Sdliz, Limoiiaiîes, à Brest. 311 Celte Société est réputée commen - Soda-Waler, Vins mous.^eux, ET GRAVURE Après Faillite cée depuisle Juillet 1877. elle ii- LE LUNDI, Ti AOUT Ull Gazéilicalion des B.ères et Cidres M A I S ON uira par la volonté même d'un seul DIPLÔ.ME n'ilO.N.NEL'R De M. D E L A V I E R, Maître A .MIDI. E. ROGER PÈRE inléressé. à charge de prévenir ses .Médailles d'Or, Grandes Médaille MAISON FONDEE EN 1800 Cordonnier à Brest. co-associés un au à l'avance. De Deux Champs et Par- ii'Orel Médaille de Progrès 1812- « Une expédition dudil acte a élé par M. A«« l'RRHO.-v, Oftic. d'Acad. 73. hautes distinctionsaci ordéesù L. ÉVAIN, née ROGER. S-" celle situés à Kerampéré, en Saint- LE SÀMEin, 4 ÀUL'T iSll » déposée, le 31 Juillet 1877, au ADMINISTRATION la seule maison J. IIER.MAN.S-LACIIA- A BREST » gtetfrtdu Tribunal de Commerce Marc, el cadastrés sous les numéros à une heure de l'après-midi. DE L'ELLE. » de Bi-est, el une autre au jîretTe 000, 971 et 976. S«, Rue .Valnt-l'vca, 3« M'nit'lTON. commissaire-priseiir » de la Justice de paix du canton P r o p r i c t cN R u r a l es à TJrest, piocèdeia à la veille aux » de Brest. » Belle situation pour la création et Urbair«es Affnicohire s edt ee tno ucteosu legurra nd—eu rsP roesn- eticlières publiques el au comptant Pour extrait, délivré en exéoiilion d'une maison de campagne. LOCATIONS DIVERSES pectus — Circulaires — Prix- des ^iall•b;ullll^es, Menb'e-el Objet.-» du tiire IV de la loi du Juillet Celte Propriété sera divisée en Courants — Factures — Cartes mobiliers (icpeiuliiiii de la faillite du 1807. Wfublees ou non meublées ri'a(ires.ses — Cartes d'invita- deux lots de la contenance de 5,000 tion — Lettres de faire part de ^.iciii' I)i;i.Avii;n, mailre cordonnier, L. RAILLAUD, ASSURANCES SUR lA VIE Mariage, de Deuil, de Nais- consisiiiiii t li • • .Notaire. . ijfTièlres chacun ayant fagade sur la sance, etc., etc. ET CONTIUV 1,'LNCENUILV !< );i»n I MARCHANDISES route qui conduit à la grève. leoiT I-jude de M''('lll"lTON,Commissaire Mise h prix de chaque lot 5,000 Bureau : rue Traverse, n° /5 el fylin'lni)ijoi>, BILLETsls DÉCÉS lioltes. liolimes, Souliers et Caout- efcayi's a iiiiO IViseur, à Brest, rue de Siain, 43. chouc^, T iies à ISoitiiics. l'eaux de francs. Iiri'Kfj'inHf aoat 138 ni'is|ilipri's, mil- IMPRESSION PAR VAPEUR Veau, i'eanx de Ctièvie, Peaux de Ou traitera de gré à gré. pl''8. fiilMf.':, f»- pour tous les Travaux relatifs au Clieweau, l'eaux de Moiilon, etc, VE NT E cili'D a nrnoyor, Commerce, aux Administra- etc. S'adresser à M' BELLAMY. 347. iilain au I" lilrt-. — Verre cri,*la| U» qualiié, tions el aux Arts. MOBILIER Publique et Volontaire A L O U ER J HERMANN-LACHiPELi E Ml, nie 'lu l'aiibourn-l'ois.'.oiinicre, SPECIALITE (;ne bf'ile .M.ichiiie à coudre, deux Paris Kiivoi l'iunro es p oppe< liis lielnillés el riii f, blioilièque.^ en noyer, Ai moires. A L O U ER Pour la Garto de Visite gravée LE VENDEDl, 3 AdUT I S ll P o ur le 1" Octobre 1877 liiii e lin l'iihiiiaut (l' S It.iiss'ii.'. j:!i7,eii- (11.minotier, Tables, l.iiai&e>, Glaces, ses, |.iii)iie et es am|iillc jiar ntriiiuiiii- T » l'en iule, etc., eic. l.acliiiiie le, coiitie l'r. A '2 heures de l'apres-niidi. LMM K 1)1 AT E M ENT Ensemble ou Séparément Celte Vente, di\mcnt aulonscepar M'Clil'ITO.N'.comui.ssaire-priseiir r ue de P a r i s, 3 urHoiinance de .M. le lugc-cunnnis- ù lÎK'si, pi ui èdera à la vente aux eii- nuo «le i'.%Nilo «ich VicilliirilM, I Journal LHINION Ulil^lBLlCAlNE suu'i ile l'i pnliilc, «" ? (/ heu à Brc-sl, clicres publiques cl au complaiiide : place Jj(ilour-d A urerijne, w^ J(i,ù m J A K D IN MUKI': (Annexion) DU F I N I S T È RE lu reijuèle de LALLA, avoue- 80 Lois de En plein rapport, Cave, Serre. syndic. oiD VIEILLES T R A V E R S ES Piircau\ Ilutt d^iig^itillon, Ht Puits et un Appartement composé D e ux B O U T I Q U ES de deux P.ôces. DE CIIE.MIX l'EK. frlx des AbDenen e?ifs pour les Pajs d'Oolrev^îcr. U'iin ac'e le Juillet 1-S77. S'adresser à M. BELLÂNGÉ, place Une avec Arrière-Boutique, servant par M-i;.\ILLA!U.> et .-ou tollè^ne. Cette vente aura lieu à la Care d'Auvergne, numéro 2. 2 l'une de Forge el l'aulre de Débit, un an. 6 mois. 3 mail» des marcltandii>es. 350 iiolaiies il lii esi, eure^L-lré eu celle avec leurs Logements au-dessus, Payai Açores {Voie d'Espagne) 44 fr. 22 fr. 12 viile, le 25 da même mois ; ivi. CHAUVIN œ: " O C C A S I ON Grenier, Cour el Lieux d'Aisances; SAiniuttil-lePsiu, r(rîeii veatn eA Jfirqaiineçloanis f(. Vfoleied ^A nglala iRse^)'u nion, Port- 48 24 13 Il appert que : la forge est occupée par M. Le .Saïd, rs'ouvclle-CalHdoi ie, MayottP, (JorCe, Le MM. Séverin Hinn>-, Ku^ène DES- Cl t's-scicnce?,aucieiieicvedel Lcole Vourch, charron. (iabon, Hien-Hoa, Mvih(.i,Saïg(Hi( Voie française),. 48 U 13 iiA-^ts pore, Knyciie lti:sii.AYr,i Chinp, Cueliinohine, .lapon otioim^) Hieii-lloa, iMytho, Polytechnique, piévicnt Us Elèves A ame, ei Aritiur UfcMiAïis, uul luruie donne des I eçons de Ala- Vpil/lr/i"" Canot (le Plai- S'adresser, pour la location, à M. Sdïgun, {Voie française) 52 26 14 euir'eux une Socieie eu non collec- desPrix modérés. flUlJI t sance à cliu, d en- LAlluUSSE, rue de la Rampe, 3. Graud-rassam ( Voie unghiise) 52 26 14 lif, avec siège social à Lymbezellec. viron 5 mèlres de longueur, ayant 56 28 15 S'adresser au bureau, rue de l'dus, 31, au capital de '^urnal. G peu servi. Voilure neuve. 09 Indes Eiablissement français. {Voie française) 56 28 15 ^ 'niQ. L. EVAliN. née ROGER, rue Saint-Yves, 32. GeiUUé conforme, pai l'imprimeur soussigné, l'anaottce ci-dessus : Vu pour légalisation de la signature ci-contre, Et Mairie, à Dresl, k Juillet 4877< 'ÏV" •• , - , -V . Vendredi, r> Août 1877 Première Année. H2 M m ï\ : m D'ÂlGLiLlO^. ôl. A U M Ï. P a r a i s s a nt les L U N D I, M E R C R E DI et V E N D R E DI l'n An. ( !M.iii!. 3 Mfi?- LE NUMÉRO Annonces 0 Ma ligne. PRIX ^ lMnis((Te,C()tes-du-Xord, Morbihan lo fr ifr PRIX Vendu sur la voie publique : Réclames ^ 0 iO — DE L'AI!0.\M;ME.\T ; I Autres Di'parlemenls , Algi'rie , DES insertions I Alsace-Lorraine -T)- 18 10 15 C E N T I M E S. ; Les Réclames dans le corps du Journal se traitent à forfait. demande une solution (ju'on est inca- déchaîné les ambitions des partis qui dédain p.nr l'orpane de M. Briinpt, ne de M. Rouher est vivement attaquée ; mai.s LA BOUTEILLE A L'ENCRE pablede lui montrer, pourciHte bonne commeiK^aient à s'apaiser. trouve point mauvais de les uti'isc^r, h ce qui aj mte à la division, c'est que le roccaslou, pour les besoins de sa propa- G'I///O/.9qu ij,usque-là, avait tenu la ba- raison (ju'elle n'existe pas dans l'es- Au milieu de ces compétitions ar- OÙ en sommes-nous, où allons- gande. Imce égale entre les deux fractions da prit des gouv(!rnants eux-mêmes. dentes, que deviendrait la France, si nous? Telle est la (juestion que tout parti, annonce qu'il va en appeler au Nous sommes arrivés à un moment elle ne s'appuyait sur le parti républi- le monde se pose, même et surtout prince impérial lui-même pour savoir si 011 il serait cependant nécessaire de se cain uni, compact, n^solu à rester sur (( L'ORDRE MORAL » le parti doit rester plus longtemps sous après le discours de Rourges. prononcer. Les élections, quoi qu'on le terrain de la légalité, mais aussi h direction despotique, quoique jusqu'ici Voilà près de trois mois que le ma- fasse désormais, sont prochaines ; à lutter jus(iu'au bout pour la défense INTRIGUES ET TOHU-BOHU autorisée, de l'ex-vice-empereur. réchal de Mac-Mahon a, par un acte c'est une allaire de jours. Le suf- delà Constitution et de la République. Pendant que certains fidèles de l'Appel d'initiative personnelle, violemment frage universel va interroger les C'est ce parti que la nation acclamera Dppiiis plusieurs jours, le journal au peuple se gourment ainsi, le Consli- rompu avec les traditions du régime nou'^ apporte dos révélations fort candidats qui se présenteront à lui. aux élections, car c'est le seul qui Vlla/ie lutionnd. plus habile, déclare que, pour parlementaire, et substitué à la politi- intérossantos sur les efforts qui sont l'aits Oue lui diront couxfju'on nous an- soit capable de lui assurer la stabilité, mettre fin ^ la crise qui sévit contre que de la majorité, la politique de auprès du pape par les lé$:ilimist(^s pour l'union conservatrice, il ne faudrait q-io nonce d(!Voir être les candiJals agréés de lui garanlir la paix a l'extérieur, l'Llysée; voilà près de six semaines obtenir qu'il so prononce cotjtre l(>s bona- quelques modifications minisiérielles, du gouvernement, les candidats olli- l'ordre et la liberté à l'intérieur. partistps, en faveur des royalistes. que le Sénat, docile à la voix du chef qui auraient pour but d'écarter les arti- ciels ? Lors(|u'clle se sera prononcée sans Pie IX s'obstino à garder un sileiico de l'Etat, lui a accordé la dissolution sans d'intrigues. Chacun comprend quo Vont-ils se déclarer, pour tout pro- équivoque et sans appel, les obscuri- qui est déjà suffisamment éloquent par le voudrait éloigner M, de la Chambre des députés. Et rien Consiiiuiionncl gramme, les hommes liges (lu maré- tés de la situation présente se dissipe- Ini-mèine, en ce qu'il nous montre le do Hrogiie pour permettre h l'élément n'est décidé. chal de Mac-Mahoa ? Ils n'oseraient ront, et il ne restera plus des tristes Vatican peu disposé à répudier les gens bonapartiste de dominer le cabinet. Mais On ne sait pas, dans le pays, ce pas le faire. Le suffrage universel en- semaines que nous venons de traver- de Brumaire et de Décembre,! orsqu'il les l'entêtement de .M. de Broglie voudra qu'a voulu le Président de la Répu- tend nommer des députés et non des ser qu'un souvenir désagrtkible et une croit en situation de servir ses intérêts. de son côté aller avec les jusqu'au bout blique le 16 mai; on ne sait pas ce chambellans; ii veut (jue ses repré- leçon qui, nous l'espérons, ne sera Mais l'hésitation du pape et les sollici- singulières troupes qu'il a enrégimeutces qu'il veut aujourd'hui; et la France sentants soient ses mandataires et non pas perdue. S'il est bon quelfjuefois tations des partis à son adresse, tout cela au service de sa politique._ ne prouve-t-il pa-? que les diverses frac- qui a regardé avec une surprise attris- les gens d'un personnage (quelconque, de ne pas se montrer trop dillicile et tions monarchiques coalisées attemient tée les événements qui se sont pro- si haut placé qu'il soit. Les candidats d'avoir confiance, il convient cepen- de Rome un appui efficace, qui ne saurait M. Rouher et M. Paul de Cassagoac, duits depuis trois,mois, ignore toujours qui veulent et qui (ispèrent réussir dant de ne pas être dupe de sa crédu- être donné évidemment sans compensa- deux membres actifs du grrrand parti quelles en ont été les causes réelles, s'en rendent bien compte ; aussi.se lité. tion. Et, dès lors, que faut-il penser d'une conservateur, deux coalisés do la subdl- quelles en doiventêtre les conséquen- garderont-ils de se faire les cauda- La République subit des épreuves combinaison politique dont tous les adhé- vi.sion bonapartiste, continuent à se jeter ces. C'est, qu'en eliet, jamais boule- taires du maréchal et de de Broglie. parce que'elle n'a pas su exigf^r des rents se réclament (les prêtres au moment mutuellement des injures.^ la tête,tout en versement politique ne s'est accompli D'autre part, comme le cabinet du garanties. Elle les exigera à l'avenir, même où ils s'efforcent de repousser le déclarant qu'ils se mépris ml trop l'ua dans de semblables conditions; ja- 18 mai ne sait pas ou n'ose pas :dire et ceux qui pourraient avoir à en reproche qui leur en est fait par l'opinion l'autre pour d.iigner se répondre. mais on n'a mieux renversé ce qui ce qu'il veut, comme il persiste àres- soulfrir devront s'en prendre à eux- publique? Ah ! le beau spectacle que l'ordre moral était, sans savoir par quoi on le rem- ter dans une indécision qui pouvait, à mêmes; qu'ils se le tiennent pour dit. La discorde, nous l'avons vu déjîi, et l'union des prétendus conseï valeurs I placerait. la rigueur, être tolérée pendant quel- exerce ses rava^res môme dans les rangs Les électeurs feront justice dû tous ces des bonapartistes. La querelle qui s'est gens là au jour du scrutin. Quand on a épuisé les formules ques jours, mais qui ne saurait se élevée entre et le entre M. consacrées ; quand on a anathématisé prolonger davantage, il se trouvera Il est question de la fermeture très- l'Ordre Pays, Rouher et M. Paul de Gassagnac, continue le radicalisme latent ou public, pour- peu à peu abandonné de ceux-là mô- prochaine dedifférenles sociélésoiivriôres et devient plus violente encore par l'in- On lit dans le Bien public : ou de secours mutuels. fendu l'anarchie avec son hydre, ex- mes qui ont le plus bruyamment ac- L'ordre moral veut se faire sans doute tervention du Gaulois. A la lettre dédai- ploité le péril social et fait miroiter clamé son avènement. Les rapporta transmis par les préfets quelques adversaires de plus pour le gneu=;e par laquelle M.\I Rouher, de Pa- provisoires, devenant de plus ea plus mau- le spectre rouge ; quand on a lait tout Déjà les bonapartistes rompent offi- niomentdcs élections. doue et Jolibois déclaraient que M. Pdul vais, les ministres du 16 mai ont décidé t cela, il faut conclure. Mais c'est pré- ciellement en visière avec lui, et 3L de Cassagnac n'est point en état de se que le maréchal de Mao-Mahoa irait visi- ter le département da la Loire du 15 au cisément la conclusion qu'on ne trouve Rouher dénonce le traité ; c'est sur prononcer sur les dilllcultés que rencont re 20 août. pas, parce qu'on s'est engagé à la le nom de Napoléon IV qu'ils enten- Toutes les channbres syndicales ouvrières le comité d'exécution du groupe de l'Ap- Le préfet de la Seine-Inférieure a été de la ville de Lyon viennent d'être dis- légère sans savoir où l'on allait, sans dent se présenter au scrutin, et ils pel au peuple, ce polémiste répond har- également prévenu que le maréc-hal prési- soutes, par arrêté préfectoral. diment qu'il ne lui cofivient pas de s'en dent se rendrait à ilouen, le Havre et être à même de le prévoir. On peut sont résolus à lutter partout, non-seu- Elles seront rétablies, lorsque l'ordre Dieppe dans les premiers jours de septem- ])rendre à MM. de Padoue et Jolibois, bien faire dire au maréchal dans des lement contre les républicains, mais moral sera dissous à son tour, c'est-à-dire bre. lesquels ne sont que des hommes de paille, harangues olïicielles, qu'on ira jus- contre les légitimistes et les orléa- dans trois mois au plus. Enfin, il est fortement question d'une et qu'il n'entend avoir affaire qu'^t M. troisième tournée présidentielle dans qu'au bout ; le respect hiérarchique nistes. Rotihor, auquel il demande compte des l'ouest de la France. interdit aux fonctionnaires de deman- Les légitimistes, — quelques-uns, intérêts bonapartistes, et dont il déclare Ea Snône-et-Loire, les aubergistes Nous ne savons si ces proj'Hs sont sé- der ce que signifie ce bout; mais le le petit nombre de ceux qui sont presque l'influence malfaisante. roçoivpnt gratuilera(>nt le Figarn et le rieux. Si oui, l'espoir du cabinet n'est public qui a le droit de savoir où on honnêtes, -— ne se résignent pas non Peiil Caporal, qui leur sont expédiés par Ici encore on sent clairement les deux pas d'échauffer le zèle électoral pour les entend le mener, ne se paie pas de plus à cacher leur drapeau, ils veu- l'intermédiaire d'un comité qui porte le courants du bonapartisme temporisateur candidats du gouvernement, car ces voya- mots. Pour lui « jusqu'au bout » n'est lent Henri V et ils le disent haute- Doin d'Œuvre des Cabarets. et du bonapartisme violent qui sont aux g 'S sont loin de donner un prestige quel- pas un programme et ne signifie rien, ment. I! paraît que le cabinet qui traitait prises; tous deux, d'ailleurs, également conque à l'ordre moral. L'intention du pouvant trop signifier. 