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Algèbres de Hopf combinatoires PDF

46 Pages·2005·0.38 MB·French
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Alge`bres de Hopf combinatoires Maxime Rey Laboratoire d’Informatique de l’Institut Gaspard Monge Universit´e de Marne-la-Vall´ee Rapport de stage du MPRI 2 Septembre 2005 2 Alg`ebres de Hopf combinatoires Table des mati`eres 1 Introduction 5 1.1 Contexte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 1.2 Sujet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 1.3 Organisation du rapport . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 2 Alg`ebres de Hopf combinatoires 7 2.1 D´efinition formelle des alg`ebres de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 2.1.1 Alg`ebre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 2.1.2 Cog`ebre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 2.1.3 Big`ebre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 2.2 La combinatoire et les alg`ebres de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 2.2.1 Combinatoire sous-jacente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 2.2.2 L’algorithmique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 2.2.3 L’alg`ebre «m`ere» : les fonctions sym´etriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 2.2.4 FQSym . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 3 L’alg`ebre de Hopf Catalane : CQSym 20 3.1 PQSym . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 3.1.1 La combinatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 3.1.2 L’algorithmique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 3.1.3 L’alg`ebre de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 3.2 CQSym . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 3.2.1 La combinatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 3.2.2 L’alg`ebre de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 3.3 PBT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 3.3.1 La combinatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 3.3.2 Les bases de PBT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 3.3.3 Isomorphisme d’alg`ebre entre CQSym et PBT. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 4 L’alg`ebre de Hopf de Grossman-Larson 33 4.1 L’alg`ebre de Hopf des arbres ordonn´es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 4.1.1 Combinatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 4.1.2 L’alg`ebre de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 4.2 Correspondance avec CQSym . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 4.2.1 Notions suppl´ementaires sur les alg`ebres de Hopf . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 4.2.2 Isomorphisme de OT avec CQSym . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 5 Conclusion 43 3 4 Alg`ebres de Hopf combinatoires A Les alg`ebres tensorielle et sym´etrique 44 A.1 Alg`ebre tensorielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 A.2 Alg`ebre sym´etrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 R´ef´erences 45 Chapitre 1 Introduction 1.1 Contexte Ce rapport pr´esente mon travail effectu´e durant le stage de recherche du MPRI (Master Parisien de Recherche en Informatique), supervis´e par Jean-Christophe Novelli et effectu´e au sein de l’´equipe de combinatoire de l’IGM (Institut Gaspard Monge) dirig´ee par Jean-Yves Thibon. Il traite de com- binatoire, domaine enseign´e au MPRI, notamment par Jean-Christophe Novelli lui-mˆeme. Undomainederechercheactifencombinatoireestl’´etudedesalg`ebresdeHopfcombinatoires.Cette recherche a de multiples justifications. Au sein de l’´equipe de combinatoire de