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UFOmania No 33 2002 06 PDF

28 Pages·2002·6.7 MB·French
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Q JUIN 2002 - Numéro 33 - 4,5 Euros fauut** UfalegUitC À'f**p&t*t**tuw*t Prototype militaire et hypotjjpse UGHJTCRAF: LA foPHE DES [BRI ' !> ste Tti) 9fft0tt0f9 Enfin un livre de John KEEL traduit en français î (Photo : Vickie Landrum) * Les News d'UFOmania # # ^ ^ Etranges tremblements de ciel, par Christian MACE Ç Les OVNis sur le Net Interview spéciale : David DUBOIS, auteur du livre V "Dieu et les extraterrestres" Courrier des lecteurs mure t'Acwine ufoioçioue zeeewe i Page 2 UFOmania n°33 UFOmania est une publication à parution trimestrielle destinée aux lecteurs passionnés par le phéno- mène O.V.N.I et les mystères s'y • M M / % *r"- rapportant. Son objectif principal est de présenter le bilan à carac- tère indépendant des recherches réalisées durant les dernières se- maines. Il traite essentiellement des diverses données recueillies à Retour sur l'affaire Cash-Landrum 4 partir de témoignages ou d'articles de presse en rapport avec le sujet. Les échéances de parutions d'un De la Terre à la Lune... en passant par Houston 6 numéro prévues initialement en mars, juin, septembre et décembre Par Pierre Molinier ne sont données qu'à titre indicatif. Par conséquent, elles peuvent va- rier au gré de l'actualité et/ou en Observations récentes: 7 fonction de certains impératifs de mise en page. Des OVNis dans le ciel du Sri Lanka Responsable de publication lUAi*ÇOrlEZ Etranges tremblements de ciel par Christian Macé 8 siège social Les News d'UFOmania 14 Gayo, St Pierre de Conils 81120 LOMBERS tel: 05 63 79 17 00 Didier Gomez in Toulouse Mag n°9 16 région Normandie Thierry Gamier, CNRU, 41 rue Jacques Prévert La Prophétie des ombres: Enfin un livre de John 17 27600 GAILLON Keel traduit en français, par Michel Granger région Parisienne Pascal Pautrot Les OVNis sur le Net 19 4 rue du Docteur Paquelin 75020 PARIS région Anjou-Pays de la Loire Interview de David Dubois: 21 Laurent Cousseau Dieu et les extraterrestres 44 rue de la Forêt 49600 Le Fief Sauvin région Languedoc-Roussillon Courrier des lecteurs 26 Gilles Hargat 8 rue du Flaviol, 66450 Pollestre Jean-Luc Noguera ABONNEMENT 22 rue des Corbières 66430 BOMPAS Tarifs 2002 Remerciements: Librairie Golden Books, Paco, Boutique France: 18 Euros pour 4 numéros (Mars, Juin, Septembre, Décembre) Chaud Bizz Ness, Pierre Molinier, Jean-Jacques Yvars (Ovni-science), Christian Macé, Pierre Lagrange, Roch Tout règlement par chèque ou mandat à l'ordre de Didier GOMEZ Saùquere, Francine Fouéré, Michel Granger, Frédéric Praud, Bruno Bous- Union Européenne: 22 Euros quet, Jean-Jacques Monéta Autres Pays: 30 Euros NOTA: Tout article signé et publié Money international order only n'engage que la seule responsabilité de l'auteur et ne signifie pas que la rédac- Merci d'indiquer à partir de quel numéro tion l'approuve dans sa totalité. doit débuter votre abonnement. Nos couvertures: NOTA BENE: Sans mention de votre part, l'abonnement débute, Conception graphique Pascal Pautrot, © Juin 2002 dès réception de votre règlement, avec l'envoi du dernier numéro paru. UFOmania n°33 Page 3 ltor^~ La remarque la plus Intrigante que l'on puisse faire sur les OVNI, est leur aspect rudimentaire et parfois grotesque et qui paraît être d'une simplicité aérodynamique déconcertante. Pourtant ces engins sont conçus pour effectuer des manœuvres dépassant de très loin ce que nos ingénieurs électroni- ciens sont capables d'imaginer et de concevoir pour nos propres aéronefs. [...] Les manœuvres incroyables et la dématérialisation dont ils semblent être capables ne pourraient-elles pas être, après tout, qu'un simple échantillon de leurs possibilités ? Jean-Claude Sldoun, « Etude et réflexions sur les O.V.N.I et leurs occupants », La pensée Universelle, 1980 N ous revenons ce trimestre sur un cas En effet, en marge de notre besogne quoti- précis, l'affaire dite Cash/Landrum du dienne, nous préparons dans l'ombre différents nom des deux principales protagonis- travaux que nous ne pouvons pas encore dévoi- tes. D'une part, parce que ce cas sur- ler, et qui devraient trouver leur concrétisation venu le 29 décembre 1980 implique à n'en pas d'ici la fin de l'année. douter une participation militaire US et d'autre part parce qu'elle rétablit, vingt ans plus tard, Nous sommes toujours à la recherche d'un une certaine idée de ce qui a pu se passer, loin diffuseur national pour notre Cd-Rom sorti en fé- de certaines hypothèses farfelues. vrier 2002 dont beaucoup parmi ceux qui ont pu le visionner en disent le plus grand bien mais Les conclusions que l'on doit en tirer pour- qui, aussi étrange que le phénomène OVNI veut ront éventuellement faire l'objet d'une discussion bien le laisser paraître, ne semble finalement pas passionnée entre les lecteurs. intéresser grand monde. Mais après tout, le pro- duit existe désormais et c'est bien là l'essentiel. Au vu de certaines révélations, notamment le projet Lightcraft, nous sommes donc en droit de S'il est vrai que trop d'info tue l'info