11 cherche et Voilà ce qu'a fait le i G mai ; il a dertiièreraent his cabarets avec tant de sans scrupules. On voit aussi quel'autorité cabinet est bienplutôtd'occupersansces- FEUILLETON de maladies honteuses, et qui remplissent virent tout à coup la flamme monter jus- — Oui, dit ma femme; mais qu'est-ce Oui, c'est un grand malheur d'avoir ua encore aujourd'hui nos hôpitaux qu'au haut de cette fumée, dans le ciel. que Jacob est devenu maintenant? crétin pour maître, et des gens autour DE L'UNION RÉPUBLICAINE Eu arrivant près de chez nous, ces Le canon no tonnait plus Un parlemen- — Hah! fit Georges, il se Dorte très- de lui qui le font passer pour un aigle. » bandits virent un homme qui les attendait taire venait départir, pour dominer encore bien! J'en ai vu d'autres, des bombarde- Ainsi parla le cousin, et ma femme lui Du 3 Août 1877. sur sa porte : je tenais ma fourche, et la place ; mais nos garçons n'étaient pas de ments, à Si-Jean d'Clloa; on tirait sur dit qu'elle aimait mieux voir passer lea Grédei derrière avait la hachette. Alors, ceux qui se rendent, ni les gens de Phals- nous avec d'autres obus ; ceux-ci ne sont Allemands, que de les garder chez nous. ( 29 ) n'ayant sans doute pas d'ordre écrit de bourg non plus; au contraire, plus on que de siï et do douze : les nôtres étaient « Voua parlez comme une femme, lui IIlSTOIilE voler, et craignant aussi le secours des brûlait, moins il leur restait à perdre;^ et de soix!înte Eh bien, au bout du compte, répondit Georges. Sans doute nous avons voisins, ils passèrent leur chemin. par bonheur le biscuit et la farine qu'on qiiap.d un homme est tombé, sur trente et des pertoi*. mais croyez-vous que la France Mais, vers onze heures, un lieutenant, voulait envover à Melz, depuisja bataille (luaraiite, c'est beaucoup. Soyez donc tran- no nous remboursera pas? Croyez-vouS DU PLÉBISC avec un cantinier, vint nn dire de lui de ReichshoiTrin, étaient restés à la manu- quilles, je vous réponds que nos garçons aue nous aurons toujours des imbéciles et céder quelques litres de vin, qu'il me tention : on avait des vivres pour long- vont bien, d'autant plus que la meilleuro des fliigorneurs pour députés? Si l'on ne payerait exactement. C'était une^ manière temps! Seulement la viande et le sel pla^ce est toujours sur les remparts. » nous payait pas, eh bien, plustard; qui RACONTÉE polie de piller, car allez donc refuser cré- allaient manquer bientôt ; comme si des Il s'assit alors et alluma sa pipe. L'in- voudrait oDcoro se défendre? Oa ouvri- dit à ceux qui vous tiennent par la gens de bon sens ne devaient pas avoir cendie de la ville était si vif et si clair, rait toutes IPS portes à l'ennem i; ce aérait Par un des 7,500,000 OUI Je les conduisis au cellier; le cantinier toujours dans une ville de guerre, au fond qu'il faisait trembler l'ombre de nos petites la perte de la France! Oiez-voua donc ces PAR remplit ses deux tonnelets, et puis ils d'une cave, du sel pour dix ans! Le sel vitres sur les rideaux du lit. idées de la tête, Catherine, et croyez biriQ repartirent. i > , / j n'fst pas cher, il ne se gdte pas ; au bout « Ça brûle bien, dit lo cousin. Ils doi- que notro intérêt est le môme qije oelui ERCKMANN-CHATRIAN. d'un sièoie, on le retouverait à la niême vent^avoir torriblem^nt chaud, tout de de la nation tout entière. Ah! si ce tunnel LQ colonel revist plus tard a la téta de place. Mais nos intendants sont si forts! même, là-bas! Mais quel malheur main- avait sauté, les A_lletnauds feraient une son régiment et s'avança, sans descendre Un pauvre m.eunier ne pourrait pas se tenant que lo tunnel d'Archeviller n'ait autre mine! » de cheval, jusqu'à la porte, demandant un VII (Suite). morceau de pain et un verre de vin, que permettre de leur donner ce simple avis. pas sauté; que l'ordre de Sa Majesté l'Em- Le coltsin, lâ-dossus, se mit à regardeï C'est pourtant la privation de sel qui fit le peur ne soit pas venu de mettre une allu- cette pauvre ville, qui ressemblait à une ma femme lui présenta. 11 ne pouvait s'ar- \u milieu dé cet épouvantable vacarme, plus soufl'rir les habitants, pendant les mette au fourneau de mine déjà tout mer de lluiimes; sur deux cents maisons, lèter davantage. le "pilla«e recommençait : pendant que les  peine était-il parti, cu 'on vint encore deux derniers mois du siège.^ chargé! Quel malheur pour la ' France cinquante-deux et l'église brûlaient ! che^ diraient l'incendie de la ville remplir les tonnelets de a cantine; cette Le parlementaire revint à la nuit, et d'avoir un âne pareil à sa tète! La ville Oa n'entendait rien, à cause de la dia- avec des lunettes, des bandes de marau- fois c'était un fdd-iCeibcLc[\i\ jurait que nous apprîmes qu'on ne se rendait pas. _ tient; si le tunnel avait sauté, les Alle- tance, mais quelquefois ua éclair rouge deurs couraient de maison «n maison tout serait payé le soir même. Il vida le Qae'ques obus furent enccire lancés ; ils mands seraient forcés de la prendre. Le arrivait jusqu'à non,s; et la lune, au-des- mettre la baïonnette sur la poitrme des restant de la barrique et s'en alla fièrement. tuèrent du inonde d^jà sorti des casema- bombardement n'y fait rien; il faudrait sus, à gauche, suivait tranquilleraent soa femmes et leur demander d u vin de eau- Fendant que cela se passait, le canon tes : des ierames et de pauvres malheu- ouvrir la trauoh<^e, et puis livrer deux ou chemin, (;ommedepuis le commencement de-vie, du beurre, des œufs, du fromage, tonnait toujours et la fumée montait plus reux. Ensuite le feu cessa des deux côtés. trois assauts. Cela lo3 retiendrait là trois du monde : toutes les abominations et tous eniia tout ce qu'ils espéraient trouver, épaisse. Les bombes de Phalsbourg écla- Il pouvait être neuf heures. Le grand semaines, nu mois, et pendant ce temps les crimes des hommes ne dérangent nea 13 d'après l'inspection des lieux, bi vous taient sur le plateau de Herlingen. A qua- Silence, après tout ce bruU, nous éton- le pays pourrait KO reto iiner. Je sais bien là-haut ! aviez un rucher, il leur fallait du mie ; si très heures et demip, la moitié de la ville nait. J'étais sur ma porte h regarder, qufj les Prussien'-, ont uao roule par For- Enfu: G'^orgos, ayant regardé cela les 14 vous aviez une basse-cour, il leur lallait était en ft-u ; à cinq heures, l'incendie pa- quand tout à coup, dans la nuit sombre, ba'-h et Sarre-Uiiion, pour rejoindre le sourcils froncés, partit sans rien diro 14 des poules ou des œufs. raasait s'éiendre encore, et la tour de je VIS arriver le cousin. obemiïi d'i fera Nancy; maisToul est là !... de plus. 15 Ces bandits dévalisaient tout. Ils com- l'église, toute en pierres, restait debout, « I^'rsonne n'est là? lit-il. El puis quelle diirérence d'arriver à pied, Nous restâmes levés toute la nuit. Voa.s 15 mettaient encore d'autres horreurs, qu'il mais vide comme une cage : les cloches — Non. » d'étape en étape, eu traînant des canons, pensez bien que personne ne dormait au a'est pas même permis de dire. étaient fondues, les poutres et le toit Et nous entrâmes dans la chambre, où des munitions, des vivres do toute sorie village; chacun avait là-bas un fils, ua Voila ce qu'on appelle les bonnes vieil- brûlés; on voyait à travers, de six kilo- se trouvaient Grodel et ma femme. derrière soi, des convois qu'il faut escorter, frère, un ami. les mceurs allemandes! mètres. j M, « Eh bien, dit-il en riant et clignant de surveiller, parce qu'ils peuvent être atta- Et puis ils nous reprochent nos turcos; Vers six heures, les gens du village, l'œil, nos garçons no se rendent pas; le qués, ou d'avoir un boa chemin de fer qui mais les turcos sont des saints auprès de devant leurs maisons, les mains jointes, commandant de placo est un brave homme, vous amène tout iianquillement les choses. (A Suivre.) ces êtres sales, crasseux, goinfres, miesiés L'*Unîon Républicaine du Finistère. solii zèlonnh loitto, M I.E PUKFRT r''[i!iqun : C'est un ennemi, • Al) (vi, mais ! el si le con'^ominateur Hrog'ie, qui est iiroban'i-niont i>rlé:Miis'<>, Nouvelles Locales nous n'en voulons pMS. rési.s;e ? pa;- M AI"-'.ux, ipn (;s( |,i.i,ii.-oiro l^'^'iti- et (Iti lui laUstT \wn d^^ t.'iii.vs pour se misli!, (il par M de P''o'irtiiu, ijui "sl toul. — - - «-s» M. F\L(jLE repretiii qu« AI. Coutii'i'^r Cal' enfin il peut se faire qu'iî y ail, recueillir et apprécier avi'O qiie'(iues loi- 1) Pourquoi ce minis'.ère est-il houio- avait les sympathies du catitoa : « L'^s paniii ces; braves jïons (lue M. I^douiird A V SS gè'K:! ? sirs la situilion qui lui est ftite. personnes qui vous disent le contraire, iNelsire du Hep;iire appe'le si dcilaignense- C'.'St, comme Ta du le une œu- monsieur le préfet, vous trompont. Je suis R. Parce que les ministres sont divisés. Tinirs, menl, des sens lout courl.. (pielque g:ir(;on à mèfue do connaître les (•h(jses ot de don- ].) Ces divisions s-; sont-elles imuiifes- (!o!if()na>'inirnt à l'arlich des vre d'excitation personnelle, afm que le ner cette appniciation eu ma qualité de rnoi.'îs palieiit ou plus robiisle que les tée-; ? Slaitih du journal marpclial n'échappe pas nu milieu qui l'a autres et qui rési.--le. R 0 li. 11 y a des ministres qui veulent /'(J\l().\ ilKPfJ- conseiller d'arrondissement. AI. Couturi<ir dos é'e tioiis itniu'''di!i!:is ; il y cti .'i d'au- accaparé et qui le suit partout. Les ré- sera nommé. AI. le préfet [-.eut en être M. le sous-préfet a-l-il pi'évu le cas ? BLiCAIM- DU FIXJSTER!::, .1/.)/. tres qui veulent r^'lanl'jr les é'oclions au ceptions d'.jppnrat font toujours un cer- certain. (Sensations prolongées). Je s;iis (les aubergi.sies qui sont Tort mois d'oi'tobr*j ; il y en a qui veulent /t'.v Arlioninura^ sont vonrfxjuh, à la M. ljoiut tain clT.'t sur l'esprit du maréchal, et Ifi, i.F. L'KF.FET. — Voiis ôies a de gringalels ; eommenl s'y iire-iidroiil-iis mettre l'état \ii\ sié.^'e ; il y en a i|ui ne le llrunion, en As^rnib'éc. (jniérale, f/ui Sauit-Jean-de-Bournay ? s'ils ont ulfaire i^i un voyii^^eur de com- ve jlent pa'^ ; il y en a qui veulent donner on ne lui dit qae ce qu'il entend à se tiendra à llre^l, à la salle Saint- M. FALQUi:. —Oui. monsieur le préfet. ^ merce mal pensant, mais lailléen lierciile tout"S les <.!an li.latiires aux boiiap;irti>t<^s ; l'Elysée. (iconjes, rue Tracerse, le MARDI, M. I.E PRÉFET. — Donufz-moi votre dé- Nous verrons se proiluire la pUiisante il y eu a qui ne ie veulent pis. L'fs minis- mission? histoire du soldat q'ii crie à son colonel : tres no sont d'afcord sur rieii. C'est pour- 7 A O U T, à sept heures cl demie quoi nous devons croire qu'ils sont unis. L ES 363 M. FALcjuE. — Non, monsieur le préfet. — J'ai fait uu prisonnier. du soir. Un en de : Enlevez-le! est alors poussé 1). Q lel est le but do l'uuioa conser- — ICIi bieu ! ;imène-le. vatric^ ? Le présent Avis tiendra lieu de lellre par un des « notables ». AI. le préfet rit : Lppjournauxlépiîimiste^bonapartistes AI. le sous-préfet sourit. — Je ue demanderais pas mieux ; mais R. C'est d'écraser le radicalisme. de conrocalion. il ne veut pas me là ;her. J). Pourqiioi doiL-(m écraser lu radica- Le dialogue reprend : et cléricaux ont publié, depuis quelques AI. le sons-préfet aurait' dû éci ire anx lisme ? WM.. ies Actionnaires M. LE PRÉFET. — Je va.is vous révoquer. jours, avec une faveur significative, une jngi's de paix de sa circouricriplion une R Parce qu'il est latent. M. FALQUE. — Ce sera pour moi un sont priés d'être porteurs signée Victor Robert. Duis cette circulaire qui me semble être le corollaire 1) Q l'est-ce que c'est que le radicalis- lettre grand honneur. me Isiteiit ? de leur carte, qui leur lettre, ifét^iit dit que la candidature ré- M. LE PRÉFET. — Je VOUS suspends. obligé de celle qu'il a adressée aux maires : R. C'est le radicnlisnip qui refuse l'am- sera demandée à l'entrée. publicaine de M. Guyot-Montpairoux était M. FALQL-E. — Cela me fait plaisir. Alonsieur le juge de paix. nistie. qui souiif^iit AI. Dufiure, qui vote par comité républicain, M LE PRÉFET. — AI. Fiilqup, adjoint de pour AI. Jules Simon et qui ne veut pas abandonnée le Je vous préviens que toutes les fois que la commune de Saint-Jeau-de-Boarnay de COI ilits avec le Sénat dans la Iliute Loire, et qu'elle éliit corn- vous aurez à juger dans une allaire de battue, à Paris, par MM. G.Mnbetta et est suspendu pour deux mois. rixe survenue entre un aubergiste el un 1). Pourquoi faut-il écraser le radica- Union républicaine c.st en vente Applaudissements du susdit « notable», consommateur, c'est ce dernier q ie vous lisme latent ? cho/, les dépositaires dont les noms Peyrat. qui donne le branle à plusieurs autres. devez condamner, alors même que l'au- R. Parce que le ))ays est tranquill''. suivent : Emus de cette derniere assertion, le M. FALQUE à AI le préfet. — Alalgré vous bergiste aurait porté les premiers coups. D. Pourquoi devons-nous hu'ir la Répu- blique? président et deux de^ membres du comité M. Couturier passera. Car l'anbergisle n'aurait f.nt qu'obéir à iMM. 1{. Parce qu'elle est bienvue en Europe; républicain de 1870, dans la première M. le prefet lève la séance ; AI. Fa 1 que mes ordres, l'intenlion formelle de M. le P.iimisTAii,, libraire, 42, rue de la Mairie. qu'elle a libéré le territoire, qu'elle nous et les notables évacuent lentement la salle ; préfet étant que les consommateurs puis- circonscription du Pjy, se sont rendus à dor.ne l'ordre, qu'elle protège le travail, DKLACIIIK.NNK , débit de tabac, 5!), rue il est dix heures trois quarts. sent èlre roués par les aubergistes sans Paris, et, après avoir saisi le comité séna- qu'elle assure la paix et qu'elle révoque Saint Yves. exercer jamais aucun droit de riposte. l'es fonctionnaires bonapartistes. Oriiuis, marchand de journaux, 33, rue torial des gauch^'S de l'incideni, ils sont Je vous prie d'agréer, monsieur le juge allés trouver M\l. Gambetta et Peyrat, La Gironde, publie le texte de la sen- de paix, etc. ]). Si vous ha'ïssf-z la R.