l’IGM, cette ´etude est motiv´ee par la recherche de g´en´eralisations des fonctions sym´etriques. Il s’agit la` d’une th´eorie bien ´etablie, tr`es active au niveau de la recherche, qui poss`ede une structure riche et qui trouve des applications dans de nombreux domaines comme par exemple les math´ematiques, l’informatique th´eorique, la physique ou encore la chimie (voir [23]). A ce jour, on dipose d’un nombre cons´equent d’alg`ebres de Hopf combinatoires qui g´en´eralisent l’alg`ebre des fonctions sym´etriques. Chacune d’elles est ind´ex´ee par un objet combinatoire qui lui est propre et qui permet de d´ecrire sa structure alg´ebrique. L’enjeu majeur de ce cadre d’´etude consiste d´esormais `a une classification structuration de ce type d’alg`ebres. Plus pr´ecisemment, les membres de l’´equipe de c{ombinatoire de|l’IGM ont dre}ss´e une «cartographie» des alg`ebres de Hopf combinatoires ob´eissant toutes `a un principe analogue de construction via des algorithmes classiques comme l’insertion dans les arbres binaires de recherche, le tri par bulle, l’algorithme de Schensted, etc. (voir [1] notamment). Enparall`ele,denombreusesalg`ebresdeHopfsontpubli´eespourleurint´erˆetpropredanslalitt´erature. Certainessetrouventˆetreisomorphes`acellesd´efiniesparleformalismedel’´equipedeMarne-la-Vall´ee. Parcons´equent, uned´emarcheutileconsisteapr`eschaquecr´eation d’unenouvellealg`ebredeHopfvia ce formalisme, `a v´erifier dans la litt´erature d’´eventuels isomorphismes. 1.2 Sujet R´ecemment [6], Jean-Christophe Novelli et Jean-Yves Thibon ont introduit une alg`ebre de Hopf combinatoire, CQSym, dont les dimensions des composantes homog`enes correspondent aux nombres deCatalan.Unepremi`ere´etapedustageaconsist´e`ad´etaillerlastructurealg´ebriquedecettealg`ebre 5 6 Alg`ebres de Hopf combinatoires de Hopf combinatoire. Pour cela, on a utilis´e une autre alg`ebre de Hopf, PBT, dont les dimensions des composantes homog`enes sont ´egalement les nombres de Catalan et poss´edant d´eja` une structure riche (voir [20]). D’autrepart,commeexpliqu´epr´ec´edemment,ilestsouhaitableded´etecterd’´eventuelscandidats`a l’isomorphismedanslalitt´erature.Apr`es´etude,unealg`ebredeHopfintroduiteparRobertGrossmann et Don Larson afin d’optimiser des calculs de d´eriv´ees partielles dans des champs de vecteurs s’est r´ev´el´ee ˆetre isomorphe `a CQSym. 1.3 Organisation du rapport Au chapitre 2, on introduit la d´efinition formelle d’une alg`ebre de Hopf suivie d’exemples des principales alg`ebres de Hopf combinatoires de la litt´erature. Onpr´esenteauchapitre3CQSym,l’alg`ebreCatalane,introduiteen[6].Pourcelaonintroduitau pr´ealable PQSym, une alg`ebre de Hopf qui contient CQSym comme sous-alg`ebre de Hopf, `a partir de laquelle on d´efinit CQSym. Enfin, afin de munir CQSym d’un plus grand nombre de bases, on introduit l’alg`ebre de Hopf des arbres binaires introduite dans [20] qui dispose d’une structure plus riche, et qui se trouve ˆetre isomorphe en tant qu’alg`ebre associative `a CQSym. Lechapitre4pr´esentel’alg`ebre deHopfdeGrossman-Larsondesarbresordonn´es,introduitedans [16]. On donne une preuve abstraite du fait que cette alg`ebre est isomorphe en tant qu’alg`ebre de Hopf `a CQSym. Chapitre 2 Alg`ebres de Hopf combinatoires Ce chapitre est destin´e `a fournir le mat´eriel n´ecessaire pour les chapitres `a suivre, avec pour but final d’introduire la notion d’alg`ebres de Hopf combinatoires. Pour cela, on expose tout d’abord la d´efinition formelle d’une alg`ebre de Hopf en toute g´en´eralit´e. La lecture de cette section peut ˆetre ignor´ee, elle est purement formelle, son roˆle consistant `a fournir des d´efinitions et notations pr´ecises pour la suite du rapport afin de le rendre auto-suffisant. Dans les sections suivantes, on fournit les pr´eliminaires combinatoires et algorithmiques pour le reste du rapport et plus pr´ecis´ement pour les exemples d’alg`ebres de Hopf combinatoires que l’on donne `a la fin de ce chapitre. 