elle- nous poser certaines questions concernant le de- même, j'espère humblement que tous les espoirs gré d'implication de certains services gouverne- que nous nourrissons chaque jour pour promou- mentaux et/ou militaires dans les manifestations voir l'ufologie à travers cette publication trimes- OVNis. Et s'il reste d'actualité que ce qui dirige trielle sont à la hauteur du travail fourni. Parallè- ces phénomènes, est le fruit d'une vraie intelli- lement à la sortie papier du bulletin nous som- gence, il n'en demeure pas moins qu'une origine mes en train de mettre en place toute une struc- simplement humaine peut avoir fait l'objet dans ture dont j'ai déjà longuement exposé les nom- certains cas des élucubrations les plus folles à breuses ramifications au travers de mes écrits commencer par des explications par l'HET bien précédents. que nous n'excluons pas cette éventualité. Un de ces projets qui me tenaient particuliè- Sans vouloir faire passer pour autant des rement à cœur, la mise en place effective d'un vessies pour des lanternes, je crois important de site en ligne à part entière, vient de trouver pre- rappeler certains principes fondamentaux à com- neur en la personne de Frédéric Praud— mencer par la divulgation des données circulant studiovni—qui fait désormais partie de la maison. au sein du milieu ufologique. Grâce à son concours, UFOmania va désor- En neuf ans, UFOmania n'avait jamais abordé mais pouvoir afficher de nouvelles prétentions, cette affaire auparavant qui laisse malgré tout en se faire connaître encore davantage et participer suspens bien des interrogations. Hormis ce cas, activement à une meilleure divulgation de l'infor- très connu de la littérature ufologique, nous mation. Nous nous organisons chaque jour un avons axé notre numéro sur la réflexion, en at- peu plus sur des bases désormais solides mais tendant que l'activité reprenne... et nos efforts sachez que votre aide est plus que jamais pré- sur l'action. cieuse. La rédaction Page 4 UFOmania n°33 L AFFAIRE CAUI/LANBRUM 29 DÉCEMBRE 1980 OVNI OU PROTOTYPE MllITAIRE ULTRA «ECRIT ? N ous avons choisi de revenir ce tri- mestre sur un cas fort connu en ufologie. Très sujet à controverses, en raison notamment d'une multi- tude d'hélicoptères noirs observés à proximité de « l'engin », ce cas pourrait masquer l'exis- tence de projets militaires dont l'armée US pourrait avoir caché l'existence jusqu'à la fin de l'année 1999, date à laquelle elle a ouverte- ment dévoilé l'existence du projet Starlight dont nous allons aborder les grandes lignes. Mais avant tout, remettons-nous dans le bain Représentation artistique trouvée sur le Net mettant de cette affaire .... en scène l'engin observé par Betty Cash et Vickie Landrum le 29 décembre 1980 Dans la soirée du 29 décembre 1980, après un dîner dans un restaurant de New Caney (Texas), Betty Cash, 60 ans, Vickie Landrum, 50 ans, et son petit-fils Colby, prennent leur voiture pour rentrer chez eux. Ils empruntent la nationale FM 1485, qui traverse une forêt de chênes et de pins près de Huffman (Texas), une route isolée en direction des faubourgs de Houston. Brusquement, au détour d'un virage, le jeune Colby, âgé de 7 ans, commence à s'agi- ter en désignant un point lumineux dans le ciel. Surprises, les deux femmes regardent à leur tour et aperçoivent un point lumineux qui se rapproche pour finalement prendre l'apparence d'un appareil en forme de losange. Celui-ci descend à mi-hauteur des arbres, à la verticale de la route. Un cône de feu émerge du bas du vaisseau et empêche tout passage, comme le ferait le réacteur d'une fusée. La lumière émanant du mystérieux objet, qui n'est plus maintenant qu'à 60 m environ est si brillante qu'elle en éclaire la forêt aux alentours. Betty Cash arrête la voiture ; les 3 occupants en descendent rapidement. Une fois à l'extérieur, ils éprouvent une incroyable sensation de chaleur. Effrayée, Vickie Landrum remonte en voiture avec Colby, tandis que Betty continue à fixer l'objet brillant, sans prêter attention à la chaleur intense qui lui brûle la peau, ni à la lu- mière qui lui blesse les yeux. Il faudra que l'objet s'éloigne pour que Betty réponde aux suppli- cations de Vickie et remonte en voiture. Mais en ouvrant la portière, elle se brûle la main sur la poignée chauffée à blanc. Soudainement, tandis qu'ils observent l'appareil qui s'éloigne dans la nuit, une vingtaine d'hélicoptères noirs pénètrent dans leur champ de vision. Il sera in- diqué plus tard qu'il s'agissait de 23 hélicoptères Chinook CH-45 à 2 rotors. Les hélicoptères suivent l'étrange objet. Cash et Landrum suivent encore la route sur environ 2 km. Mais lors- qu'ils croisent la route nationale, ils décident de suivre cette direction ; c'est celle qu'ont égale- ment empruntée l'appareil et la flotte d'hélicoptères noirs. Soudain, l'un d'entre eux passe juste au-dessus du capot de la voiture dans un bruit assourdissant. Elles bifurquent finalement en direction de Dayton, leur lieu de résidence, laissant l'étrange escorte derrière elles. Les faits sont corroborés par d'autres habitants de la banlieue de Houston, qui