^publique, vous SulTi'en. êtes sans doute ou bonapartiste, ou orléa- M"'^ llu.M.vi.NE, débit de tabac, '25, rue de qui étaient désignés dans la lettre de M. tence, par laquelle le tribunal de Bordeaux Signé : Edouard NELSIRE OU REPAIIUÎ. niste, nu légitimiste ? la Mairie. Victor Robert. a rejeté le déelinatoire proposé pfîr M. C'est que si M. le sous préfi^'; de Blaye a R. Je ne peux pas dire que je suis débit de tnbac, 36, rue d'A;- EI.I.OLT.T, A 1,1 suite d'une entrevue à laquelle, préfet de Traey contre l'action à lui oublié de donner ses ordres .Itix juges de légitimiste, orléanisto ou bonapartiste. Je g:uillon (Champ-de-Bataille). indépendamment de MM. Gimbeita et intentée par le journal. Ce Jugeiueat, trè.>- paix, le succès de sa première circulaire suis un homme qui a un drapeau. IMU;I)I;IUC CI.AUA, débit de tabac, 13, rue I). I^our(]uoi cafhf-z-vous votredrapeaii? p,.yrat, M. lléro'.d, fortementmoiivé en droit, fut une distinc- me paraît furieusement compromis. de Sumi, assistait h Rrpu/jlkjiie R. Parce que, si je monirais mon dra- a pub'ié une note q ii faisait liou entre les actes admini^tralils qui A moins pourtant qu'il n'y ait dans p--au, lesautres montreraiet t leur drapeau, M'"'^CAIUÎOUI.ICC, débit de tabac, 84, rue fmnçaisé do Suim. peuvent être entai'hés d'excès de pou- l'arrondissement de Blaye que des auber- (ît, t-omme nous n'avons pas les mêim-s justice des allégations de M. Victor Rj- voirs, mus q ii n'en reiteut pas moins gistes à poigne ! drapeau.^, il n'y aurait ])lus d'union con- Lr; tluAis, débit de tabac, 25, rue d'Ai- berf. Préfets , sous-préfels et aubergistes , servatrice. guillon. dans la compétence de la juridiction Et M. le président du comité électoral L). Vous serez nommé pour quatre ps. I.i'STiiM, débit de tabac, 3, rue Mong:e. tous gens à poigne ! administrative supérieure, el ceux qui du Puy a adressé à M. Guyot-Montpay- Dins trois ans, on révisera la Constitution. Moiu:i„ débit de tabac, 88, rue de Siam. roux, une lettre qui met fia à toute constituent de véritabîos abjs de pouvoirs Q.i'est-ce que vous mettrez à la place de Vue, marchand de journau.x, 05, rue et qui sont de la compétence des tribu- 0:1 lit dans le ce qui est? de la Hampe. espèce de doute, eu assurant cet houo- Journal des Débats : R. Je n*^ peux pas le dire. Le jeu du naux judiciaires. Autremeni, dit la sen- El dans les Bureaux du Journal, 31 rue rahle ancien député, qu'à Paris comme au Le Moniteur tinivcrsel, ioinnsi] offi- candidat olfi-^iel est de no pas dire ce qu'il d'Aiguillon. tence de B .rdeaux, tous les actes des Puy, il n'a j iuiais cessé d'être cons.déié cieux. nous apprend qu'un mouvement pense à ses électeurs, afiu de les mieux prelV.ts setaieui des actes adminblraiifs vient d'être o[)pré par AI Brunei, annistre dur)er le moment venu comme le candidat unique des républi- (J'ost a|)rcs-demain, dimanche, justiciables de la seule autorité adiuiuis- de l'instruction publique, dans le personnel D. Le candidat officiel ne doit-il duper cains daus la circouscfipiion qu'd lepré- des inspecteurs primaires. Ce mouvement que ses élecleurs? qu'auront lieu les régates de Brest. tralive, ce que personne jusqu'ici n'a Oié senlail à la deruière Chambre. conopreud une,douzaine de révocations et R. Non. Il doit duper encore ses alliés Nous avons publié dans un récent soutenir. cinqnarite-cinq à soixante mutations. Le de l'union conservati-ice. numéro le programme de ces fêtes En annorçint que M. de Tracy se Moniteur universel est eu admiration D Comment doit-il les duper ? attrayantes, qui est aujourd'hui afïî- Un Pféîet en tournée électorale. propose de saisir le tiibunal des couflils, devant la douceur de M. Brunei. « Il ne R. En leur faisant croire qu'il est « in- s'agitdimc pas,s'écrie-t-il, «comme l'adit différent à la forme du gouvernement» ché sur les murs de notre ville. la ajoute que ce prefet pouria (jironde » un journal radical, d'une exécution en Ce-t'e comédie a été imaginée par AI. Le Réveil da Dauphiné cous donne gjiguer du temps, mais que dès mamle- v> masse dans le corps des inspedeurs pri- d'Haussonville Une liste pour la sotiscriplion des un éck:uliliO!j des t-xpioils du préfet de nant il a moralement perdu sou procès » maires, puisque, sur trois cent soixante- D. Quand on vous interroge sur la meil- Régntes est déposée dans lesbureau.K rLère, M. Pdul Laura.. Ce loucliunuaiie devant la justice du pays, comme duvant » deux dont SH compose ce personnel , leure forme de gouvernement, que devez- parcourt en ce momeut les diverses l'opinion. » dou!5e seulementcontre lesqiiels de j ustes vous répondre ? de ïi'nion républicaine. » plaintes s'étaiont élevées, ont élé révo- R. Le muri^chal. communes du département ; il fait con- » qiiés » Le Moniteur ne compte pour J) Le maréchal est-il une forme de Ce matin, au port de commerce, à voquer les coubeils municipaux par les rien les soixantp muiations, qui équivalent gouvernement ? De plus fort en plus fort bien souvent à des révocations, lorsqu'elles R. Oui, le maréchal est une forme de Poulie al'Lor, où de vastes terrains ont maires et les harangue successivement portent sur de modestes fonctionnaires trop gouvornement. été conquis sur la mer, manœuvrait le pour leur recommauder les candidats pauvres pour supporter les frais d'un dé- D. Que ferez-vous à la Chambre ? régiment d'infanterie de marine, divisé en olïiciels désignes par M. de Fouriuu. Sous ce titre, M. Francisque Sarcey placement. Alais, n'y eût-il que douze ré- R. Je parlerai comme le maréchal. deux détachements représentant les tirail- vocations, nous ne croyons pas qu'à aucune I). Comment parle le maréchal ? Il y a quelques jours, M. Paul Lauras publie, dans le XIX" Siccle, l'iiiléres- leurs d'avant-gardede deux corpsd'armée. autre époquf^, on ait révnq ié en bloc, ua R. Le maréchal ne parle pas. Pendant plus d'une heure nous sommes ariive à baml-J^an-de-liouruay. Dès le sant article qui suit : nombre aussi considérable d'inspecteurs D. Quelles sont vos idées en politique? restée specfalenrs des marches et contre- maiiu, diverses personnes de Saïut-Jean- primaires. R Les idées du maréchal. marches exécutées par tes denx détache- de-Rournay avaient reçu la leiire d'mvi- Il semble que les fonctionnaires du 10 Il est impossible d'avouer avec une plus I). Q lelles sont les idées du maréchal ? brutale franchise qu'on regarde les institu- R. Le maréchal a dérdaré lui-même ments et nous constatons avec plaisir la tatiou suivante du sous-prefci de Vienne : mai lulieut à qui prendra les mesures les teurs comme agents électoraux qui doivent qu'il n'était pas un homme politique. Il régularité et la promptitude dans l'exécu- plus vexatoires, à qui fulminera les circu- être dirigés par des agents diWouésjuM|u'à n'est donc pas tenu à avoir des idées poli- tion des commandements, le soin avec Monsieur, laires les plus ridieuleineni illegales On la servilité. L'empire, lui même, s'effoiçait tiques. lequel chaque soldat profitait des moindres M. le préfet vient de m'iaformer Çl'^'il eût cru que les Ducros, les Doucieux et de faire croire que les membres de l'ensei- D. Eti quoi donc consiste cette forme irrégularités du terrain, pour s'abriter; se rendra a Saïut-Jeau-de-Bjumay le les ïracy de l'ordre moral n'avaient plus gnement primaire n'étaient pas mis au de jjouvernernent : le maréchal ? nous les avons vus manœuvrer an pas gym- jeudi 19 juillet, aiia de s'euiretouir avec service de la politique. Aujourd'hui, tout R. Ea l'absence de toutes les autres rien ^ ^^ ^ nastique, au pas de course, puis à genoux, les maires des iiileulious du gouverne- e^t changé, et AI. Brunei se croit modéré, formes. successeurs. meai. lorsqu'il ne frappe qu'une douzaine d'ins- D Et que ferez-vous après l'expiration couchés, rampant, le tout avec une sou- Il serait heureux, à cette occasion, de se .Mais ce champ ne se peut teller,::"' moissonner pecteurs indépendants. Il n'y a pas un des pouvoirs du maréchal ? plesse et une dextérité qui méritent tous mettre eu reiatious aveu les persouues ao- yu'i iesUtinuers venus n'y Irouven là i;laiier. esprit honnêie, qui puisse assister sans R. Le respect me déf-md de croire que les éloges et qui témoignent hautement tabies du oauiou. Je vous serai reuuuaais- à ua pareil spectacle. les pouvoirs du maréchal seront jamais de la capacité des officiers et du soin saut de vouloir bieu vous rendre a la mai- Je doute pourtant que l'on puisse aller emou..- « expirés ». qu'ils apportent à l'instruction militaire lie, où M. le préfet recevra a huit heures plus loin que le sous-préfet de lilaye, D. Alais, si, par hasard, le maréchal des hommes placés sous leurs ordres. et demie du matiu. M. Edouard INelsire du Repaire. Il a du Veuillez agreer, monsieur, l'assurance coup je crois décroché la timbale. Le prince Amédée de Savoie , ex-roi mourait? En continuant ainsi, nous sommes cer- •"-"Miemeat m'interdit de croire de ma cousideratiou distiuguee. d'Espngne, vient d'être grièvement blessé tains que l'infanterie de marine rehaussera 11 vient d'écrire aux maires de son ar- R. Leoetv, Le sous-préfet, rondissement une circulaire que je vous dans un accident de voiture, à Turin. à la mort du maréchal. «""•oro. le cas échéant, la belle réputa- Siyné : (Illisible). demande la permission de citer textuelle- D. Vous voudriez donc que cette forme tion qu'elle s'est acq'ùiss dans la dernière nient d'un bout à l'autre ; car c'est un de gouvernement, le maréchal, fût éter- La réunion, dit le Réveil du Dauphiné^ Petit Catéchisme du Candidat guerre. chef-d'œuvre : nelle? , „ ., eut heu, d l'heure iiidquee, à la manie, oiïlciel R. Non. Si elle était eternelle, jeu Le commissaire de police maritime et lilaye, le i!U julllot 1877. dans la salle de la justice de pjix. iNou- demanderais une autre. C'est parce que ses agents, ont pris leur service dans Vtaux comphmenià de M. le préfet aux Monsieur le maire, le maréchal doit démissionner, ou quitter l'Arsenal, mercredi dernier 1" août. Un journal de Paris publie une fan- le pouvoir, ou mourir, que je soutiens le Les agents sont en costume de ville, « uotab^ea » qui veulent bieu i'houoier J'apprends que des individus se disant taisie spirituelle et dont nous allons maréchal. AI as le dévouement et le res- on ignore encore s'ils auront une tenue. de leur piéseuce et, il eu est certain, de commis-voyageurs et quelquefois même pect m'interdisent de penser que le maré- des gens de votre commune repaudent reproduire la plus prande partie, sur les leur coucouis. Grand expose de la siiua- lceh aplo umvoouirr.r a, démissionnera , ou quittera dans les campagnes le bruit que 1 auiH du opinionset les devoirs du candidat officiel. tiou, des luleLitiouS de ivi. le Mjiechai ; 16 mai n'a eu d autre but que de l'a re je J). (Quelle est donc la mission du maré- réquisitoire couire la Lhdmbie uisaouie; ne sali quelle restaL;ratiou monarchique, Demande. •— A quel parti doit appar- chal ? e.xecutiuu e.oqueule du ladicdiismo la- el vont même jusqu'à abuser de la crédu- tenir un candi l!it olli ^iel ? R. Ilétablir l'ordre moral. Dimanche, 5 Août lité publique, eu pariant du rétablissement Réponse. — Au parti de l'union conser- I). Comment le rétablira-t-il ? teui. de la dime. vatrii:e. R, Je vous l'ai dit: en ralliant autour de G i U BË FtlTË DE DOlAKNEi^EZ Avant qu'il fût arrivé au terme de sou Le but que poursuivent ces émissaires J), Qu'est-ce que l'union conservatrice? lui tous les membres de l'union conserva- trice. . , , Oûciueux discours, ie couseiiler d arrou- politiques e.'it aise a savoir, et vous com- II. Ij'union coossrvatrice est lo narti de 1). Et quand tous jes membres de disseiuenl du cauiuu de 6iiut-Jedu, M. mpreenuta iae zu e ipaociinietm laeisust elr'i ndtéeniaèttu rde .r gsoeusv aecrntees-. cceeuuxx qquuii vveeuulleenntt rr^éUtaabblliirr lla' emmponiraer,c hdiee l'union coiîscrvatncfl seront ralliés, que Si le temps le permet, un vapeur partira l'alque, premier a.ijoiut au maire du Je vous mvite donc a prévenir vos ad- constitutionnelle et de ceux qui veulent feront-ils ? de Brest à (i heures 1/2 du matin, et de bouig de S-iint Jean, interrompit le pré- miuistres et en païuculier lua aubcryisles rétablir la monarchie absolue. R. Ils se battront. Douarnenez, à 4 heures d u soir. fet et demanda la pdioie. tii itia ca/ctiers qu'ils doivent amener ue- 1). Il y a donc trois pards dans l'union Aller et Uetour : 4 fr. vautv^.us, toutindividuayant conservatrice ? Elle lui fut accoidee, et alors s'enga- UE VIVE FUKCE, tenu des propos de nature a Jeter le Iroub.e R. 0 li. Il y a trois partis, Alais ces gea un dialoi^ue, dout voici le résumé dans les esprits au sujet de l'acte du 16 trois partis ne font qu'un parti. LES MINISTRES ACTUELS Musiqae du 2' Régiment d'Iofaoterie de Marine d'api ès le licvaL da Daupluné : mai, pour que vous puissiez constater leur J). Pouvez-vous expliquer cela? identue. R. Xoa, c'est un mystère de notre Ou lit dans le Rappel : PROOKAMMK des morceaux qui seront exé- M. FAi.yLE. — Je demande à M. le pré- \'ous avez à vous entendre avec la gen- sainte cause. Le bonapartisme ne procède cutés Sutnedi, i Août, à 7 heures du fet s'il compte recommander la canaida- merie au sujet de la preseute circulaiie. pas de la légitimité, la légitimité ne pro- AI. de Broglie , qui a été libéral sous soir, sur le Cours-d'Ajot, ture de Al. Couturier. Agretz... cède pas de la monarchie constitutionnelle l'empire et qui a écrit contre la candida- étaMnt. LuKu l 'uUtFcKsT 3 id)Jé,c lIal réu aq upea sM l.e sC boju/mtupraie-r îSigué : EDOUAKU NKLSIKE NO' UEPAIKE. ecèt dlea mnio dnea rlc'uhnie nci odnes tl'iatuuttiroen. nLeellse onrleé apnriso-- ltau rRe éopffuicbileilqleu e; AeIn. d1e8 7A1I e; auMx., qPuair ias aqcucie paté 21. . iA]Ai> . Csnrïoimix> diV'unt)nnen e.^nnri, t do'E\\\t.é AII.L I;(T;II:KUI. MAS. thles du guuverueuieut. tes empêchent les journaux bouapariisles applaudi au 4septembre ; AI. de Fourtou, 3. Ciro/lé Giro/la, fanlaistc. . C. Lixou. Après cela, il l'aut tirer l'échelle. de se vendre dans les gares de chemin da d'hMou. uKeAioHSiU) Eg eduus ,q ueel qpuaerm Ai l.le sC o3u6t3u, riielr ye sat Aiiisi voilà les cafeLiers et les auberg'is fer ; leslégitimistes se pretondenttraliis par qmuêi mae éà téc eitet em éinpiosqtxu'ee , dae éAcIr.i t Tulnieie crsir, ceut' aqiruei 5i.. iV'n,\ ind\odu xâ WR'(hegi aCrdh,û tetV a. rs. ov. . . WAADLAL.KM..N TI.N. tes qui boui trausl'unnes eu iige,/Ls de 1-gouvernement ; les bonapartistes veu- de ceux-la. pour f^ire rentrer le clergé dans le devoir ; ponce el en gendarmes par le sous- préfet lent envoyer les orléanistes et les légiti- ces messieurs, qui compo.sent auj<nird'hui .M. LE l'UttKT refoiinaît que parmi les mistes à iVlazas. Cependant, ils ne forment Un concours de poulains entiers de de lilaye ! Uu les autorise... que dis je, on le ministère de l'ordre, savent aussi bieu 3U3 1) y a d uoiiiièie» g«iis; uiais ocs mes- qu'un méine parti dix-liuit trente mois se tiendra à Lan- sieurs sout allies aux raUioaux et le gou- les oblige a prendre au collet tout cou- que nous ce quo valent leurs déclarations derneau le 17 septembre prochain, à huit I), Par qui ce parti est-il représenté au et leurs théories. lissavent aussi bien que veruemeiit ue peut eu aocepier aucuu. sommaieur qui, en faisant sa jiurlie de heures du malin. minislère ? nous que ce qu'ils appellent « lesdoctrinos M. FAi.QUE proteste que Al. Couturier dominos, aura d t son mot sur la crise ' R. Il est représenté par Al. Brunet, qui anii-sùciales » n'ont rien da nouveau ni La commission des Inspecteurs géné- a'est pas xadicai. acluelle, età le traîner devant M. le maire, eist certaiaament bonapartiste, par ]\'I, tle d'immoral m dq dangereux. raux chargés d'acheter les étalons en L'Union ilepublicaine du Finistère. Mretnono oiuMcra l-;int1prno:ui lende- jus iu'au bout, même par delà des limites Jo vous prie, Monsieur le Rédacteur, do sinistres mirilini"s, signalés pendant le lequel M. de Fourtou avertit ses préfets main IS septembre, à S iieures du uuitui des riMivonauces. bien vouloir insérer cette lettre daus votre ni(;is de Juin 1877, concernant tous les que la date de la convocaliou des conseils égaleuient. _ .if! doute qu'il soit aujourd'hui très-satis- prochain numéro. pavillons : généraux est tixée au 20 aotil. et les pré- fai! dri lui-uiênif. Je SUIS, en attendant, votre sorvileur. Nanires à voiles signalés perdus : vient de vouloir bien ne considérer cette Un mouvement dans les mairies, Lorsqu'il quitta le wiigon, embarassé et DAVKU (Julien-Marie), 2S .