2.1 D´efinition formelle des alg`ebres de Hopf Onnoteraklecorpsdebase.Dansunpremiertemps,ondonneuned´efinitionpossibledesalg`ebres. Ce formalisme permettra d’introduire les cog`ebres. 2.1.1 Alg`ebre Une alg`ebre sur k peut se d´efinir comme un triplet (A,m,µ), avec : A un k espace vectoriel, • m une application A A A appel´ee multiplication, • ⊗ → µ une application de k dans A appel´ee application unitaire. • Enoutrelamultiplicationv´erifielapropri´et´ed’associativit´eetl’applicationunitairev´erifie(a`gauche) que m(µ(a),x)=f(a,x), aveca k,x Aetf l’isomorphismenatureldek AdansA.Ellev´erifielamˆemepropri´et´e`adroite. ∈ ∈ ⊗ Ces deux propri´et´es peuvent se formuler, de mani`ere´equivalente, `a l’aide de diagrammes qui nous serons utiles par la suite. On peut donc dire qu’une alg`ebre se d´efinit par un triplet (A,m,µ) tel que les 2 diagrammes suivants commutent : id m µ id ⊗ ⊗ A A A A A k A A A ⊗ ⊗ ⊗ ⊗ ⊗ m id m m ⊗ f A A A A ⊗ m 7 8 Alg`ebres de Hopf combinatoires Onarepr´esent´e uniquement lediagramme dela propri´et´e `a gauchedel’application unitaire. Elle doit ´egalement satisfaire la propri´et´e `a droite qui se repr´esente par le diagramme sym´etrique. L’int´erˆet de cette d´efinition d’une alg`ebre est qu’elle permet de d´efinir ais´ement et intuitivement ce qu’est une cog`ebre. 2.1.2 Cog`ebre On peut d´efinir une cog`ebre comme ´etant un triplet (C,∆,ǫ) avec A un k espace vectoriel, • m une application C C C appel´ee coproduit, • → ⊗ µ une application de C dans k appel´ee application co-unitaire. • De plus ce triplet doit v´erifier les diagrammes commutatifs suivants : id ∆ ǫ id ⊗ ⊗ C C C C C k C C C ⊗ ⊗ ⊗ ⊗ ⊗ ∆ id ∆ ∆ ⊗ f C C C C ⊗ ∆ Ces diagrammes sont «duaux» de ceux intervenant dans la d´efinition d’une alg`ebre. On notera donc que le coproduit d’une cog`ebre doit satisfaire notamment une propri´et´e de co- associtivit´e dont la formulation ´equationnelle s’exprime de la mani`ere suivante : (id ∆) ∆ = (∆ id) ∆. ⊗ ⊗ ⊗ ⊗ Nous ne donnerons pas d’exemples dans cette section. Ils viendront `a la fin de ce chapitre apr`es avoir introduit du mat´eriel combinatoire. 2.1.3 Big`ebre On introduit `a pr´esent la notion de big`ebre. De mani`ere informelle, une big`ebre est un k espace vectoriel dot´e `a la fois d’une structure d’alg`ebre et d’une structure cog`ebre, ainsi que des r`egles de compatibilit´es requises entre ces deux structures. D´efinition [big`ebre] : Soit (H,m,µ) une alg`ebre et (H,∆,ǫ) une cog`ebre (avec H un k espace vec- toriel). Si ∆ et ǫ sont des morphismes d’alg`ebre alors le quintuplet (H,m,µ,∆,ǫ) forme une big`ebre. Il faut donc que le coproduit ∆ de la big`ebre satisfasse en plus des axiomes habituels l’´equation suivante : ∆(a b)=∆(a) ∆(b), × × aveca,b H eten´ecrivantleproduitdemani`ereinfixeaveccommesymbole ,aulieudel’application ∈ × m. Maxime Rey 9 Sur toute big`ebre on peut d´efinir une graduation de la mani`ere suivante. Rappelons qu’une gradua- tion, qu’on notera γ, est une application de H dans N. Une alg`ebre (H,m,µ) est dite gradu´ee si il existe une graduation telle que : γ(a b)=γ(a)+γ(b) × avec a,b H. ∈ De mˆeme une cog`ebre (H,∆,ǫ) est dite gradu´ee si il existe une graduation telle que, avec a H : ∈ ∆(a)= b c , i i ⊗ i I M∈ on ait : γ(a)=γ(b )+γ(c ), i i pour tout i I. ∈ On donne en suivant la d´efinition d’une big`ebre gradu´ee. D´efinition [big`ebre