indiquent avoir aperçu, lors de cette même nuit, des lumières brillantes et un ballet d'hélicoptères dans le ciel. Au cours des 3 jours qui suivent l'incident, l'état de Betty Cash se détériore si vite qu'elle est ad- mise aux urgences dans un hôpital des environs. Les premiers symptômes sont des brûlures. Mais lors de son séjour dans cet hôpital, Betty ne confie à personne sa rencontre avec l'ovni, UFOmania n°33 Page 5 et le personnel médical la considère comme une victime de brûlures classiques. Betty souffre aussi de vomissements et de diarrhées, et surtout de graves troubles de la vue, ses yeux sont si enflés qu'elle reste aveugle pendant une semaine. Des cloques se forment sur son cuir cheve- lu ; elle perd ses cheveux. Vickie Landrum et son petit-fils sont sujets à des symptômes simi- laires, mais à un degré moindre. Tous les deux ont les yeux enflés et la peau couverte de "coups de soleil". Ils souffrent, comme Betty, de vomissements et de diarrhées. Au bout de quelques mois, Betty Cash et Vickie Landrum font appel à Peter Gersten, un avo- cat s'étant déjà illustré dans plusieurs affaires d'ovnis où il avait démontré que le gouverne- ment américain avait des responsabilités. La thèse de l'accusation menée contre le gouverne- ment est alors la suivante : le vaisseau aperçu par les 2 femmes n'est pas d'origine extraterres- tre, mais appartient à l'USAF. Gersten exige pour ses clientes des dommages et intérêts d'éle- vant à 20 millions de dollars, au titre des préjudices subis (soins hospitaliers divers, notam- ment pour le traitement de cancers présentés comme issus des radiations reçues lors de l'inci- dent). Cependant cette action en justice s'avère longue, exténuante, et finalement vaine. Les représentants de tous les organes officiels démontrent à la justice l'absence d'implication de l'armée américaine, quel que soit le scénario envisagé. Quoi qu'il en soit, et en dépit de la plainte de Cash et Landrum, aucune enquête officielle n'aura jamais lieu. Le procès se tient en 1986, où les représentants de l'USAF et de la NASA indiquent ne possé- der aucun appareil susceptible de causer ce genre d'empoisonnement aux radiations (exposition aux ultraviolets, micro-ondes et rayons X), auquel on attribue la responsabilité de cancer déclaré chez les victimes. Aucune des personnes ayant pu observer l'appareil, y com- pris les 2 victimes, ne sont autorisées à témoigner. Les plaignants sont déboutés, parce que n'apportant pas la preuve de l'appartenance de "l'ovni" au gouvernement américain. Depuis, l'affaire s'est perdue dans les méandres des administrations de l'armée et de la justice. Ce fias- co juridique discrédite Cash et Landrum aux yeux de l'opinion publique. John Schuessler, ingénieur en aérospatiale chez à Boeing à Houston, a consacré plusieurs an- nées à enquêter sur l'affaire Cash-Landrum. Il en est sorti un ouvrage (non-traduit en français) dans lequel Schuessler propose l'hypothèse suivante : les hélicoptères appartenaient à des uni- tés militaires basées à Fort Hood (Waco, Texas) ou bien provenaient d'un porte-avions ancré dans le golfe du Mexique à cette époque. La flotte de Chinook CH-45 ne faisant que surveiller l'ovni. Les extraterrestres seraient en grand nombre sur terre, et si le gouvernement américain est bien en contact avec eux, il ne peut les empêcher d'aller et venir à leur guise sur notre pla- nète. Les extraterrestres ne seraient pas ici pour nous détruire, mais pour exploiter nos res- sources. Les américains ne pourraient alors pas faire grand-chose, à part surveiller leurs sor- ties et compiler des statistiques. Ce compromis forcé servirait de toile de fond à l'affaire Cash- Landrum. Pour étayer sa thèse, Schuessler a tenté de joindre des responsables du gouverne- ment américain, en vain. Finalement, un pilote d'hélicoptère se présenta à lui pour lui donner des détails sur ce qui s'était passé cette nuit-là, mais ensuite il se rétracta. Ce cas, connu au- jourd'hui comme le Cash/Landrum, est suspecté d'avoir eu lieu dans le contexte du projet Re- dlight, notamment en raison de la présence d'hélicoptères accompagnant l'ovni. Bibliographie: • The Ufo Encyclopedia, Jérôme Clark, Omnigraphics, 1998. • The Cash-Landrum UFO incident, John F. Schuessler, 1985 • « Cash-Landrum UFO Case File: The issue of Government Responsabili- ty », John F. Schuessler in MUFON 1986 UFO Symposium Proceedings. • S/fe internet: http://www.RRO.org Page 6 UFOmania n°33 Dï LA TIRRIA LA LUNI... IN PAMANT PAR HOU JTON ! PAR Pif BRI MOLINIER En 1997, suite aux pressions de plus en plus massives de la part des associa- tions pour lever les secrets gouvernementaux et afin de justifier les milliards de dol- lars investit dans la défense, l'armée américaine rendit publique massivement le pro- jet baptisé « lightcraft » ou vaisseau de lumière. Ce projet, dont le concept fut initia- lement inventé dix ans plus tôt en 1987 par le professeur Leïk Myrabo, consiste à bombarder d'impulsions laser l'arrière-train d'une toupie, (dessin ci-contre). Totale- ment révolutionnaire, ce concept ne verra le jour réellement en grandeur nature qu'en 2025. Médiatisé