-Vngîais, 27 Danois, 20 .Vinéricains, prochaine réunion que comme une ses- un mouvement dans les justices do c0i t'ii<;, après avoir entendu ma ( rotosta- Colporteur de jnurnnuc, rue d'An train, M Fr^inçiis, 8 Allemands, 6 Italiens, 4 sion extraordinaire, à laquelle ils ne de- 1/ dfs paix, un mouvement dans les poi- illi oIi i.l 'ii l> nniae pupt ornrtg-. iaguiisesri svoitne (qcuaeb inpeots, sdibolnet, ,7/, Rennes. Norw'^giens, 3 Péruviens, 2 Hollandais, vront soumettre que les alT,lires les plus 2 Espagnols, 2 Portugais, 2 Sué lois, 13 iKPr- (•e[)lions : tel est, ce matin, le bilan sai s suriri':rln' les sourir's et surtout pavillons incounus ; total: 131. Dins ce urgentes, puisque la loi de finances ne MM. de Vojjiciel de la « stabilité inté- sans entendre les rumeurs peu flatteuses Ou annonce la nioii subite de M. nombre sont compris 47 na^viœs supposés sera pas volée. qui partaient à son adresse de tous les llon.iud, sous préfet d'Ancenis (Loire-In- La presse indépendante fait remarquer, [, à la rieure. » Coiiipattimenls du train : car ccnte si.'nne férieure). C'est, croyons-nous, le 5" ou 0' perdus par suite de défaut de nouvelles. avec raison, que si les conseils généraux .V«/;'>rs' à vapeur signalés })erdus : (jui Ces divei'S mouvements compren- avait f-u autant de témoins qu'il y j.\ ùt sous-pr; f.'l qi ti le crdi';; moral expédie 3 At'^lais, 1 Américain, 1 Espagaol, ne peuvent point .se réunir utilement pour nent y maires et [2 adjoints, 77 juges de vovai^eurt;. dans la lucmc ville... Anceiiis u"a p:ts do 1 Fra-iyjiii. le lotissement de l'impôt de réparlilion, cliaiice. |RDI, de paix ou sui)pléants de juge de Anj iur l'hui , l'airiire f st entre les la faute en esl uniquement à M. le minis- mains do M. 1-procureur de la Ri-publi- Nota. — Pour tous renseignements, jjaix, el i;> pei-cej)I('urs. (pie lie LoruMit, et i- ni;::.' i! ( 'i^'M! -i re ea s'idrcsseràM. 1) sliayes,exi eriduFJurcau tre de l'intérieur et à ces collègues. Nouvelles Maritimes demie On ne [)eut pas être plus stable... France, quoiqu'en dise M de Cassagnac, Veiilas, IL, rue Duguay-Trouin, à Brest. la lai;on de l'ordre moral. des magistiHis indépùnd.iiits, je sais cer- Le tribinial de Houen a rendu son juge- tain que justice sera rendue. Lo Finistère n'y ligure que pour LPS luombres du jury de concours de lettre DERINIÈIIE^OUVELLIÎS ment dans les poursuites intentées contre ;\I. lecounnissaire de surveillance admi- le changement ci-dessous : nistrative de Lorient peut avoir l'assuran- médecine navale désignés par le sort pour \e Journal de Houen, sur la plainte de M. 1877,sont : lires ce que. moi aussi, je suis résolu a aller de Fourtou. Est nommé snp[)!n:int'In jng.-; d-^ paix 0,1 lit dans une correspondance en M. Arlaud , directeur, président du >eurs du wuitou d« Lauineur (Fini-.nîre), M. Le jusqu'au bout. concours. pnrlie oflicieuse : Le rédacteur etlegéi^ant étaient prévenus leur Bourdonne!! uurem- Le sysieuie de rintiniidatioii ;x outrance du délit d'outrages envers le ministre de placemeut de AI. Le Saux. n'aura jamais de prise sur nous, il faut Secttun cilirurgicale. Plusieurs des membres les plus influents l'inlérieur. Us ont élé condamnés solidai- itrée. bien qu'on le sache, et nous verrous à qui MM. du centre gauche ont résolu de proposer rement à 10 fr. d'amende , c'est-à-dire au Le minislèi-e Broglie-Fourtou ai- restera le dernier mot. Arlaud, président; Duplouy; Aulïret. un moyeu de rapprochement avec une minimu de la peine. merait assez pouvoir opérer plus en Telles sont, monsieur et cher confrère, Section médicale. autre personnalité du gouvernement. h vente grand i'i travers les mairies ; le gou- les détails de l'alFiire que j'ai entrepris de MM. Dcis négociations se poursuivent à ce noms vernement de combat sabrerait vo- vous exposer, comme une réponse à votre Geslin, président ; Cunéo ; Nielly. sujet, depuis avant-hier, car on paraît Le Journal officiel, qui hésite quelque- question. pressé d'obtenir uu résultat immédiat, lontiers toutes les nmnicipalités ré- N'est-il pas vrai qu'ils sont intéressants Section pharmaceutique. avant de commencer ouvertement la cam- fois à publier les discours solennels de ptublicaines; mais il en c.st empêché et de nature à édilier l'opinion publique? MM. pagne électorale. M. le président de la cour de cassation, par la loi, qui veut que les maires et Rapprochez-les si vous le voulez, de Delavaud, président ; lléraud ; Cou- consacre, ce matm, sous la rubrique Cette informition indique le désarroi Mairie. votre entrefilet d'hier, et concluez. tance. __ informations et faits, une note impor- adjoints soient élus par le conseil niu- 151), rue Je vais, de mon côté demander au du cabinet, mais elle est, de toute évi- tante à une visite faite récemment à la idcipal dans les communes qui ne comit'is des jurisconsultes républicains, Mouvements survenus parmi les officiers dent, contraire à la vérité. colonie agricole de Mettray, par madame 33, rue sont pas chefs-lieux de canton, et d'examiner l'âffdire et de conclure. de vaisseau au 3 Août. Les membres du centre gauche,comme la maréchale de Mac Mahon. Agréez, etc nommés parmi les conseiller muni- MM. ceux de tous les autres groupes répub'i- Bien qu'une semblable appréciation ait |5, rue de cipaaji dans les autres communes. LOL-IS LIKGEV, Mel, enseigne de vaisseau, arrive au Rédacteur du Finistère. port venant de Toulon, débarqué de la ciins, ont résolu de soutenir la candida- pu paraître plus naturelle peut-être dans •ue d'Ai- Cette loi qui met un frein aux fu- Sarthe lo L-î juillet. ture des 3G3 et de combattre le miois- la bouche de M. le maréchal, les popula- reurs de l'ordre moral, est faite pour Le pourvoi en cas.'^olion du Finistère Paqué, capitaine de frégate, entre en tèrc. Broglie Founou. tions néanmoins apprendront avec plaisir 1,13, rue rassurer nos amis. Ils n'ont rien à (afî';ure olfcii^es aux minislre.^) sera sou- jouissance de la résidence libre pour habi- Il n'y a p;is de conciliation possible que les jeunes détenus ont obtenu l'ap- craindre. Le scrutin, dont ils dispo- tenu p.ir .M. .Mimerel, président du conseil ter Paris, R'nines, Brest et Nantes. avec icsliointnps de combat du 16 mai. probation enlière de madame de Mac» de l'ordre des avocats à la cour de cas- Vaillant, enseigne de vaisseau, arrive Mahon : « pour la régularité de leurs c, 84, rue sent, leur assure le dernier mot dans salion. au port venant de Toulon, débarqué de la Ils ont voulu la guerre, ils subiront la exercices mili'.uires. » CCS questions d'administration mu- Nous souhaitons bonne chance à notre le 16 juillet 1877. défaite pleine et enlière .sans palliatif, rue d'Ai- nicipale. excellent confrère. Le Forestier de (v^aillien, enseigne de sans rémission. vaisseau, arrive au port venant de Join- La ffucrro d'Orient Monjre. M. Liég(7, rédacteur du Finistère, Donarnenez. - La fêle annuelle de ville-le-Pont, et se met à la disposition de Un journal pariiculièrement bien vu du de Siam. la liénédictiun de la mer aura lieu cette M. le commandant de la division, lo 1" vient d'adresser à France la lotlre personnel de FEiysée, une feuille qui se , 05, rue année, dimanche prochain, 5 aoûl, avec aotlt, pour être détaché comme instructeur Bucharcst, 2 aoiit. suivante qui révèle l 'S élnnges agisse- de svmnastique. glorilie de ses abonnés ecclésiastiques en le ciuicours de l'excellente musique du Renforcé luir une partie de la garnison ial,31 rue mIt'einnetsn ldse b Treotrodnrse :m oral dans nos d-^pir- 11V8'o dicei llieg npero. p^ramme de la journee : ù 8 auT phoerst ueiatr ,s eernts àe igtenrere ,d ev evnaainsts edaeu , la'Errciovlee mdeê msae ptuebmlipcsit éq ua'eulxle dceomnsoaicsreell eusn een pqaurêtitee de AViddin, et par des troupes venues de de gymnastique de Joinville-le-Ponl. Solld, Osman,Pacha a livré hier, un com- heures du matin, arrivée de la musique el de protecteurs, un journal ami Oe l'ordre, Kergtohen, enseigne de vaisseau, dé- bat acharné sous les murs même de A monsieur le Directeur de la « FR WCK » sérénade aux autorités ; !» heures, messe le Figaro, publiait ti-er malin de véri- manche, à Paris. en musique ; à une heure et à 7 heures, barque du Navarin, el rallie Lorient son tables appels ii la violence el à des exci- Plevna. ; Brest, musique sur la place de la Croix ; de 2 à poit d'attache, ayant une permission de Les Russes, d'abord victorieux, ont élé O'iimper, le 1" acùl 1S77. 15 jours. tations manifestes ii la haine et au mépris m récent 5 heures, procession et bénédiction de la obligés de se replier, éprouvant des per- Vaillant, enseigne de vaisseau, permis- des citoyens les uns contre les autres. ces fêtes Monsieur et cher Confrère, mi'r et du bate:ui de sauvetage ; à 8 heures tes qu'on ne saurait évaluer à moins de el demie du soir, retraite aux llambeaux, sion de 30 jours pour Pans, à valoir sur '< Depuis deux mois, dit ce journal, il 'iîui affi- La France du 30 juillet, publiait un congé, pour affaires personnelles 3,000 morts et blessés. feux de bsngale, illuminations. y a eu assez d'actes agressifs commis, page. 5« colonne, 3" alinéa) l'entrefilet sui- Après cet important succès , Osman- •ilJe. pour que le parti conservateur n'ait plus vant : C'est le vendredi 10 el le samedi 11 Liste d'embarquement de M M. les officiers de pitié à altendre en cas de défaite. » Pacha a l'intention de prendre l'ofTensive . Esl-11 vrai que M. Taris ait envoyàune nou- août qu'auront lieu, dans l'anse du Grand- de vaisseau au 3 Aoùl. et de refouler les Russes sur Tirnova, )fion des « EL puisque c'est la bataille, battons- velle circulaire aux ageiils .le surveillance admi- Trait . les régîites internationales de objectif des armées turques qui opèrent bureaux nislraiive di!S ciioniins de fer. leur o-donnant nous. 1) Siiiiil-N.izaire, sous la présidence de M. sur les flancs des Russes. d'e.vercer la plus grande vigdance :-ur le Iraus- LIEUTE.V.VNTS DE VAISSEAU Paul Guibert, avec le concours du Yachl- Et plus loin, parlant d'une nouvelle porl'illecolpoiiase les journaux et Ijrociiures?» MM. Club de France, du ministre de la marine, tournée du Maréchal dans la plupart de Simnitza, 2 août. Vincent. — Diuvin. — Rollin. — .Je m'empresse de vous adresser à ce de la ville de Sainl-ISazaire el de la Com- nos villes de province il iijoule : « en merce, à Rouvière. — Le Ridant. — B:irchon des Toutes les réserves russes ont reçu sujet quelques notes de nature à vous pagnie générale Iransailanlique. laisanl de côlé, bien entendu, celles qui Tains ont renseigner et, ea même temps à édifier Essards. l'ordre de passer le Danuble pour se diri- sont marquées pour la part du feu. euvrait le l'opinion publique. HORS TOCR ger sur Plevna. , divisé en Luudi matin 30 juillet, je venais de tioFn oduee lsounpasn dta. n—s c eOllne sciogmnamleu nle'a popùa crie-s MM. Et plus loin encore, dans le même nu- Le mouvement a commencé hier dans tlestirail- monter à la «are de Lorient dans l'uu des désDgréabk'S visiteurs ne s'étaient pas Dubard. — Thomas. — Martin. •— Re- méro de la même feuille, on lit : la nuit. sd'armée. •wagons du train express se dirigeant sur laissé voir depuis longtemps. miot-Lerebours.— Ilallez. —• Vigouroux. 1°. — « M"^ A.... reçoit tous les jours de Londres, 2 août. — Nouet. — Verharne. — Riohy. — 5 sommes Qaimper, lorsqu'un gendarme se présenta D,ins la soirée du juillet, un honora- Lagrée. —• Carré — Roustel. — Testard. 1 h à 4 heures, 19 rue Chaptal, au premier Le Standard annonce de Bucharest qu'il à la portière du compartiment que j'occu- au-dessus de l'entresol. et conlre- ble habitant du bourg de Fouesnani, qui — Thierry. — E'^pérou. — Lentzen. — y a panique à Sistova ; les Russes ont pais seul, et m'ordonna de lui présenter suivait à cheval la roule de Pleuven, vit 2°. — «Jeune ft-m me distinguée demande détache- Chevalier. — Guirand. — Billet. — Des- perdu près de dix mille hommes à la ma valise, qu'il avait, disail-il, reçu l'or- sa monture s'arrêter court à mi-chemin : à emprunter 1,000. Ecrire R. P. Figaro.r> plaisir la dre de visiter. deux loups étaient là, qui b;irraienl auda- champs. — Gadaud. 3°. — Jeune personne distinguée, ins- bataille de Plevna, dimanche. Soixante s l'exécu- L'ordre était verbal, ja refusai tout cieusemeiit la route. .Malgré ses elTorts ENSEIGNES DE VAISSEATT truite, tiès bonne famille, sans appui, mille Turcs sont en avant de Rouslchouk soin avec d'abord de me prêtera cette fantaisie d'un pour pousser en avant sa béte elîi uyée. MM. pénible situation de fortune, demande pro- et défendent celte forteresse. moindres agent de l'autorité publique dont la res- Il ne put venir à bout de sa résistance, el Thesmar. — liiart. — Le Golleur. — t'^cteurà personne riche et bienveillante, Le Ttmes reçoit une dépêche de Berlin s'abriter ; ponsabilité vis-à-vis de moi me semblait fut obligé de reprendre en sens inverse Ollivier. — Le Guen. — Rozier. — Gélé- P. R. Madeleine. » qui déclare que, les Russes n'ayant pas pasgym- tout à fait insuffisante le chemin de Fouesnant. bart. — Bauguel. — Polier. — Mel. — Voilà la feuille des « honnêtes gens, n réussi à faire passer plus de 40,000 hom- Il tinit par me déclarer que l'ordre en à genoux, Vaillant. Voilà la feuille la mieux vue et la plus mes par les Balkans avant que les Turcs vertu duquel il agissait émanait de M. une sou- Le terrible préfet des Cotes-du-Nord, HORS TOUR écoulée dans les régions où l'on parle sans se soient approchés de l'entrée des défilés Cluzel, commissaire de surveillance admi- M. le comte l'Angle-Beaumanoir, conti- MM. lent tous nistrauve à la gare de Lorient. Me ravi- cesse de défendre la religion , la famille du nord, du côlé de Grahova, le sort des nue le cours de ses exploits. 