gradu´ee] : Soit (H,m,µ,∆,ǫ) une big`ebre, si il existe une graduation γ telle quelastructured’alg`ebre(H,m,µ)soitgradu´eepourcettegraduationansiquesastructuredecog`ebre (H,∆,ǫ) pour cette mˆeme graduation γ, alors (H,m,µ,∆,ǫ) est une big`ebre gradu´ee. Pouraborderlesalg`ebresdeHopf,onabesoinnormalementd’introduireunenotionsuppl´ementaire, celle d’antipode. Toutefois en combinatoire toutes les alg`ebres de Hopf sont gradu´ees. Le Th´eor`eme suivant (voir [22] pour la d´emonstration) permet de travailler directement sur des big`ebres gradu´ees. On rappelle au pr´ealable qu’une alg`ebre (de Hopf) gradu´ee est connexe si l’ensemble des ´el´ements de graduation nulle est le corps de base k. Th´eor`eme 2.1.1 Soit (H,m,µ,∆,ǫ) une big`ebre gradu´ee et connexe. Alors c’est une alg`ebre de Hopf (gradu´ee). Par la suite on notera Hi l’ensemble des ´el´ements de l’alg`ebre de Hopf de degr´e i. On peut ainsi ´ecrire : ∞ H = Hi. i=0 M 2.2 La combinatoire et les alg`ebres de Hopf On va d´esormais se pr´eocupper exclusivement des alg`ebres de Hopf combinatoires. Ce type d’alg`ebre n’admet pas encore de d´efinition commun´ement admise, de nombreuses questions ´etant ouvertes. Toutefois une d´efinition suffisament g´en´erique possible que l’on adoptera pour la suite de ce rapport est la suivante : D´efinition [alg`ebre de Hopf combinatoire] : Une alg`ebre de Hopf combinatoire est une alg`ebre de Hopf gradu´ee connexe. 10 Alg`ebres de Hopf combinatoires Concr`etement, les graduations des alg`ebres de Hopf combinatoires comptent des objets combina- toires qui permettent de d´ecrire cette alg`ebre. On commence par introduire le mat´eriel combinatoire et algorithmique n´ecessaire pour la suite. Puis on pr´esente l’alg`ebre associative des fonctions sym´etriques qui est la justification de tout un panel d’alg`ebres de Hopf combinatoires visant `a g´en´eraliser cette alg`ebre associative et on explique partiellement pourquoi. Enfin on donne un exemple d’alg`ebre de Hopf combinatoire qui rentre dans ce cadre : les fonctions quasi-sym´etriques libres. 2.2.1 Combinatoire sous-jacente Pour le reste de cette section 2.2, on consid`ere n N. On introduit tout d’abord les permutations. ∈ D´efinition [permutation] : Soit σ =(σ ,σ ,...,σ ). Alors σ est une permutation de taille n si : 1 2 n i [1..n], σ [1..n], i • ∀ ∈ ∈ i,j [1..n], σ =σ . i j • ∀ ∈ 6 Il est bien bien connu qu’il y a n! permutations de taille n. Muni de la composition, l’ensemble des permutations de longueur n forme un groupe appel´e le groupe sym´etrique que l’on notera S . On n note S l’ensemble d´efini comme suit : S:= S . n n 0 [≥ On peut consulter [23], notamment, pour un ´etat de l’art sur le groupe sym´etrique. D´efinition [descentes] : Soit σ = (σ ,...,σ ) S . On appelle ensemble de descentes de σ 1 n n ∈ l’ensemble D(σ):= i σ >σ , i [1,n 1] . i i+1 { | ∀ ∈ − } Par exemple l’ensemble des descentes de σ =(4,2,1,3,7,6,5,8) est D(σ)= 1,2,5,6 . { } D´efinition [composition] : Soit I = (i ,i ,...,i ), avec k [1..m],i > 0. On dit que I est une 1 2 m k ∀ ∈ composition de n si : m i =n. k k=1 X Par exemple (2,2,1) est une composition de 5 au mˆeme titre que (1,2,2) ou encore (3,2). On liste ci-dessous toutes les compositions pour n=4 : (4),(3,1),(1,3),(2,2),(2,1,1),(1,2,1),(1,1,2),(1,1,1,1). On note qu’il y a 8=24 1 compositions pour n=4. De mani`ere g´en´erale le nombre de compositions − de n est ´egal `a 2n 1. Il existe de nombreuses m´ethodes pour s’en convaincre, on en propose une qui − nous permet d’introduire la notion de repr´esentation graphique d’une composition dont nous aurons besoin par la suite.

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