comme jamais aucun autre projet secret, le lightcraft a bénéficié d'une présentation publique, les vidéos de ses essais sont disponibles sur le net et toutes les photos ou illustrations ont été diffusées dans les journaux spécialisés. Ce changement d'attitude de la part des autorités militaires américaines laisse songeur, en effet, la plupart des technologies devant être opérationnelles seulement d'ici 20 ans sont généralement gardées confidentielles, dans le but de conserver l'avance technologique de la nation et d'empêcher d'autres nations de devancer cette avance et de remporter les marchés économiques. Il serait donc fortement présomptueux de sous-estimer les diri- geants militaires et les directions qu'ils choisissent d'emprunter car finalement ce sont eux qui ont accès à la connaissance la plus avancée dans tous les domaines. Ce projet est présenté aux yeux de tous comme la solution miraculeuse qui va faire baisser les coûts de mise en orbite et proposer au plus grand nombre les joies de la com- munication par satellite. Néanmoins, ce projet qui semble être sans reproche soulève toute une série de questions quant à sa chrono- logie réelle... En effet, il semblerait que l'un des cas le plus troublant de vision d'un ovni ait, avec la révélation du projet lightcraft, trouvé sa solution ; Replongeons-nous le cas Cash/Landrum. Il s'est produit le 29 décembre 1980 et a fait l'objet d'enquêtes très approfondies. Au-delà de l'observation elle-même intéressons-nous aux nom- breux effets indésirables qui se firent sentir chez les témoins après leur rencontre fantastique : diarrhées, vomisse- ments, pertes de cheveux importantes sans oublier la brûlure de Betty Cash alors qu'elle mettait la main sur la portière devenu incandescente du véhicule... L'affaire ne s'arrête pas là puisque les trois témoins ont intenté un procès au gouvernement américain pour avoir risquer la vie de citoyens lors d'essais secrets, procès que les trois victimes perdirent en 1987 après que les avocats militaires aient réussis à ce que les trois témoignages ne soient pas pris en compte comme pièces au dossier. Non seulement, l'armée américaine a tout fait pour entériner cette affaire mais il semblerait en outre, qu'elle aie une fois de plus menti sur la véritable année de conception du lightcraft. Imaginons un instant, qu'un lightcraft grandeur nature ait été opérationnel en 1980 et qui expliquerait par conséquent le cas Cash/Landrum, cela signifierait donc que certains projets secrets pourraient avoir 40 ou 50 ans d'avance sur le programme offi- ciel, considérant que la finalité de projet lightcraft est prévu pour l'horizon 2025. Passionné par le phénomène OVNI depuis une dizaine d'années, Didier Go- mez vous propose de découvrir le résultat de ses propres recherches et vous livre ses conclusions, au risque de vous surprendre. C"est en tant que spécialiste avisé de la question qu'il répond en toute objectivité à l'attente de bien des personnes qui ont eu la chance d'observer un phénomène insolite durant la soirée du 5 novembre 1990. Disposant de données recueillies directement sur le terrain, l'auteur nous expose de multiples cas du département de l'Eure, en prenant soin de démasquer les contradictions de la thèse officielle. En fin d'ouvrage, l'auteur évoque des tentatives d'explications... non conventionnelles. Un important document d'étude dont chacun doit se faire l'écho, pour aider à une meilleure compréhension de ces phénomènes qui demeurent encore aujourd'hui, toujours non identifiés. L'EURE DES OVNIS le livre, disponible directement chez l'auteur au prix de 19,80 euros frais d'envoi compris ufomania%ifrance.com OVNIS DANS L'EURE le CD-ROM, disponible chez Artcastle Produc- tions, Pascal Pautrot, 4 rue du Docteur Paquelin, 75020 Paris tel: 01 43 61 35 90 [email protected] UFOmania n°33 Page 7 / * * \ ^f T ^6v T^", Un article original est paru sur le site web du journal Daily News du Sri Lanka en date du 4 juillet 2002, à l'adresse suivante: www.dailynews.lh/2002/07/04/newl9.html. Sous le titre "Encore une augmentation des observations de soucoupes volantes?" la page web du journal indique que des centaines de personnes ont vu des phénomènes OVNI au-dessus du Sri Lanka selon le professeur Chanda- na Jayaratne de l'Université de Colombo qui a étudié les observations. Plusieurs observations d'OVNIS ont été rapportés de diverses régions du Sri Lanka au cours des dernières semai- nes, et Jayaratne déclare que "ces observations ont été confirmés par un groupe d'observateurs qualifiés, " lors d'une conférence de presse tenue à l'Université de Colombo. "Un des observateurs, Sanjeeva Bandara, a même écrit des ouvrages sur les OVNIS. " Un autre observateur dont le nom n'est pas donné a dit que "plus de 100 villageois ont vu l'OVNI, " et "d'une ma- nière générale nous ne pouvons pas considérer ces histoires comme étant inventées. Nous avons campé près du Pa- rakrama Samudra le 15 Juin. Nous n'avons rien vu notre premier jour mais le deuxième jour autour de 23 h 30 nous avons vu une lumière bleue blanche. Le faisceau lumineux est tellement différent de n'importe