11 vient de Poidionë. — D'Avout. —• Gaudin. — autement sant aussitôt, je descendis de voiture et je elles grands principes sociaux. troupes du général Gonrko est douteux ; fermer à Paimpol un second café, dont le Denis de Trobriand. — De Lanlay. — Le du soin merendisauprèsdece terrible commissaire propriétaire , M. (>iémenl, n'avait pas Forestier de Qaillien. celui -ci fortifie les défilés et ménage militaire que j'invitai, avec toute la courtoisie pos- versé en vingt ans moins de trente mille retraite par les Balkans. iM. iMenier, ancien député de Seine-et- sible, à venir lui-même procéder à la per- rdres. quisition qu'il avait jugée né.oessaire. /•ra/ics à radministration des coniribulions Le capitaine de vaisseau Pierre est Marne, avait adressé à M. le président du Le quartier général russe a élé reculé mes cer- indirecles. Aucune raison à cet acte de désigné pour prendre le commandement de Tirnova à Biela. (Maclean.) Je voulais savoir jusqu'où l'on oserait tribunal civil de Versailles, une requête ihaussera lèse-propriété. Le café était Irès-bien de la frégate-école la Flore, attendue ces pousser cette aventure inouïe. Mais je tenu. Seulement il avail le tort de porter jours-f^i en rade de Brest. tendant à obtenir l'autorisation d'assigner } répula- tenais aussi, et surtout, à me mettre en sur son etiseigne ces mots impardonnables M. Pougin, imprimeur, el M. Paul Daioz, M. pierre succède au capitaine de vais- dernière présence d'une responsa'oilité assez posi- sous la République : A la descenie des éditeur du Bulletin des Communes, pour BOURSE DE PARIS seau Meyer, parvenu au terme de son tive pour qu'il me fût possible_ de donner Républicains. commandement. les allégations dilTamatoires contenues DU 3 AOUT 1877. plus tard â cette affaire les suites qu'elle Vous ne voulez donc pas, M. le préfet, dans ce placard, contre les 3G3 signataires 'itime et comporterait. ^ que les républicains descendent? Soyez Par une décision du 31 juillet 1877, du manifeste des gauches. M. Menier Cours du Z. Couru du M le commissaire me précéda sans ice dans soulever la moindre objection, monta dans tranquille : ils remonteront. rendue sur la proposition du vice-amiral, demandait également à mellre en jeu la A.U comptant. )Ût. ministre de la ma ine et des colonies, le le AVagon, accompagné du gendarme, et responsabilité civile du ministre de l'inté» de ville, La Société des Insliluteurs et Institu- Président de la République a nommé M. 3 0/0 70 75 70 50 consiataque ma valise ne contenait, outre rieur, el concluait à 10,000 ,fr. de dom- e tenue. trices tiendra son assemblée générale à le capitaine da vais-eau baron Brossard da 4 1/2 0/0.... JOl 50 101 (U) quelques objets de toilette, qu'une dou- mjges inldi ôls. zaine de journaux divers. Il voulut bien Brest, le 2* Jeudi, 9 aoùl, à 10 heures. Corbigny, aux fonctions de membre du 5 0/0 iOÔ 25 100 » conseil des travaux de la marine. Le présidenl du tribunal de Versailles observer alors que le fait, par le rédacteur vient de répondre à la requête el ordonner A terme. d'un journal, d'avoir en sa possession uu LES B ENFAIÎS Û£ .'ORDRE MORAL certain nombre de journaux, n'avait_ rien M. le capitaine de vaisseau Bosc, du rassignallon pour le vendredi, 3 août ci ô/o 70 80 70 r)5 de délictueux, et il daigna me les laisser, l'Avenir publie la lettre suivante : port de Lorient, vient d'être appelé à courant. 5 0/0 106 30 lOG 02 Knfin, comprenant qu'il ne pouvfut Paris pour faire partie de la commission guère prendre congé de moi sans me doa- Unnncs. le 1" août 1877. supérieure des défenses sous-marines. M. Thiers se rendra dimatiche prochain Banq. France. 8070 » 30G0 » im ^'Hr au moins un mot d'explication sur au chûleau de Slors ^ riie-Adam, appar- Crédit foncier, 715 » 710 » j " ""•"misfsaiii» Monsieur le Rédacteur, AVI.^ son étrange conduite, ivi. lo -- Je viens, par un arrèié de Monsieur la tenasit àM. Cueuvreux, oncle de M. Léon Nord..,.,... 1250 )> 1247 50 c partira me déclara que j'étais soupçonné de col- Préfet de mo voir retirer mon autorisation Aux familles des marins et autres qui ojy. M. Thiers y sera reçu pur M.M. Léon Lyon 1020 » 1017 50 m, et dQ porter des brochures et des écrits irappés de colporter des journaux sur la voie pu- sont présents dans les divisionf.^ SJV, Sénard, candidat à Ponloise, el par Orléans 1000 1857 50 d'interdiction par les grands ministres du blique. ^ ^ MM. les sénateurs , anciens députés et 3.6 mai ! . , Depui-s quÏQze ans, à la vue de uiw Ouest G85 » G82 50 Les familles des marins sont prévenues conseillers généraux républicains de Or, il est à remarquer que M. le COTO- coucitoyens, j'ai vécu de mon pénible Dette gi® d'Egypte 190 » 188 75 missaire de la gare de Lorient me connais- que le p-^iementdes délégations du 2» tri- Sdine-el-Oise. sait paafaitement bien; que nous avons labeur. Quoique frappé de cécité, rien ne mestre 1877 se fera à la Banque de 1 Ins- m'a arrêté, ni pluie, ni vent, ni gtcle, et eu l'occasion de voyager ensemble il y a cription maritime de Brest, dans 1 ordre Le gouverneur général de l'Algérie est cependant je viens d'êlre obligé de cesser quiii'/.e jours, et que, dans le court trajet indiqué ci-après, savoir : attendu à Marseille, lundi dans la journée. ce travail. . . ont exé- que nous limes de compagnie, j'eus l'oc- Le 13 août iS77 : Il doit être à Paris pour mercredi prochain Si cet arrêté ne frappait que moi, je ures du casion de lui prêtera lire queqnes-uns pourrais encore prendre patience, car si 10 La division de Cherbourg; — 2° la au plus tard. des journaux qui me tiennent habituelle- division de Lorient; — 3° la division de mon corps s'est alf.iibli par six mois de C'est M. de Villers, directeur général, meiu heu de compagnon do voyage._ Rochefort ; — i" la division de Brest. MAÎTRE GASPARD FIX régime dans un hôpital, pour cause d'uue qui sera chargé de l'adininistralion de la THOMAS. Un s'mtiment de simple courtoisie eût fracture a la jamb-. gauche, mou courage Le li aoùl 'fS77 : colonie pendant l'absence du général, donc sulli, dans le cas où des ordres ior- :GKn. lui îuiraient été adressés, pour faire est toujours resté le mên-e. 5° La division de Toulon. Clianzy. Histoire d'un faux Conservateur Mais j'ai un enfant âgé de six ans ; cet conq)rendre a ce subordonné de je ne sais Le 16 août 1877 : RAPPEL. ^-MLE..N TI.N, quel niiuistre qu'il convenait d'oviter tout enfcuit, il faut qu il vive ; couim'înt le L'appel aura hou dans l'ordre indiqué Il esl fà:lieiis: que nous soyons réduits pourra-t-il. si on tuipêdie le père de tri- scandale et de m'appeh r lui-même, avant à cherclier dans ucs iuformalions de re- vailler? Un arrêté est facile à laucercontre ci-des-!us. m (Suite.j le départ du train, dans son cabinet, où je porters, le texte déjà vieilli des circulaires iers de une personne, mais l'existence de deux Les paiements innividue's commonce- l'eusse ceriainement suivi de bonne grâce, Maître Gaspard se serait volontiers ac- que M. de Fourtou adresse journellement à Lan- personnes n'est pas chose si facile à realiser. ront à neuf heures du matin, sur la pré- ' iiiite à rire avec lui de bon cœur de la commodé d'avoir un g irde général el un , à huit méprise désagréable dont je me serais Si l'on ne veut pas que je travaille, q-ie seiitatiou des livrets de délégatioi s. à ses préfets. juge de paix dans sa famille, à la condi- l'on me donne, pour moi et pour mon lils, C'est ainsi que vient de nous être révélé trouvé victime La direction du Bureau Yeritas vient tardivement un nouveau document par tion, bien entendu, de garder les dots,. géné- les moyens voulus pour vivre honnête- Mais point. M. Cluzel est, parait-il, un de publier la suiùsii-iue suivante des ins en iQ ces fonctionnaires qui poussent le zèle ment, a r L'Union Hopiiblicaifie du Finîstèr(î. ?. >nt ! ' f : f et d'en servir seulement la renie à ?es l'ennuyait, celle des richards le comblait bruits coufiis, que les rousses, les lii'vros, On dnm !ii(l(! un bon Ecrivain coty. — Maurice (!aulin\ cap. Motifj;e' gendres,car d'aller U\cher le porlefcnire, d'une joie inlérieuro inexprimable. 11 ne les chevreuils déli'ent à leurs pieds au Lithographe, Inisanl (''gnlement veii. de i)i)rikort|UH,(;h. de houille.— Olin' une pareille idée ne poiiv;îil lui venir; il savait que répondre, et s'inciiuail tout fond des taillis; et, de loin en loin, le du, .'..p A„crii(is, vci) de IV-niovikeri, ch- aurait mieux aimé ^:irder ses liHes et les attendri, en balau(,!autt<on grand fiiiipeau. coup de chapeau du paiivro bùc.lici'ou, la In (îravurc ot l;i Pluiiio. Ii'iis. — Vikcn, (!ap. NDCSS, VHti. do Suidw liij, C l do boi^.—Thetciiraph, oap. faire travailler pour lui, jusqu'à l'ûge de poitrine nue. l(!s cheveux petiilanl sur la Adrosspréohnntillutisù l'Imprimerie Les domestiques emmeuaienl d(\ià son •Icii'-"!', v< !i. do ll.'riioMiiid, eh do bois. cent ans ! figure, q li s';M'i êle en exta-^e et leur indi- char-à-bancs, cl maître Fix entrait avec L. EVAIX, M('f.' KOCEH , si]('(U'ssi'IIR DE — l'rofi invc, cA ). Ni''ol, vf'i de Iloti- Comme ces pensées allaient et venaient M. Thomassin dans la grande salle à que la dn'ection de la chasse. II. Hodi-ii i't';iu!;, rui' Saint-Yves, ."{2. lliiiif, cil. d acido. —Annc-Younne, eap. dans sa lêle, il arrivait sous bois, et le manger, oij se trouvait servi le repas du Ils parlaient d'élections futures, de Travail assuré pour lorij^tcmps. I'kmosi, \(->ti. do SwuMsott, ch de houille. petit Rajîot se remellait à troller dans départ. chemins vicinaux, d'améliorations pour les — Ji ninj /r' cap. Maréchal, vou. de l'ombre des liélres et des sapins. maisons de cure et pour les églises , de Koii»'!!, ch. do phos[)hate,— Zw/ima,cap. « Vous arrivez au bon momcnl, lui M;i-'S'('. vfMi.. du llavrp, ch. de briquf'S. — Il faisait un temps magnilique ; les toutes les promessesà faire aux uns et aux (' ï 6 DM? ZE i tid'! B 'î "îit n i j- geais, par bandes, traversaient l'étroite dit M Thomassin en riant; êtes-vous autres dans l'arrondissement ; «car il faut Mûrit'. e;ip. Djij^orne. ven. de CardifT, ch. chasseur ? de huiiille. — Jlenri-IIélène, cap. Konii- vallée du Tiefentliàl ; en bas, l'eau dor- promettre, toujours promettre ! disait Fix liOURSE 1)1! MI'RCKKDl 1" AOl.'T 1877. - Oh ! dit Gaspard, du même ton joyeux, non, ven. de C.'irditr, ch de houille. — mante de l'étang des Mésanges brillait au en riani. ya ne coûte rienot ça rapporte ; Chariot!,Dumb'ir, cap. Luzé, ven. de pas trop, monsieur le député, pas trop; soleil levant, à travers le feuillage des on fait iilus avec ries promesses , qu'avec I/arpent des coupons ne revieut pas à Wai. rf,»,-d , ch. de guano. — Blamhe- mon plus fort c'est la faui'chetle. « trembles et des saules ; quelques poissons, de l'argent comptanl. » la bourse , 't hi spéculation n'a garde de Louis, cai). Farii)':'!!!!, ven. de Glascuw, venant prendre l'air, ou happer une mou- Alors ils rirent ensemble. Maître Fix ch. de houille. — Vigilenc, cap. Carru, u 1- che à la surface, jetaient parfois un était tout à fait remis de sa première M. Thomassin le savait bien ; depuis tenir cornjito de ce fait iniportant Aujour- veu. Hel)iu;lverque,cii.do houille.— trente atisil promettait des augmentations d'hui 011 détache le coupon de 1 fr 25 sur émotion. cap. .JoijftS'Mi, vp'i de Gothemboiirp;. ch. éclair dans les autres herbes de la rive. Mais Gaspard ne se souciait pas de tout Les messieurs et les dames entraient à ses emiiloyés, et par ee moyen il les le 5 p. "/o , et l'on baisse de 106 15 à de bois.— Thêo'Iore-Léonline, caj) Chau- retenaitaux verreries de Tu t'cnlliàl. C'était lOfiOô, ce(]uiprouve biea que iVm n'atUnid veld i. vcii (i(3 Dunkerqiio, ch. de houdie. cela ; le plus beau paysage du monde deux à deux et s'a'^seyaient à tab^e. Maîire son syslè ne ! Les pauvi'cs diables, à force pas les achats au comptant que pro\'(j(|ue — (htdine, r;up. V'atideabroug, ven. d'Os- ne lui aurait pas produit autant d'effet que Fix se trouva placé à la droite de M. d'avoir attendu, craignaient, en s'en allani, toujours l'allégement des cours. Le3 p. "/u teudo, sur lest. la vue d'une pièce de cent sous sur la Thomassin, à côté d'une grande personne de perdre le fruit de leur longue patience : monte au contraire de 70 32 1/2 à 70 50, ce route ; alors il aurait été vraiment émer- rousse, fort jolie et spirituelle. qui va contre l'arbitrage normal ; mais le « Encore un jour, se disaient-ils, et veillé, et serait arrêté pour la mettre dans Gaspard, infiniment flatté de tous ces marché n'obéit i)lus aux règles normales Jjéonie , cap. Monilleron. ail à Siint- peut-être l'augmentation viendra ! » sa poche. honneurs, se rappelant qu'il était jadis depuis longtemps. I.,es recettes générales Piorre, ch. de filts vides.— Indépnoda'ice, Voilà le fond de la politique ; ils le cai). Laudes, ail à Bilbao, sur lest. — Enfin, vers sept heures, les hautes che- allé à Tiefenthàl en blouse, avec de gros achètent 3,900 fr. de re jtes 3 p. % tt savaient tous les deux. Marin, cap. Le Leu, ail. à Bilbao, sur minées des verreries de Tiefenthàl, leurs souliers ferrés, se rengorgeait en lui- 9,540 de 5 p. Lemoisd'aoùt s'annonce lest. — Clara, cap. Cariou, ail. à Molèae, lourdes bâtisses en briques rouges, leurs même. Il causait bien; la malice et l'a- Seulement, si maître Gaspard avait sup- commepeuanimé, laliquidalio;: quis'opère sur lest. tas de houille dans la ruelle montante, les plomb ne lui manquaient pas; le bon posé que son chemin vicinal pouvait en- ne donnant pleine satisfaction à personne, petits jardins et les maisonnettes des ou- vin et la bonne chère l'égayaient. trer dans celle catégorie, il aurait changé et moins encore aux acheteurs qu'aux d'opinion ; mais ce doute ne lui vint même vriers verriers apparurent à maître Fix Il hasarda même quelques compliments vendeurs. Le 5 p. "/o Italien fait 69 30 et â l f PC Homme pouvant four- pas, el ii avait raison : si les services au tournant de la côte, et dans l'autre à sa voisine, qui n'était autre que la fem- 69 40 ; sur des déciarations de neutralité, H i a O iiir (l(i tri's-boniiHS rél'éren- 'r! rendus ne signifient plus rien, ceux qu'on lî branche du vallon, la demeure de M. ïho- me du vieux recteur Robichon. L'esprit la rente autrichienne, 4 p. Q/O ea or monte ces désire l'nire le l'L.VCE.UENT DES pourrait rendre encore, et surtout le mal massin , une sorte de cliû'eau couvert tout rond de Fix plaisait à celle dame; à 61 1/4 sur des bruits de mobilis;i.tiou ; FAKi?\E.S ù la Commission. qu'on pourrait fiire,signifient beaucoup! d'ardoises, des pavillons, des écuries, des elle pensait sans doute q^ie soa recteur, les Russes 5 p-o/O 1870 sont fdus f.jrmes chenils autour, à demi-cachés par le feuil- long et maigre, avec sa cravate blanche C'est de là que vienneni malheureuse- à 87 1/4 our des dépeXjhes batailleuses, et S'adresserau iiureuu du Journal. lage. Une cour fermée de grilles précédait et ses lunettes d'or, avait moins do bon menl les trois quarts des augmentations. le 5 p. ®/o Turc varie à peine. Décidément, le tout ; et Gaspard découvrait déjà dans sens que cet honnête et joyeux paysan. Qu'est ce que je peux encore vous dire ^ les syndicats sont solides, et les cajdtalistes A CÉDER tl cette cour un mouvement extraordinaire Du reste, toute la société se montrait de Ces deux hommes étaient faits pour s'en- auraient tort de risquer contre eux le de voitures, de chevaux qu'on détèle tendre, jusqu'à concurrence de leur inté- inoindre enjeu. Les actions des sociétés de (Jn FONDS DE CHAUSSURES en bonne humeur et de bon appétit; on riait, t' et qu'on emmène, de gens qu'on reçoit. ou buvail; on déiiêchuit les plats, comme rêt, bien entendu. crédit sont calmes ; on cote la banque de tous g!'nr(!s, SiBUTERIES, etc. — ï. Vers la nuit, un garde vint prévenir M. France 3075 la banquede Paris etdes I^ays- « La bataille est gagnée, se disait-il, au Moutuii d'Or-, le grand monde n'ayant Gros el Détail. r Thomassin que le cerf était forcé, qu'on Hisl000,lecrédiil'oncier720. Les nouvel les tout le monde vient crier victoire. » que ses trente-deux dents et son gosier, l'avait tué dans l'étang des sapinières. de la houscriptioii des obligations de IJoue Quelques instants après, maître Fix commelevulgairedes humains, ne pouvait f!!' S'adrfsser au Bureau du journal. Alors, ils rentrèrent lentement, la chasse à Guelna, dont s'est chargée la banque de S s'arrêtait à la porte principale ; et M.Tho- en faire davantage ; mais il s'en acquittait était finie. Paris , sont des plus favorables : ce n'est massin, sachant apprécier un tel homme bien , et M. Thomassin avait lieu d"être Ce mêmesoir,beaucoup d'invités retour- pas une raison pour eucourager les sociétés A V IS elles services qu'il pouvait rendre, vint satisfait de ses convives. nèrent chez eux ; les intimes seuls restè- étrangères à faire appel à nos capitaux. Oti demande un .lardinier marié, le recevoir avec une eirision véritable. 11 faut dire aussi que les voitures de rent. « A la bonne heure, mon cher monsieur chasse étaient prêtes à la grille, les che- pour une campagne près Brest. C'était d'abord M, Richard de Muleroy, Fix, s'écria-t-il en lui tendant les deux vaux sellés et la meule déjà partie aven les S'adresser au bureau du Journal. qu'on appelait « M. le conseiller », un petit mains, vous arrivez à notre rendez- piqueurs. On se dépêchait. Quelques Atljudicatioiis de la Marine I vieux, parlant bas et regardant les gens vous instants après, toute la compagnie se mit au Port de Brest en dessous; il avait rempli, sous Chai les A C É D ER — Gomme c'était mon devoir, monsieur en route. X et Louis XVHI, des missions délicates, le député, » lui répondit maître Gaspard, M. Thomassin et maître Fix partirent les el s'était rallié depuis, à Louis Philippe, en descendant de voilure et saluant les derniers, en leur qualité d'hommes politi- Al'I'ROVlSIONKKMENTS (iÉSÙllAUX PE LA FLOTTE L'ËTUDE de NOTAIRE à GUICUN sans doute pour d'excellentes raisons; messieurs et les dames qui regardaient du ques , plus forts sur l'art d'attraper les LSi: tt .^Kl'TI^.UUKE IM33 puis M. le recleur Robichon, ancien pré- Arrondissement de Morlaix. péristyle. électeurs, que de dépister le cerf ou le cepteur du fils de M. Thomassin; M. lé Une quantité de notables, de maires, sanglier. Ces plaisirs violents , qui ne Chaises en mérisier. — Rabais de 10 p. de conseillers d'arrondissement, de chefs rapportent rien, plaisent à la jeunesse conseiller d'arrondissement Viriol, pro- 100, séance tonante. — Dépôt da ga- S'adresser à M. IIF.RROU, Notaire à d'usines, tous les gros bonnets du pays, et aux natures sanguinaires; et puis priétaire de forges, esprit positif, dévoué rantie, 70 fr. — Cautionnement définuif, Pleijben, ou à M. CLOAUEC, Avoué à par caractère à tout ce qui pouvait lui Morlaix. se trouvaient là, regardant, écoutant, et Gaspard ne s'était jamais assis que sur un 140 francs. faire du bien; le notaire Rachelet, un gros I • mesurant à la parole du maître la consi- cheval de meunier,enlredeuxsacs, crainte homme orné d'une magnifique paiie de dération que méritaient les nouveaux d'accidenl; et M. Thomassin , qui s'en SALON DE GLACES côtelettes el d'un toupet à la Louis-Phi- venus. doutait, ne voulait pas le soumettre à lippe; et enfin l'inspecteur des haras, Arrivages du 1" au 3 Août 1877. Maître Gaspard leur parut, à cet accueil, d'autres épreuves. chevalier Gédéon de Felzheim, un ancien un personnaged'importance, d'autant plus Ils partirent donc en coupé, tout douce- î:' beau, ciré, frisé, tiré à quatre épingles. Glaces tous les Jours. qu'il n'avait pas jugé nécessaire de mettre ment, écoutant les autres crier, souffler Victoire-Appoline,cap. Chaux, ven. de Les femmes de ces messieurs maître la cravate blanche, et qu'il était habillé à dans leur trompes et les chiens aboyer, Cette, ch. de vm. — Charles cl Marie, Gaspard Fix et quelques beaux jeunes gens Belle Glace naturelle au Détail I la paysanne. hurler, pleurer de rage comme des bêles cap. Giraud, ven. de Noirmoutier, ch. de décorés pour les servicesqu'ils rendraient t Les dames elles-mêmes subissaient fauves, sur la piste d'un pauvre animal sel. — Courrier, cap. Piayon , ven. de un jour à la pairie, complétaient la société Morgat, ch. do sardines. — A Ijrcd, cap. DUMENIL celte inlluence ; Mme Reine Thomassin que la peur étrangle d'avance et dont les iUAlSON de Tiefenthàl ce soir là. Rigaud, ven. d'Ais,ch. dechaux—Jeune lui (il un accueil des plus distingués, l'ap- poumons s'entrechoquent d'épouvante. Le souper fini , M. Thomassin proposa iSuphie, cap. Ouichoux, ven. de Libéni- pelant un vieil ami de la maison et lui de- Représentez-vous maintenant ces deux d'aller voir les verreries ; on devait faire dui, sur lest. — Jeune Louise, cap. Use- CONFfSEUR-GLAClER mandant des nouvelles de Mme Fix et de personnages qui trollent en suivant les reau, ven. de Saint-Martin, ch. de chaux. 'ë de grosses pièces, tous les fours étaient 17, Bue du Château, 47. toute sa famille. beaux chemins forestiers de Tiefenlhàl, — Sainte-Anne, cap. Le Roy, ven. de a lumés;on s'y rendit donc de compagnie. Qu'on juge de la satisfaction de maître tandis que tout s'agite, que les clameurs Rouen , ch. d'acide. — Napoléon, cap. (A suivre.) Charles, ven. de Dunkerque, ch. de hari- Le. Gérant : .I.-F. CUSTY. Gaspard, car si l'estime des pauvres gens montent, que les bois s'animent de mille .0M Etude deM'BELLAMY, notaire à Brest A V E N D RE A LOUER OCCASION MAISON L-ONDÉE EiN 1860 V E NT par M. A«» PEHBOif, Offic. d'Acad, PAR ADJI'DICATION VOLONTAIRE IMMEDIATEMENT WIEDECiN-OeNTISTE ADMINISTRATION LE VE.yDItEDI, ô'I AOUT 1811 r ue de P a r i s, 3 A Voîtifr/i^n Canot de Plai- Ancien Klùve des Hôpitaux DE PAR ADJUDICATIO.N' /I î taïus t sauce à clio, d'en- Dentiste de l'llos|)ice des Jeunes tilles P r o p r i é t és II tir aies A U.NE HEURE DE L'APRÈS-MIDI viron 5 mètres de longueur, ayant incurables, En l'Etuddee Me't BEpLarL AMle Y ministère En l'étude et par le ministère de im JARDiN peu servi. Voilure neuve. du Ldey cùie',K cdoulc S-aNcarvéa-lCe,œ ur LOCATeItO NUSrb aDitItVeEs RSES M- LE TARO R I U RÉ S'adresser, pour le visiter, à M. MO- ut de plusieurs Maisons d'Ediicatiou LE UJM)I, 20 AOUT /677 Notaire à Landerneau. 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Eiy-L^bastire, rue Madame veuve Guérandel, rue de Pour î» Carte ds Visite gravée Cirand-iiassani ( Vo/t' U7i(ilaisc) 52 26 14 de la Kampe, ir 50 et 53. Paris, 70, ou à son lils, rue de Iles Martjuises, Tahiti ( Vofc de Panama). 56 28 15 Mise à Prix : 8,000 îr. Siam,02. 311 Indes Etablissement français. (Voie française) 56 28 15 331 202. Brest, Imp. L. EVALN, née ROGER, rue Saint-Yves, Vu pour légalisulioii de lu signature ci-contre, Cerlillé coaforme, par l'imprimeur soussigné, i'anaoRce ci-dessus : E» Mairie, à Bres^ k iuUlet 1877. r Première Année. — N'^ 115.. L u n d i, «^ J S S r i 8 77 BrRE4l'X : RLE'D'AIGlIllOÎ'i; 3(, A BRESL DU F I N I S T E RE , i Paraissant les L U N D I, M E R C R E DI et V E N D R E DI ^iàim UD An. C Moi», 3 Mois- LE NUMÉRO Annonces 0 ''20 Ma ligne. PRIX Finistère, Cotes-du-Nord, Morbihan 30 15 ^^ 8 ^^ PRIX Réclames 0' 40 — Vendu sur la voie publique : j Autres Départements, Algérie , DES INSERTIONS : DE L'ABONSEMÉNT : Alsace-Lorraine. 3i •18 U) 15 CENTIMES. Les Réclames dans le corps du Journal se traitent à forfait. LE 6 A O UT à périr sur les divers champs de ba- M. Mayol de Luppé peut oublier— tan- ses moîivents perdus, ne fait pas ses frais ment, Plouégat-Guerrand é^it la dis que iious IeTegrettons— l'honneur que comme itnprossario : mieux et la plus sagcinent adminis- taille où la France allait essayer de se les bonapartistes lui ont fait en l'associant Rabagas vient de disparaître de l'affi- trée. ' défendre jusqu'au bout; gardes natio- à l'œuvre anti-révolutionnaire qu'ils Au prochain scrutin, les électeurs avaien t entreprise sous M. Tb iers à l'époq u8 che à Bordeaux après avoir f«it en cinq Il y a aujourd'hui sept ans, que naux appelés à tomber sous les balles de Plouégat-Guerrand répondront de l'éleciioa de Barodét, mais il ne iera représentations successives les recettes la France éprouva le grand désastre de Buzenval; d'autres, plus tristement compi-endre à personne le mobile d'une comme il convient à la mesure.prise suivantes : militaire de Reischotfen. encore destinés à succomber dans la haine qui se traduit par des violences d'é- contre leur maire. Et ils auront avec 2,3-28 fr. - 655 fr. 375 fr. - 845 [r. et nergumène. Quand notre pensée se reporte vers guerre civile; et, parmi ces femmes,, eux, non seulement tous les électeurs 270 francs.. cette époque de deuil, tous les détails parmi ces enfants, combien aussi de- Les bonapartistes ont fait rhonneut* républicains de la circonscription, de ce drame se ravivent dans notre vaient mourir de froid, de faim ou aux légitimistes de les: associer dans leur mais encore les hommes- honnêtes souvenir; nous revoyons toutes les sous les obus des deux sièges 1 campagne contre la République. Le renouvellement par moitié du Con- qu'indignent, en dehors de toute Pauvre lys, qu'est devenue ta .blan- seil de j'Ordre de la Légion d'honneur opinion politique, les procédés du scènes qui en quelques heures boule- Tous ces deuils, toutes ces horreurs chpur, di»puis qupta cherches ta irerape vient d'avoir lieuii gouvernement de combat. versjèrent la France et firent passer le se laissaient déjà entrevoir dans le dans la boue de Sedan ? Sont renommés : payà'^ d'une joie inconsciente à une désastre de iMac-Mahon. douleur qui n'était, hélas ! que trop En 1877, nous sommes loin du MM. Le Finistère vient d'être condamné à le vice-amiral de Chàbannes, grand-officier motivée. , retour de pareilles scènes. Il est ce- LE MANUEL ÏSI L'ELECTEUR 50 francs d'amende (minimum de la peine de la Légion d'honneur ; édictée par un décret de 1852), pour n'a- La guerre, déclarée dans des con- pendant un rapprochement qui nouss le général de division d'Autemarre d'Er- voir pas reproduit « en tête du journal » ditions, insensées.,- avait mal di^buté frappe : Bientôt, nous le croyons, La lettre suivante a été.adressée par M. vil lé, grand-croix de la Légion dlhonneur un commwùqné de M. Souvestre, que ITbiers à l'un des auteurs du Manuehdv. le vice^miraliChopart, grand-oroii de la' "militairement ; l'incident de Saarre- une fausse victoire sera annoncée, et notre confrère avait d'ailleurs publié l'électeur qui doit paraître très-proobaioe-- Légion d'honneur ; bruck avait été jugé à sa juste valeur ; elle sera démentie par la nouvelle^ m'^nt en brochure, et que nous recomman- Aucoc, président de. section au conseil! intéjïralement, en 1" colonne. Le tribunal la balle-du petit Louis avait pu faire d'une grande défaite ; mais il ne s'a- dons à nos amis politiques : d'Etat , commandeur de la Légioni de Quimper a vu là une contravention. d'honneur, sourire ; mais ell ' avait inquiété : un gira pas, cette fois, d'une victoire et Mon cher monsieur Beurdeley, Boinvilliers , ancien président de section' Nous détachons du Finistère l'article • î chef d'Etat qui s'occupait de sembla- d'une défaite sur le champ-de-bataille; Je viens de lire votre Manuel de Véhc-- au conseil d'Etat, grand-ofHcier dei suivant, qui révèle les basses manœuvres f bles puérilités dans un pareil moment c'est sur le terrain électoral que la tcur^ et je vous félicite, vous et vos amis,e Légion.d'honneur. • i I donnait une idée sutlisnnte de ses partie se jouera. d'avoir fait un travail qui permettra àî le marquis deChâteaurenard,ancien minis-' auxquelles nos adversaires ne craignent tre plénipotentiaire , conseiller d'Etat, pas de descendre, pour tromper la bonne J préoccupations égoïstes et de sa débi- Nous connaissons assez les procé- chacun de connaîlre SPS droits et sesi commandeur de la Légion d'honneur. foi des élecieurs et abuser de leur crédu- i i lité inteilyctuelle. L'épisode grotesque ' dés des réactionnaires pour prédire devoirs en matière électorale, et d'agir (Membras sortants.) lité. Ab une disce omnes: sans crainte do s'écarter de la légalité. de Saarrebruck avait été suivi de leur attitude à la veille du scrutin : C'est donc là un travail à la fois utile- OÉMENIIS AUX FAUSSES. NOUVELLES l'épisoae tragique de Wissembourg ; ils n'auront pas alors assez de fanfares, - et opporlun... Nouvelles Locales la division Douai avait été surprise assez de clameurs triomphales, assez' Quand donc en aurons^nous fini avec Recpvez mes amitiés. et écrasée , son général avait été de messagers de victoire ; seulement,, À. THIERS. tous les bruits calomnieux et avec toutes les fausses nouvelles par lesquelles oa tué ; mais ce n'était point encore là le lendemain, il faudra baisser le ton ; Paris, 3 août 1877. A V IS cherche à tromper les électeurs» sur le un désastre'. le lendemain, ils seront en face d'unt compte des députés républicains? Tout'ài coup une grande nouvelle, désastre ; ils auront eu leur Reischof- Dans un discours,' d'ailleurs assez vain, Voici encore un bruit, le plus absiirde Conformément! à l.article 5/ des ! de tous, mais qu'on fait courir avec trop fausse,' hélas !^ se répand dans Par s: fen électoral. prononcé à la distribution des prix du Statuts.ditipurnal /'UIVIOiV',REPU- de persistance dans la'i2' circonscription TSb. le maréchal de Màc-Màhon a battu —, La comparaison s'anôte là ; car si conservatoire, M. le ministre ,d0 l'inslruo- de Q.iitnper, pour qne nons ne voyons pas tion publique parle en ces termes de, la BLICAINE DU FINISTERE, MM. disait-on — le prince Frédéric Char- ' le Reischoll'en de 1870 a été l'in- contraints de lui faire l'honneur d'ua dé- mesure : les Aetionnaires sont-convoqués, à la menti. le^ ill'affait prisonnier.; il lui a pris vasion de la Patrie, la bataille Réunion, en Assemblée générale, gui Un gérant •du journal le R^ublimin^ ... La mesjire dont l'importance est te)le ^ quarante canons. perdue sur le terrain électoral par de Brf»st, a été condamr é, il y a quelques que celui qui la-rè^Ie et qui doit la faire se tiendra à, Bre<t, à la salle, Saint- Ce'fat; pendant quelques heures, les réactionnaires de 1877, sera l'af- semaines, à une pein» d'emprisonoeme.'