quel autre fais- ceau lumineux que nous ayions vu avant. Les faisceaux lumineux étaient en rotation, ont soudainement disparus et sont réapparus quelques secondes plus lard à partir d'un endroit à 300 ou 400 mètres de distance de l'endroit où ils étaient au début. Quelques secondes plus tard il a encore disparu. Nous campons près du Parakrama Samu- draya. IM jungle dense s'étend au loin et le faisceau lumineux est venu de la jungle. Par conséquent, nous ne pou- vions pas y aller pour l'étudier. D'après nos investigations préliminaires il s'avère être un objet capable d'émettre un faisceau de lumière intense en forme de V. Les villageois comprenant un étudiant de haut niveau nous ont dit que l'objet volant est capable de se déplacer à une vitesse très élevée et quand il voyage à une faible hauteur et qu'il émettait un son semblable à un bourdonnement d'abeille. Et il pouvait changer de direction pour éviter de se heurter aux arbres. Pendant trois jours consécutifs nous avons observé le même OVNI. " Des observateurs confirment les compte-rendus d'OVNIs à Sri Lanka Jeudi, 4 juillet 2002—Des scientifiques au Sri Lanka disent que les compte-rendus d'observations d'OVNIs par des villageois se confirment par une équipe d'observateurs. Des centaines de personnes au centre nord du Sri Lan- ka ont rapporté avoir vu une lumière bleue-blanche plusieurs fois ces dernières semaines. Une mystérieuse boule bleue fut aperçue, pour la première fois, au-dessus des ruines historiques de Dimbulagala, qui datent du premier siècle après JC. Le Professeur Chandana Jayaratne, un astrophysicien de l'University of Colombo, dit maintenant qu'une équipe qui a voyagé dans la région, a vu l'OVNI durant trois jours. Ils disent que le faisceau de lumière, en forme de V, semble voyager rapidement entre chaque endroit, et émet un son similaire à celui d'une abeille. source : htlp:www.ananova. com/news story/sm 622244. html Merci à Sophy Fortin pour l'info et la traduction française de ce rapport. Note de la rédaction d'UFOmania; Voilà le genre d'info que l'on retrouve chaque jour ou pres- que sur des sites performants comme ovni-science. ufocotn, ataraxie ou encore les ovnis vus de près qui diffusent des actualités en temps réel. La preuve encore une fois, que l'activité ufologique en tant que telle existe vraiment. Les réseaux s'organisent en conséquence pour permettre aux en- quêteurs et aux passionnés d'accroître leurs archives personnelles... Et c'est là qu'UFOmania a be- soin de vous ! Il convient de vérifier cette information auprès de l'ambassade sri lankaise en pre- mier lieu, auprès du journal Daily News et auprès d'ufologues locaux etc.. Voilà tout le travail à fourni encore derrière la lecture d'UFOmania de sorte à confirmer ou non ce type d'informations. C'est à ce prix que le recherche ufologique en sortira grandit, en compilant sans cesse de nouveaux cas exploitables et dont la réalité ne souffre aucun doute. Nous n'avons hélas pas le temps d'effec- tuer en plus du travail rédactionnel, du secrétariat etc.. ce genre de recherches. Nous savons qu'elle est pourtant fondamentale et appelons par conséquent toutes les bonnes volontés à vouloir participer à leur manière à cette grande quête qui consiste à vérifier et à diffuser la nouvelle. Page 8 UFOmania n°33 ETRANGES TREMBLEMENTS DE CIEL, Par Christian MACE Nous allons ouvrir cet étonnant dossier des Phé- Enfin, la VIBRATION des fenêtres était pareille à celle nomènes de détonations vibratoires et autres, que l'on observe dans les maisons au voisinage desquelles ont lieu de fortes décharges d'artillerie. Il y eut quelques survenus aux quatre coins du Globe. Faîtes at- exagérations, comme l'annonce de tremblements de murail- tention, vous aussi vous pouvez en être les té- les. A l'usine de gaz de Dijon, couverte par un faîte orienté moins ! NNO à SSE environ, les ouvriers ont entendu une détonation en un seul point de la partie nord du toit. Ces manifestations étranges ne datent pas d'aujourd'hui. La halle des fourneaux fut aussitôt remplie de poussière, La revue spécialisée sur les OVNI, « Lumières Dans et les ouvriers assurent que le versant sud du toit n 'a éprou- IM Nuit », dans son numéro 344 (mars-avril 1997), nous dit vé aucune commotion. Cette remarque concorde avec l'ob- ceci aux pages 23-24 : servation de M. Perrey, qui assure que les fenêtres situées au Midi n'ont eu aucune secousse. Les journaux de la Côte « Un bruit extraordinaire, le 6 juin 1850 » d'Or ont cité des aérolithes tombées dans le département, à Assouy, Larey, mais la lettre de M. Perrey, au 18 juin, af- Condensé de la note portant sur un bruit extraordinaire firme que de cela, rien n 'est certain. » entendu le 6 juin 1850, présenté par M. Clément Mullet, membre résident de la Société d'Agriculture de l'Aube, re- En résumé, une violente explosion dans l'atmosphère cueilli dans la seconde partie du volume 15, années 1849- avec des secousses violentes (VIBRATION des croisées des 1850, édité par ladite Académie : fenêtres et mouvements de porte close). Cause indéterminée, excluant le tremblement de terre et les bruits souterrains. Le 6 juin 1850, vers 11 H 30, l'atmosphère étant en très Reste le phénomène météorologique de haute ou moyenne grande partie remplie de nuages, du genre cumulo-nimbus, atmosphère, mais il n'y eut pas d'orage. De même, la chute un bruit extraordinaire se fit entendre. Personne ne fut d'ac- d'un aérolithe est écartée à Dijon, le rapport des ouvriers in- cord pour dire où et comment ce bruit éclata, ni combien de diquant que le toit n'était « ni percé ni bossue ». temps il dura. « Quant à moi (c 'est l'auteur du rapport qui s'exprime), j'ai entendu une explosion très forte, suivie d'un Des personnes ont rapporté avoir senti « un fluide électri- roulement qui se prolongea pendant quelques minutes. Je que » lors de la détonation au-dessus de Dijon, mais M. Per- crus à un coup de tonnerre, puis le roulement prolongé me rey doute de la bonne foi de ces personnes dans ce cas pré- fit croire au bruit d'une voiture de poste, parce que je n'é- cis. Le foyer de la détonation se situerait au nord-ouest de tais pas loin de la grande route. Maisj 'eus beau regarder, je Dijon et au sud-est de Troyes. C'est donc en un point d'une ne vis point de voiture. D'autres personnes disent avoir en- droite Dijon-Troyes, plus près de Troyes, qu'il faut chercher tendu plusieurs détonations successives et consécutives. Ce l'origine de l'explosion. Celle-ci fut entendue à Semur, qui est certain, c 'est que le bruit fut entendu dans des locali- TONNERRE, Chalon-sur-Sâone, Maçon, Besançon, Genève, tés fort distantes. Les hypothèses les plus diverses circulè- Sommefontaine (il faut lire : Sexfontaine. Sans doute un lap- rent. Les uns attribuaient ce bruit à la chute d'une monta- sus), à 16 kms au nord de Chaumont par le père de M. Perrey gne, d'autres à la chute d'un aérolithe, le plus grand nombre qui, la veille au soir, avait vu un GLOBE DE FEU brillant à l'explosion d'une poudrière. dans la direction sud-ouest. On a signalé ce même phéno- mène dans l'Aube. Les journaux n 'en parlèrent point, ni ceux de Paris, ni ceux du département (à la connaissance du rédacteur de ce Il a déjà été mentionné de semblables bruits comme dans rapport). Il est rapporté que ce fut dans les bois que le phé- les Mémoires historiques et physiques sur les tremblements nomène fut le plus retentissant. Pourtant, personne ne dit de terre, page 88, de M. Bertrand, le 20.11.1716 à Val-Ruz avoir senti la terre frémir, ni trembler. Ayant entendu dire (Neufchatel, Suisse) qui rapporte que ce jour-là, on entendit qu 'un journal annonçait la chute d'un aérolithe sur le Mont un grand bruit dans l'air pendant 7 à 8 minutes. Afrique, je crus devoir m'adresser à M. Alexis Perrey, pro- fesseur de Physique à Dijon. Le 13 juin, il me répondit que Dans son numéro 313, cette même revue spécialisée le bruit fut entendu aussi bien en Côte d'Or que dans l'Aube, « Lumières dans la nuit », nous fait part d'un autre phéno- qu 'il lui semblait que c 'était là l'effet d'une explosion ayant mène similaire à la page 23, citation: eu lieu du côté de l'ouest ou du nord-ouest. Elle eut son siège dans une région très élevée de l'atmosphère ou se rap- Panique à Madrid : 10 février 1896. prochant du zénith. Pour moi, elle m'a semblé provenir, à peu près, de la direction sud-sud-ouest, ayant son siège dans L'anomalie que voici est peut-être plus surprenante en- la région moyenne de l'atmosphère. Une circonstance fort core. C'est Serge Sorinas qui a relevé dans le « Bulletin de la remarquable, c 'est que l on a entendu à Dijon les fenêtres Société Géologique de France », de 1896, p. 117, le récit par VIBRER. La porte du cabinet de notre collègue a frappé, Salvador Calderas de « l'explosion d'un bolide à Madrid ». quoique fermée, trois ou quatre fois contre le chambranle. UFOmania n°33 Page 9 « 10 février 1896. A 9 h 29 mn 30 s du matin, sous un soleil ticulier chez Fray Bartoloméo de Las Casas. Les Espagnols, splendide et un ciel tout à fait clair, les habitants de Madrid incapables d'expliquer les formidables explosions qui se pro- furent surpris tout-à-coup par un éclat blanc bleuâtre beau- duisaient dans la vallée de Mabuya des aborigènes, donnè- coup plus vif qu'un éclair, qui assombrit les surfaces éclai- rent ce nom au phénomène. » Ouvrage paru aux éd. Ro- rées par le jour et pénétra dans l'intérieur des logements. Si bert Laffont, en 1981.Mystérieuse vallée de Mabuya sur l'île l'événement avait eu lieu pendant la nuit, l'effet aurait été de Cuba, où se produisent toutes sortes d'apparitions insoli- éblouissant et aveuglant tes : présences répétées d'OVNI, traces au sol, disparitions d'avions... étranges détonations ! Une minute et quelques secondes après l'éclair, on enten- dit une EXPLOSION ASSOURDISSANTE, comme un for- Feu Jacques Bergier cite également d'autres cas dans son midable coup de canon, et ensuite pendant trois minutes une livre «Visapour une autre Terre», éd. J'ai Lu, sorti en 1977, SERIE DE BOURDONNEMENTS, bien différents de ceux pages 72 et 73. du tonnerre par leur sécheresse et leur intensité plus grande, et rappelant le bruit d'un boulet de canon roulant sur un par- Le 12 avril 1857 à San Gabriel, en