.it, respecter est armé d'un bâtOQ de comman- Georges^ rue Traverse, le MARDI, pour délit de presse. Ce gérant se nomme . uiiî véritable délire d'allégresse ; la franchissement de la France. Cejour- dement. 7 AOUT,^ sept heures et demie Arnould, et l'on abuf'e:de/la ressemblance • foule se pressait^ dans les rues en là, la politique de la liberté, la poli- Cette phrase' no devrait' pas .s'àdi^esser de ce nom avec celui deiMi Arnoult, dé- du soir. puté, pour essayer de faire,croire que poussant' dès cris de joie et en chan- tique républicaine aura vaincu défi- aux seuls masiciens, et ilserait générale- Le présent Â'vis tiendra lieu de lettre c'est le député qui a.été condamné etqui . tant'des airs patriotiques; les maisons nitivement la poHtique des hommes ment à désirer que les ministres eux de convocation. subit en ce moment la peine prononcée mêmes voulussent bien observer quelque étaient'pavoisées de drapeaux; on du 16 mai. par lé tribunal de Brest. « mesure » dans leurs procédés. MM. les Actionnaires Ce bruit est colporté, — avons-nous préparait dés illuminations pour le Et la France, libre, tranquille, sûre besoin' de le dire? — par ceux, qui ont sont priès/d'ôtre. porteurs soir.' du lendemain, marchera sans encom- intérêt à exploiter en ce moment la crédu- Mais voilà que le ministère fait bre, confiante et forte, à des destinées Le compositeur Gounod, l'auteur de de leur carte, qui leur lité publique : il a été accrédité surtout ' démentir à la Bourse et dans les prin- meilleures. Faust, de Roméo, etc., vient d'être promu sera demandée'^ à l'entrée. par a forme perfide dans laqueUe la con- au grade de- commandeur de la légion damnation de Hiest a été rapportée' par cipaux lieux publics l'événement qui le Fcii ha Breii, un petit journal sur d'honneur. a causé tanti d'allégresse, il n'y a pas lequel nous aurons l'occasion de revenir. V Union républicaine est en vente Puisqu'il ' faut démentir de pareilles eu de victoire, les chants cessent ; les LES GIROUETTES DE L'ORDRE MORAL chez les dépositaires dont les noms sottises, nous les démentons énergique- drapeaux sont retirés des leaétres ; UN MINISTRE PRUDENT suivent : ment, et nous rappelons à leurs auteurs « UQ conspirateur, c'est le ministre qu'ils s'ôxposent à une poursuite en diffa- le SOIT, sur les boulevards, on se pres- qui sert uu gourerDemeot, et qui en at- MM. . . mation, s'ils osent'lea répéter désormais. On lit dans la France: se en commentant d'inquiétantes ru- tend ou en prépare un autre. » La vérité; connue de tous ceux qui ont meurs qui déjà commencent à circu- BROCSTAIL, libraire. 42, rue de la Mairie. voulu l'apprendre, c'est que-M. Arnoult Nous recevons la lettre suivante , dil- « UQ conspirateur, c'est le magistrat DKLACIIIEÎCÎIE, débit de tabac, 59, rue est retenu à-Paris par une maladie qui n'a ler ; on VtiUt cependant espérer encore. qui médite la coodamoation de ceux au ment signée, revêtue d'un en*tôte de Saint-Yves. jamais eu de caractère dangereux, mais Cela se passait dans la soirée du l'académie de Paris et présentant- , en un DUDOIS, marchand de journaux, 33, rue dont le traitement est lent de sa nature et nom desquels il reod la justice. « samedi. Le lendemain en s'éveillant, mot, tous les caractères de la plus res*- Suffi'cn. exige de» soins minutieux. Nous sommes D'HAUSSONVILLE. pectable authenticité M"« NUMAI:<E, débit de tabac, 25, rue de heureux d'&nnoncer, à cette occasion, que la population de Paris lit sur tous les la Mairie. les dernières nouvelles qui nous sont par- murs la dépêche que Napoléon 111 ACADÉMIE DC PARIS EaouET, débit de tabac, 36, rue d'Ai- venues, il y a peu de jours, font connaître La 2 Août 1877. AVEU A RECUEILLIR une amélioration sensible dans l'état de vient d'adresser à l'impératrice ré- guillon (Champrde-Bataille). ISSÎITL'TION M'. Arnoult, et donnent à espérer sa pro- gente : FNÉOÈNIC CL.<RA, débit de tabac, 13, rue chaine guérison. Monsieur le secrétaire de la rédaction Echappé au le petit de Siam. Petit Caporal^ Tout le reste est'faux, absolument faux. « Le Maréchal deMac-Mahon a perdu Moniteur de 1 Impérialisme ; du journal la FRA.N-CE. M"' LE CARBOULEC, débit de taba.Oi 84, rue Les électeurs sauront désormais ce qu'il une grande bataille sur la Sarre, Il est question ce soir, dans votre esti- de Siam. faut penser de ceux qui ont besoin du « McUez la Capitale en état de Tou^ les journaux s'accordent à dire que mable journal, d'une indisposition de M. LE GLAIS, débit de tabac, 25, rue d'Ai- mensonge et des faussoa nouvelles pour Brunet, ministre de l'iustruction publique. guillon. l'Î^Mto;! coAweruaJrtcc est rompue Ils se combattre une candidature environnée de défense, » Or, aujourd'hui même, l'administration du trompant. Elle n'a jamais existé, elle LESTUM, débit de tabac, 3, rue Monge. tant de sympathies j les moyens auxquels lycée Charlemap;ne nous a communiqué, n'existera jamais Comment unir des partis MnuEL, débit de tabac, 88, rue de Siam. on en est réduit pour l'attaquer sont le Cette fois, Paris ne se fit pins d'illu- par ordre, une circulaire qui ne laisse plus dont les principes, le but et les tendances ViÉ, marchand de journaux, G5, rue mHlleur présage de son succès. sions : l'avenir sinistre, épouvantable, sont essentiellement opposés ? aucun doute sur l'intention qu'a M. le mi- de la Rampe. D'autre part', la lettre suivante nous nistre de présider la distribution du con- l'avenir d'où allait sortir le démem- Que les électeurs se le tiennent pour cours général. Toutpfois , craignant une Et dans les Bureaux du Journal, 31 rue signale encore un faux bruit mis en circu- latioQ dans la même oircoascription : brement de la France, l'avenir qui dit ? trop bruyante ovation, M. Brunet a cru d'Aiguillon. ^ allait entasser tant de ruines et faire dhvoir transformer les chefs d'institutions Monsieur le Hédacteur, L'honorable M. S^viney, ancien et en gendarmes. 2*^ous sommes donc avisés Je suis averti qu'on fait, je «A SDisrians quelle couler tant de sang, apparaissait aux qu'on ne nous transmettra les noms des futur député du Finistère, vient d'être intention, circuler dans les cam nynes dii can- ENTRE COALISÉS yeux de tous. lauréats que samedi soir, et que les chefs révoqué comme maire de Plouégat- ton de Ponl^l'Abbé le b'Ui'que mon intention eft de jioser ma candirlaturo en opposition à d'établissements devront accompafîner Il faut avoir vu l'aspect de Paris, ce Guerrand, qu'il administrait, croyons- celle de l'honorable M. Arnoult. ' jbur-là, pour comprendre ce qu'il y M. Mayol de Luppé, dont le journal, lpeouurrs réélèpvreimse ert tsoeu tm detétrseo rdarue ,m si'liile uv enda'ietu àx nous, depuis plus de 30 ans. C'est là une mauvaise manœuvre. On oublie avait déjà d'angoisses dans tous les rUnion, a rompu avec Tesprit de coDve- s'en produire , etc. Je vous laisse, mon- ]\L Swiney est républicain; il a ddoépncu teq uer éMpu.b Alircnaoiun,lt qeus'itl une sdte sc a:mi«lisd. aiq u'rne pgu béli-té nance qu'il savait garder, est malmené sieur, les réflexions à faire snr cette étrange ca n. et qu'à lous ces titres, loin de lui faire op. cœurs : la foule, profitant des loisirs été l'un des 363 signataires du mani- par le ainsi qu'on pourra en juger circulaire et vous prie de taire mon nom. position, je lui prtiterai mon concours le piug Pays, du dimanche, se promenait sous un par les lignes suivantes : Recevez , monsieur, mes civilités em- feste des gauches, et l'un des 363 devVoeiiuritl. ler agréer, etc. VEliCHiv, ^leil radie ux ; mais su r to u s les visages, pressées. ^ votants de l'ordre du jour de défiance Avocat. C'est au moment où, au risque du conflit contre le ministère éphémère qui on hsait une morne tristesse ; c'est à qui a éclaté, Doussoutenions lespréteutloos 0 ministre prudent !... nous gouverne aujourd'hui. On pou- A h séance annuelle du 2 aoilt de l'aca- peine si l'on échangeait q uelques mots. électorales d'un légitimiste contre un bona- (Jui nous eût dit qu'un jour nous en vait donc s'attendre à sa révocation. démie française, le secrétaire perpétuel C«siience,aumilieu de celte multitude, partiste, parce que nous estimions que le de l'Académie, M, Camille Doncet, dans viendrions, par comparaison, à vanter le premier avait des droits que n'avait pas le Au point de vue de l'ordre moral, un rapport relatif aux ouvrages les plus était ellrayant. Combien de ceux qui, ministère de M. de Cumont î second, c'est à ce moment là q e l'Union cette révocation fait le plus grand utiles et les mieux conçus, a cHé avec ce jour-là, marchaient soucieux au vomissait contre le parti impérialiste et ses éloge la grammaire française de M Gou- honneur à M. le préfet Souvestre, milieu de leurs familles, devaient bien- ddoanctsr isnae st odm«sb eo uetrta gae sg aàlv raénjoisueirr PLoauujroeualtaite M. de Tracy, préfet épi<îue de la Gi- quand on songe surtout que de toutes zieNn oupsè rceo. nstatons avec plaisir cette men- ^UoUr dire arrachés ; mobiles destiaéi sur son fauteuil. ronde et metteur en scèoe de Habagas à les communes rurales du départe- tion favorable donnée, par un homra« L'*Unîon Républicaine du Finistère. compc^lenf, fi Vœnvre pn^thiinip d'un de prenne donc îi son ami. cause indirecte el La commission d'olïiciers de troupes h la place et permette de revenir aux entre- n(*s lioiioi'iiblos 0(im'iU>yiMis. dont toute involontaire, m tis cause première de ces cheval, chargée de constater les connais- D É P Ê C H ES prises sainiîs et sûr^s I.es règlements et 1;) VIO :t olt^ mit 'vu- di' Il avitd el de dévo'ie- erreurs que Yoccan relève. . et commet. sances en éqiiitalion des candidats au liquidatioiiS s'opèrent dans des conditions ni Mit devons prifcs.sioiiiiels el à vo'ontariat d'un an (cavalerie) du dépar- traïKiiiillHs Le 3 "/» reste à 70,87 1/2 et le l'iiitéièl publie. ^ Les régales de Hrot, favorisées par un tement du Finistère, se réunira , fi partir SERVICE T É L É G R A P H I Q UE 5 0,0 à 106,20 de ce jonr. toiisles lundis, de 7 à 0 heures Ce malin a eu l'eu la dislribnlinn de? temps splendide, ont été hier fort bril- du matin, jusqu'au 31 août, au quartier de de l'Union Républicaine, BOURSE DE PARIS lantes. Nous publions ci dessous la liste prix au ly.HV de iî ie-l. 0-ne. eéremonie cavalerie ù Ponlivv. si'olaii-e èlait présidée p:\r M. le prélet du des heureux vainqueurs. Les dilVérenles l'ai is, t; .\ijùt, f I il. -'iU matin. DU 6 AOUT 1877, Fiidr-lère ;iyaul ^ sa droite M. l'inspeclenr courses se sont succédé avec une régula- L'Officiel dn 4 aoili publie un décret du de l'acadéimede Hernies, à sa gauclie M. rité et un ordre qui témoignent de l'habi- 30 juillet par lequel Mgr Le Coq , évêqne Caillaux est parti ce malin pour Cours du 6, Cours du 4. le proviseur du l.ye(^e. leté de la direction. Ellesont fort intéressé de Liieon, est nommé ùl'évêché de Nantes Vichy, Au comptant. Le diseours d'usMjre a élé prononcé par le public compétent. Quant aux profanes vacant par le décès de Mgr Fournier, Lt! .MarL^clinl est atleiulu aujour- 3 0/0 70 80 70 80 M. D.iiKiy . protVsseur de lettres aux qui ne sont pas aptes à comprendre, ni, d'hui, venant do Laforèt, 4 1/2 0/0.... iOl 75 102 » élève> des couis de marine. par suite, à apprécier toutes les linesses F-.annieiii'. — Ainsi que nous l'avons 5 0/0 100 35 lOG 30 Nous ne ^am ions trop félieilerM. Dnndy déj'i annoncé, c'est le 12 de ce mois que Los Russes ont renonct'i i l'inves- de riieureti-e inspirai on de son discours. des manœuvres nautiques, ils ont trouvé le scrutin sei'a ouvert dans le canton de tisseinent de Roulschouk, L'année A terme. Iims ces lemps où rTniversité. m il dé- une distraction amusante dans les plaisirs Lanmeur pour l'élection d'un conseiller 3 0/0 70 85 70 82 turque s'est emparée de Sebvi, près fendue par des minisli'es cléncaux. re^^te plus vulgaires, mais plus gais, des mais général , en remplacement de M. de Ker- 5 0/0 10(5 40 lOG 30 exposée î» laut de reproches injustes, il de cocagne, des joûles à la nage, des saiison décédé. Le parti royaliste et cléri- Tirnova. BanqT France. 30C0 3005 • esi bon que la vérité se f isse euiendre en courses aux canards, etc., etc. cal présente le lils du conseiller défunt. Dans les engagements des Balkans, Crédit foncier. 71K 710 • opposition aux assertions volontairement M. Clech, docteur médecin, est le can- Nord 1'245 12i5 . erronée-^ et aux insinuations jésuiluiues Le soir, une foule immense se portait didat lépublicain. Tous nos vœux accom- Coirrko n'a pas eu à combatlre le Lyon 1015 1012 50 de ses pires adversaires. M. Dandy a traité dans l'enceinte des Régates, sur les quais pagnent leselTorts de nos amis poliCKpies gros de l'armée turque qui est près Ouest 090 087 50 de la question de ['('ducatioa dans les avoisinants, et tout le long du Cours Dajot de Lanmeur en vue de la réussite de cette Orléans 1057 50 IS.^S » d'Andrinople. Une nouvelle bataille lycées, et il a ilémontré preuves en main, pour assister au feu d'ai titice .11 a admira- candidature. l)etteg"d'Egypte»191 25 190 • qNuoeu sr éedsnpcéirtoionns pnoeu vlaoiisrs arietp rroiednu iàr ed écsei rdeisr-. blement réussi. La fêle de nuit, par celte Marché de Landeroean dn 4 Âoùt, est imminente. I)-0. SOSSA. cours dans noire prochain numéro. mer tranquille comme un lac, présentait BLLLIER. un spectacle vraiment féerique. Des ba- Froment les 80 kil. 28'^ » On demande un bon Ecrivain M. Souvestre a pris ensuite la parole; il n'e>t p.is sorti du cercle des banalités en teaux tout illuminés de feux de bengale, Avoine les 100 kil 21 . Lithographe, faisant également usage en pareilles occasions. ou entourés d'une brillante ceinture de Orge - 20 . Le grrrand parti conservateur la Gravure et la Plume. la iucidenl s'est produit qui mérite lanternes vénitiennes, voguaient molle- Sarrazin — 27 » Pommes de terre les 100 kil 10 » Adre>seréchanlillonsàrimprimerie d'être s'gnaié. ment. dessinant des arabesques de lu- ENTRE BONAPARTISTES Beurre le kilogra'tftme 2 30 i.e prix d'honneur décerné par la ville mière sur la surface sombie des eaux. L. née successeur de Œufs la douzaine. « 85 EVAIN, ROGER, rdeem Bproerstté cpeotutre laan nseécet ipoanr lde ejes ulneett Greosu zai eént,é Les mousses de ['Austerlii'::,, sous la direc- C'est une véritable exécution que la E. ROGER PÈRE, rue Saint-Yves, 3^. tion de leur in.strucleur M. le sergent pelil-lil> de l'auteur de la grammaire qui CHEMINS DK FER DE L'OUEST lettre qui conclut cruellumeot ainsi : Travail assuré pour longtemps. d'armes iMorin, chantaient, du ponton où a été citée avec éloge dans la dernière sé luce de l'Académie. ils étaient placés, de vigoureux chœurs, P A R D ON DE P E L E CQ A monsieur Rouhcr. lùi l'absence du maire, M. Bellamy, auxquels répondait la musique du régi- Près KERHUON Monsieur, PENSIONNAT l'un de> adjoints, a couronné le jeune ment établie sur une estrade de l'enceinte. ... 