Californie. L'explo- quet en bois. Les vitres et les cloisons tremblèrent alors vio- sion laissa un trou d'un mètre de profondeur dans la cour lemment, et on dit que dans quelques maisons les vitres ont d'une maison habitée par une famille Murphy. été brisées. En 1927 dans l'Ohio. Des explosions ont duré jusqu'en L'effroi devint général et indescriptible; tout le monde se janvier 1928 ! précipita dans les rues et l'agglomération des ouvrières dans les escaliers et portes de sortie produisit beaucoup de bles- La déflagration du 12 décembre 1951 à Dallas, dans le sés. Dans ce moment presque tout le monde croyait éprouver Texas, où plus tard le Président Kennedy fut assassiné. L'ex- les secousses d'un tremblement de terre. On parle de plu- plosion a démoli des vitres et des automobilistes ont dit que sieurs victimes dans la campagne, ce qui heureusement n'a leurs voitures ont été très fortement secouées. La police lo- pas été confirmé. cale et le FBI ont fait une enquête très poussée. Aucune ex- plication n'a été fournie à ce jour... A la suite de l'éclair, on vit par le sud-ouest et à une hau- teur de 35° sur l'horizon un NUAGE FONCE mesurant 6° Dans son autre ouvrage « Les Extra-Terrestres dans de longueur par 1° de largeur, de forme SEMI- l'Histoire », Editions « J'ai Lu » n° A 250, paru en 1970, feu CIRCULAIRE et avec la CONVEXITE vers l'est. Près du Jacques Bergier évoque en pages 179-180 une affaire d'OV- sommet de cette COURBE se présentait une partie plus fon- NI liée à des bangs supersoniques ! cée, d'un violet obscur, qui se prolongeait de deux côtés en forme de CYLINDRES foncés, avec des bords irisés sous la Cela s'est déroulé dans la nuit du 09 février 1913, et ces lumière du soleil ; de ceux-ci sortaient dans toutes les direc- objets seraient venus du Canada, et ont survolé les Bermu- tions des rafales plus claires, jusqu'à devenir blanchâtres des, le Brésil, puis l'Afrique... dans les parties plus minces. Toutes ces couleurs étaient au commencement d'une grande intensité. Les personnes qui Extraits : « Dans la nuit du 9 février 1913, d'étranges assistèrent au phénomène en plein air assurent que le specta- objets sont entrés dans notre atmosphère. Ils n 'ont pas ex- cle était magnifique et incomparable ». plosé comme celui de 1908. Ils ne sont pas tombés comme l'auraient fait des météorites. ILS SONT REPARTIS. Leur A la suite de ces infos, cette revue « Lumières dans la existence ne fait aucun doute. Si les premières observations nuit » n° 313, même page 23 commente : ont été faites par des fermiers et des astronomes amateurs, les suivantes l'ont été par des astronomes professionnels, « Etrange description ! Se rapporte-t-elle réellement à comme le professeur C. A. Chant, de l'Université de Toron- « l'explosion d'un bolide » ? Elle est en tout cas, d'une pré- to. Pendant plus de trois minutes, il a observé des corps lu- cision remarquable. Il ne manque guère ici qu'un croquis, mineux voyageant EN GROUPE. Par exemple, un premier qui nous expliquerait comment un « demi-cercle » peut me- groupe de quatre objets suivi par un groupe de trois, puis surer 6° dans une dimension, et un seul dans l'autre. par un groupe de deux. Certains de ces objets volaient suffi- samment bas pour provoquer dans l atmosphère dense des On imagine mal comment un tel phénomène n'aurait pas BANGS tout à fait comparables à ceux que produisent les laissé d'autres traces écrites, notamment dans les chroniques avions supersoniques. Leur vol était apparemment horizon- locales. Il y a là, manifestement, matière à recherches d'ar- tal et leur vitesse relativement faible, bien inférieure à celle chives ». Fin de citation... des météorites qui se comptent en kilomètre-seconde. Dans son remarquable ouvrage intitulé «Le Triangle des Un autre astronome professionnel, W. F. Denning, écrivit Perturbations», Andres Alfaya, ancien des services secrets dans le journal de la « Société Royale Astronomique du Ca- cubains, mentionne l'existence de tels phénomènes... depuis nada » : « C'était dans le ciel comme un train express, dont la conquête espagnole à Cuba ! les fenêtres sont illuminées la nuit par des projecteurs à l'in- térieur. Je n'ai rien vu de pareil en quarante-huit ans d'études Page 198 : « Les premiers renseignements que l'on peut astronomiques. » trouver à propos de ce «canon de l'Indien» se trouvent dans les chroniques des premiers découvreurs de l'Amérique qui Des observations faites à bord d'un navire permettent de sont arrivés en même temps que Christophe Colomb, en par- préciser que, venus du Canada, les objets ont survolé les Page 10 UFOmania n°33 Dans son «Hypothèse sur le fonctionnement des Soucou- préciser la nature, avait traversé le ciel de Madagascar et pes Volantes», le lieutenant Jean Plantier relatait l'explosion était probablement tombé dans l'est de l'île. Le premier mystérieuse qui ébranla la région de Glancove, près de New- « BANG », à 18 h 21, locales, se serait produit à l'arrivée de York, en octobre 1952. Voir page 92 du livre de Henry Dur- cet « objet » dans l'atmosphère, et le second, à 18 h 58, lors- rant «Les Dossiers des OVNI», paru