11 a été un temps, et c'était dans les DE lauréat. Kn le félicitant de ses succès, il 11 n'a manqué pour compléter la fêle A l'occasion du Pardon de Relecq (près moments les plus diilioiles, où ??ics excès lui a rappelé avec chaleur les bienfaits qu'une retraite aux Ibmbeaux. Espérons Kerhuon), le service suivant aura lieu, et mes emportements s'appelaient chez Madame ROUSSEL du travail et du devoir accompli. Persé- que l'an prochain on aura enfin oublié le entre Brest et Kerhuon, le Mercredi vous de la vaillance, et où ou ne songeait vérez. a t il dit, vous acquerrez toutes les veto pose sur les retraites aux tlambeaux iS Août i877. pas, en les trouvant utiles, à les attribuer 11, Rue de la Mairie, Brest, II vertus qui font le bon citoyen, le bon par MM. Marie, ancien .sous-prefet, et le ALLER (/", et classe) à vne personnalité qui s'illusionne. réiniblicain. le bon patriote. D'ailleurs, ce silence ne nie blessera SEPTIÈME ANNÉE Ces paroles, dites d'une voix ferme, baron Méquet, préfet maritime. Dépari de Brest, 7 h. mat. — 7 h, 45. — pas, et, si l'orgueil étonnant qui règne Un Cours supérieur, fait par des ont soulevé un loimtrre d'applaudisse- 11 h, 30, -3ii.,SQir. -4h,40. - 7 h. 5, dans votre attitude pouvait me donner des Professeurs du Lyuéé,' «îsV annexé au ments dans l'auditoire. Le mot de lic/iu- REGATES^E BREST An ivee à Kei-huon, 7 h, 13 matin. — leçons de modestie, je n'en proliteraispas : Pensionnat. hhcnin a elé souligné d'une Tivon toute 7 h, 59, . Il h. 4U, - 3 h. 14 soir. - les deux documents" soleunels^ signés par spéciale, toute spi-iiianée. avec une una- 4 h. 54, - 7 h. 22. Lu rentrée des Cours du Pension- vous et à mon adresse suffisant à me iiiiiiiié pleine d'enir.iin. On a>sure que .M. COURSES A L'AVIRON RETOUR (n, et 3"" classe) donner de moi-même une opinion tlat- nat est n.\ée au 17 Septembre. S.>iive>ire en a pàh. N )us ne garanlis>ons Départ de Kerhuon , 8 h. 57 malin. — teuse que je n'avais certes pas. Lareniréedti Cours supérieuraura pas le fui, bien qu'il n'ait rien d'invrai- COURSE 12 ti. 28 jour. - 4 h. 57soir. — G h. 31. — Et pourquoi me parler méchamment de lieu au mois d'Octobre. semblable Q le voulez-vous, M. le prefet 1 P. Canot a" 1, uuusiruulions nava- lu h -11 h. 22. mon désir de me dégnqer à la lumière et d'ordre moi al, ces jeunes gens sont l'ave- les, pairou Pascal 30'' Arrivée a Brest, 0 h, 14 matin. - 12 h. de me mettre en relief ? HERNIES nir, ei l'avenir est à la République! 2 P, Youyuu, Borda, patr. Savary, 15 45 jour. — 5 11. 15 soir. — G h, 45. — Parce que je vous ai attaqué? Ce n'est 10 n. 15. - 11 h. 40. pas modeste, et franchement, s'il n'était Nous apprenons avec plaisir qu'un de 2« COURSE catégorie) nécessaire pour ai river qn« de s'en prendre nos jeunes et sympaiirques concitoyens, PRIX UES PLACES {Aller et Retour) Complètement guéries par la Méthode Prix uuique, lidieiuièrt) u° 2, Borda, à vous, bien des gens en France auraient Jl. l-'ehx Le B is, vient d'obtenir à i'aris palrou llailtiu 40''' Pour Brest "el Kerhuon, l"clas,, 1 fr,30. grandi démesurément leur taille, et pres- un plein succès au cimcours d'adinission B. GLASER {2' catégorie) - 2- clas,, 0 l'r, 95. - 3- clas., U fr. 75. mie tout le monde, comme les soldats de à l Eoote normale. H y avait plus de luO Frédéric-le-Grand, compterait six pieds concurienl>; !2'2ont été reçus. M. Le Bris, 1 P. Baleinière u" 1, i^Ouessant) Borda ^ M É D A I L LE D ' A H G E MT de haut. par rang de moule, a obtenu le N" lU, jatrou Yaouac ôo" Nouvelles Maritimes Et cette situation dont vous paraissez si M. B, GLASER, curateur herniaire, rue C'e^t à une digne et brillante continua- 2 P. Baieiujere, Vulcain, patron Cail, 22, à Pans, a l'honneur de prévenir jaloux, et qu'il vous plait de me mesurer tion des succès remportés, l'an dertiier, Kaiiuuld 40 les personnes aiteintes de cette cruelle et si étroitement, elle échappe à votre arbi- par notre jeune concitoyen, au concours 3 P. Bdieiuière n° 1, Bougainvitle, La Flore est arrivée en rade cette après- dangereuse infirmité que, vu le grand traire, c'est l'opinion publique qui la général des prix. palruu Goasguen 30 midi, à 3 lieures. nombre de malades qui ont recours à lui, donne et c'est elle qui prononcera. 4 P. Baiemieie, Capelan , patron il sera visible à Brest, Hôtel LA- Moi m'illusionner sur ma valeur! Mais Dans la semaine qui vient de s'ecouler, Lamaudé 20 Les renseignements particuliers publiés MA KQUli:. les 7.8,9 etiO Août inclus, non. Je n'ai qu'un peu de courage, beau- du 29 Juillet au 4 Août, le nombre des 3» COURSE réuemmenipar ['Union répubUcaine, sont • terme de rigueur. coup de foi. Ma vie a été fort ordinaire et décès de la ville de Brest a été de 34, aujoufd hiu. o^lfiellemoni coulirm.es Le soit 5 de plus que la semaine précédente. Prix. Chaloupe n® 3, Bretagne, patron Juurndl officU^jla 3 auût coutieut la no- ; n'a jamais présontr^ LA i-nÉcocirji EXTRAOR- AVIS AUX INTÉRESSÉS Lecoq Dans ce nombre, Recouvrance ligure miuaiiun de M. le capiiaine du vaisseau DINAIRE DE LA VÔTRE, QUI VOUS AVAIT PERMIS, D'après les nombreuses guérisons qu'il pour 7. 4» COURSE C/" catégorie) Huart, comme gouverneur de la Guyane A .MON AGE, D'AVOIR ÉTÉ DÉJÀ RÉPUBLICAIN a opérées dans toutes les contrées de la Les causes de ces décès ont été les sui- 1 P. Canot du Cummandaut, Borda, Irauçdisu, en remplacement de M. le SINMCÈoRnE . talent est mince, et il serait inca- France, ainsi qu'à l'étranger et dans notre patron Lemallel 40'' conue-amiral Grasset, appelé à d'autres contrée même, nous ne pouvons qu'enga- vantes : pable évidemment de 2 P, Canot 2, Borda, patron l'onutions. PLAIDER LE FAUX ET LE ger les personnes atteintes de cette inlir- Aiïeclions de la tête 10 Keuaud 30 VRAI, LE POUR ET LE CONTRE, AVEC LE MÊME mité à avoir recours à M. GLASER, le — de la poitrine 12 La Guyenne , qui doit remplacer la ÉCLAT, AVEC LA MÊME CONVICTION. seul possesseur de cette heureuse décou* — du ventre 3 (2* catégorie) Valeureuse dans l'escadre de la Manche, Quant au rôle important que je veux verte pour laquelle il a obtenu une Mé- jouer, rassurez-vous, il ne ressemble en — chroniques 2 a quille Cnerbourg le 4 auiii, pour rallier daille. rien au vôtre et ne vous gênera pas, je Fièvre typhoïde 1 5' COURSE le pavillon de l'amiral Jaurès M, GLASER n'emploie jamais de vaines vous le jure, car il ne vous disputera ni Fièvres'éruptives 2 1 P. Dorade, patron Lesouerne, proprié- paroles pour convaincre les intéresséfl» portefeuille ni plaque en diamants, se Causes accidentelles 3 taire M. Pcuuurs Le cuirassé Friedland, commandant Il tient à la disposition de tout le monde cornant, si jamais se représentaient de Morts-nés 1 2 P. patron Nicolas, pro- Lacomba, monte par 703 hommes d'équi- des preuves incontestables auxquelles lamentables journées comme celle du TOTAL 34 priétaire Al. Alaaec. . . , . ,. 20 page, a pris sa patante de saute. 4 Septembre, chacun peut recourir pour se convaincre Ces 34 décès se repartissent ainsi : 3 P. Otnida, patron Aagérip, pro- Ce bàiiment doit prendre le large sans A NE PAS ABANDONNER MA SOU- de la vérité de ce qu'il avance. A domicile 26 prietaira Aageiip 10 tarder. VERAINE AU MILIEU DE L'ÉMEUTB, ET A RESTER M. GLASER se rend à domicile sur de- IMPASSIBLE SUR LES CHAISES CUROLES DU SÉNAT, A riiospice civil 6 6« COURSE La corvette norvégienne Normen, com- quoi qu'il advienne, plutôt que de M'ENFUIR mande. A l'Hôpital maritime 2 Prix. Télégraphe, patron Jansen, de Fré- mandée par M. Lund, capitaine de vais- quand apparaîtraient les Gaulois de Bel- NOTA. — Qu'on veuille bien noter ces dates, vu qu'il ne sera pas fait d'autre pu- dericksllala Objet d'Art, seau, montee par 190 hommes d'equipa- levillG, PI.CL DE CASSAGNAC. On ouvrira le pont demain 7 août, à blicité, et qu^il n'y aura pas de prolonga- ge, a pris mouillage sur notre rade a 4 huit heures du matin, pour le passage du 7' COURSE Apr(i's cette accablante accusation, dont tion de séjour. heures, hier au suir. navire Débutante, cap. Noblanc. 1 P. n" 722, Leroux Juan-Marie, Ker- M. Rouher ne saurait se disculper « D'A- horre 60'' Le compte-rendu de la séance budgé- 2 P. u" 793, Leroux Claude , Ker- illARliVË mAKClIAIVDE » VOIR PLAIDÉ LE FAUÏ ET LE VRAI, L» DES BOISSONS GAZEUSES taire du Conseil municipal du 30 juillet hone 30 Arrivages du'S" au 5 Aoilt 1877. » POUR ET LE CONTRE AVEC LE MÊME GUIDE PRATIQUE que nous avons donne dans notre nu- 3 P. n" 511, Lerour Jeaii-AIarie , ») ÉCLAT, AVEC LA MÊME CONVICTION, D'A- méro du l"Aoùi,coniient quelques erreurs Kerhorre 20 Euprhosine, cap. Balandard, ven. de » VOIR ABANDONNÉ L'IMPÉRATRICE - RÉ- Les industriels qui se livrent à l'utile de détail, que nous nous empressons de COURSE Camaiet, ch. de ftlis vides,— Armoriquc, fabrication des Eaux de Seliz et de toutes » GENTE AU MILIEU DE L'ÉMEUTE ET DK relever. Elles porleiu sur le chapitre des cap. Le Gail, ven. de Douarnentz, ch.' de les boissons gazeuses en général, et les dépenses ordinaires, 1 P. Baleinière, Zackdi SO'' div. maruh. — Clémence, cap Simon, a S'ÊTRE ENFUI U, le parti impérialiste personnes qui ont l'intention de s'occuper 2 P. Bdleiuiere, Goueiun 20 Paragraphe 2 : Charges des Bâtiments ven. de Douarnenez, ch. de bouteilles. — dont le vice empereur était la tête, n'a de celte lucrative industrie doivent se 3 P. Daieiuière, Garuier 10 eoininuuniiX. — Lire 105,GiUfr. au lieu Madeleine, cap. Papon, ven. de St-Pierre, plus de tête, il est décapité I procurer et lire avec attention le Guide de i0d.52u francs. 9' GOUASE ch. de vin. —cowrrter, cap. Kerioch, ven. publié par M. J. Hermann-Lachapelle. Ce Paragrapiie 5 : Tkcâh'e. — Lire 17,1)00 1 P. Canot n"5, Le iNorhan. , , , 20''' d'Audierne, ch. de div. march. —Joseph- volume, véritable Manuel d'instruction francs au heu de 27.oUU fiancs. 2 P, Cauot ii°b, Ddul 15 Marie, eap Bernard, ven. d'Ars, ch. de Chronique Financière pratique, illustré de 80 planches explica- Paiygrahe 0 : CdUes. — Lire 7,800 fr. 3 P. Cauot n° 4, (iargarn 10 ohixas.. — Arinande-Marianne, cap. Lar- tives, est le compagnon indispensable du au heu ne 8.8U0 IVaiios, 10» COURSE gouet, ven. de CardiH. ch. de houille, BOURSE DU SAMEDI 4 AOUI 1877. fabricant. -- S'adresser à tous les hbrai Du reste, les totaux sont parfaitement «•«rijEH res, en ayant soin d'exiger le Guide publié exacts, ainsi qu'aurait pu le con&later no - 1 P. Youyou des 4 Frères, patron ouestampillé par J. Uermann Lachapelle, Toutes les Bourses européennes sont tie bienveillant et iiifailtibie confrère iS'uëi , propriétaire M. iNicoias.. , 15'^ Armorique ,cap. LeGjdi, ail. àDouar- et envoyer 5 fr. à l'auteur, 144, faubourg lourdes, el le Stock - Echange donne YOcean, Eu etîdt, dans le niéme numéro 2 P. Espoir, patron Maiie, proprié- nentz, ch. ue div march.'— Ondine,oiip. l'exemple en envoyant les Consolidés sans Poissonnière,à Paris. où, relevant charitablemenl ces inexac- taire iVl. Kuux 10 Vaudeubrouck , ail. a Ostende , ch. de changement. Les syndicats auraient-ils titudes, il demande >ui quels points portent 11- COURSE {Périssoires.) homards — Bayadère, cap. Bernard, ail. entrepris une tâche au-dessus de leurs les erreuis conlml^es, il publie la leca- a La Rochelle, un, de merrains. — Char- A C É D ER pilulation générale du budget, conforme 1 P, iïcçutAi, patron Legueu de Lan- les-Mar le, cap. Giraud, ail, a Concarneau forces en soutenant à la fois tous les fonds eiiiiôremeni à celle que nous avons derneau Objet d'Art sur lest. — Beuxiîœurs, cap, Fiiy, ail. à publics sur tous les marchés ? Ce qui est L donnée. 2. P, A inélie patron Madec de Lan- Audierne^ ch. de div. mai ch. — Jeune certain, c'est que sur notre place il se pro- 'ÉTUDE de NOTAIRE à GUIGLAN duit quelque résistance Aujourd'hui, le dernau .Médaille de Bronze, ISophie, cap. Guichoui, ail. a Laberildut, l'ius loin, l'employé chargé à XOcéan début «st faible, et le 3 ®/o ouvre à 70.60, Arrondissement de Morlaix* ch. de bois. du service des addiuons, a commis une le 5 7o à 106 10. Il est vrai que, bientôt, pente eneur. COURSLS A LA VOILE quelques demandes ramenaient les cours Helùtiveuientà la réduction de 1.000 fr, Nous avons attendu jusqu'au dernier Adjudications de la Marine a 70,85 et 106 32 1/2 ; mais on considère Sladresser à M. HERROU, Notaire à de la subvention annuelle accoidee a la mumeiit de la mise eu page (^3 heures), avec quelque surprise la rareté de plus en Pleyben, ou à M. CLOABEC, Avoué à fab; ique de Saini-.Mai lin, [Océan dit que esperaut puuvuir taire counailre a nos lec- TOI,LO:V , «3 AOVT ISJJ. plus grande des demandes" des Recettes Morlaix. aci)uis longteiups celle bubveuiion était teurs le lesuitat de ces courses. — Maigre Entreprise du service du pourvoyeur à générales qui n'achetaient que 80 fr. de lixee à 4 UOU fr., — c'est inexact. — toutes nus demarchiss, il uous a ete im- bord des transports de l'Eiat alfectas aux 3 % et 60 fr. do 5 % Tous les fonds étran- Jj('l>uis luiiyit'iitiiii,\e crédit porte pour cet possible de uuus pjocurer, en lemps up- voyages entre Tuulon et la Cochiuchiue gers sont un peu lourds, à l'excepiion du SALON ^GLACES ônicie, eiaii de o IIUO fr., et celle année, ponun, la liste des lauieats. et vice-versà, ainsi que sur les transports Russe 1870 tenu à 86 3/8 et de la Rente le Coii>eil n'a f.nl que ramener la isOuiine faisaut les tuurnees pénoiiques, 1° de la Autrichienne 4 °/e en or qui reprend le au iau.\ lialuiuel. Keuniun, WusM-Be et Mayotie; 2° des cours de 62. Nous pensons qu'il faut s'at- Dans la course d'honneur, qui a lieu au Glaces tous les Jours* U -and on veut reclilier autrui, faudrait- Autilles et paitant aussi de Toulon. — tendre àun prochain emprunt russe et à un moment même cii nous eciivous, deux il encore éire [l'us .^ùr de son fait. Dépôt de garantie : 6,000 fr, — Caution- prochain emprunt autri hien ; ce serait-là De loule celle polem que, il résulte baleaiixdu Vaclii-Club soni engages, dont nement deùuitif : 12,000 fr. — Durée de l'explication de la tenue exceptionnelle de Belle Glace naturelle au Détail CFCI ; l'un apparlieul a M, Jules Verue, preaent l'eniieprise : 3 ans. ces deux fonds. Les transacnons sur les C'est que les comptes-rendus oriiciels en ce moment dans nos murs. Sociétés de Crédit et sur les chemins de des séances municipales étaient fort ' a v 73 fer sont à peu près nulles Quant au mar- MAISON D U M E N IL utiles. La Société des lusiituteurs et Institu- Un demande un Jardinier marié, ché industriel, à peine cote-t-on môme C'est grâce à M. Souvestre, l'ami de trices tiendra son assemuiee generaie à les valeurs les plus favorisées ordinaire- CONFISEUR-GLACIER pour une campagne près iirest. ïOceaa, que ces comptes-rendus n'ont Brest, le t Jeudi, 9 août, a lU heures. ment. Il faut que la liquidation desafiaires plus lieu aujourd'hui. Que ï'Océan s'eia S'adrmer au bumu du Journal, di Tramways si mal engagé» débarrasse 1 7, R ue du C h â t e a u,

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par ledi>coursdu maréchal à Bourges; on comptait .. damner ù. mort, en bloc et d'un seul coup .. damner un fonctionnaire qui a commis un abus de
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