aux éd. Robert Laffont, que celui-ci se serait disloqué. La défaillance d'un appareil en 1973. de mesure empêchait d'en savoir plus... A Madagascar, au- cun cratère n'a pu être découvert et aucune trace de l'objet Explosion extraordinaire enregistrée le 6 février 1955 à qui a explosé ne fut retrouvée. Grymouth, vers 10 h du matin, en Nouvelle-Zélande... pen- dant que l'on voyait un «point lumineux» dans le ciel ! Page Les habitants de N'Djamena, de Krim-Krim et de Beina- 221 de «Les 12 mystérieux Triangles de la mort, des Bermu- mar ont été intrigués, certains terrorisés, par des phénomènes des au Japon», par A. Ribera, éd. De Vecchi, 1978. inhabituels apparus au-dessus de ces localités dans la nuit du 7 au 8 septembre (note de Christian Macé : année 1977). Au soir du 15 septembre 1962, cinq garçons virent un disque toucher la surface des eaux du réservoir d'Oradell, A N'Djamena, un objet lumineux semblable à une étoile dans le New-Jersey ; apparition suivie plus tard d'un bruit filante a traversé le ciel du Nord au Sud, vers 20 heures. Cet d'explosion ! Pages 240-241, du livre de Henri Bordeleau objet, d'aspect nébuleux, semblait se désintégrer en avan- «J'ai percé le mystère des soucoupes volantes», éd. Société çant. Les témoins oculaires avaient l'impression qu'il volait Nefer Enregistrée, 1970. lentement et à basse altitude. A un moment de son trajet, l'objet leur a donné l'impression qu'il grandissait, comme Nuit du 23 au 24 janvier 1974, des centaines d'habitants par explosion, puis il s'est lancé plus rapidement, suivi d'une du Nord du Pays de Galles, sont réveillés par le bruit sourd très longue traînée lumineuse. d'une très violente explosion ! Des traînées lumineuses ont été aperçues dans le ciel, au large des côtes du Somerset et Dans la MEME NUIT, à 21 heures, au poste administratif du Pays de Galles. Tiré du journal «Le Parisien», du vendre- de Krim-Krim (à 400 km de N'Djamena à vol d'oiseau), 12 di 25 janvier 1974. DETONATIONS successives ont été entendues, accompa- gnées d'éclairs. Selon la gendarmerie, ces DETONATIONS Mardi soir, vers 22 heures, du 11 mars 1975, des explo- s'étaient produites à basse altitude et ressemblaient à des sions en série entendues par les habitants de la Seine-Saint- feux d'artifice. Denis, du Val de Marne, de la Seine et Marne et l'Essonne. Dans ce dernier département, à Corbeil-Essonnes, j'ai Elles ont traversé la localité du Nord au Sud et ont dispa- été personnellement témoin de très fortes détonations, au ru après un instant. La gendarmerie a noté qu'aucun avion nombre de trois lit Un témoin situé sur la hauteur du pla- n'a survolé la localité ni avant ni après les détonations. teau de Villabé, limitrophe de Corbeil-Essonnes, m'avait affirmé avoir aperçu des «lueurs rouges» à ce moment-là.. La brigade de gendarmerie de Beinamar (proche de Krim-Krim) signale que la MEME NUIT, vers 22 h 30, la Le journal «France-Soir» du jeudi 13 mars 1975 relate ville a été survolée à 4 reprises par 11 lumières « en forme de ces explosions dans la région parisienne. mirage », allant du Nord au Sud. Ces lumières étaient pas- sées en silence et l'une d'elles est revenue vers le Nord avant En novembre et décembre 1976, des explosions et des de disparaître (ATP). VIBRATIONS puissantes entendues par les habitants de l'Ouest du Pays de Galles, en particulier la région du Canal Nota : Cet article nous est communiqué par un lecteur, de Bristol. En général, cela se produisait vers 21 heures, lui-même témoin cette nuit-là à N'Djamena, il nous ajoute mais aussi 18 h 20, 22 h 30, voire 12 h 50 ! En diverses oc- ceci : « de la taille d'une étoile mais plus jaune et à basse casions, une curieuse «lueur orange avait été vue dans le altitude, et qui bouge irrégulièrement. Ce n 'est donc pas un ciel ! Consulter «Le Dossier secret des OVNI Gallois», par satellite puisque la lumière change de cap ». ». Peter Paget, éd. du Rocher, 1983, pages 75 à 80. Pendant la durée du mois de décembre 1977. Côte Est Durant la première quinzaine de janvier 1977, les popu- des USA. Notamment le 02, le jeudi plus tard. lations côtières du Nord du Portugal assistèrent régulière- ment, entre 4 h 30 et 5 h, à des détonations ou claquements, Mois de décembre 1977, côte Est des USA. Les 02, 15, suivis de PHÉNOMÈNES VIBRATOIRES ! Tiré du journal 20, 22, et 24 du même mois ! Voir entre-autres, le journal «Le Républicain Lorrain», du 14 janvier 1977. «Le Parisien» du 20 décembre 1977. Dans son remarquable ouvrage « OVNI : Terre, planète À propos de cette affaire, voici ce qu'ajoute Jean Prachan sous contrôle », paru aux Editions « Alain Lefeuvre » en dans son ouvrage «Le Triangle des Bermudes, base secrète 1980, l'ami Guy Tarade nous dit ceci : des OVNI», éd. Belfond, paru en 1978. Pages 58-59 (extraits) : « Le 30 juillet 1977, alors Page 127 : « Or, des explosions, aussi retentissantes que que la nuit était tombée sur Madagascar, le ciel de l'île fut mystérieuses, se sont toujours produites au même endroit : soudain parcouru d'une vive lueur aux reflets jaunes et sur la côte Atlantique des USA ou au dessus du Triangle bleus, suivie d'un double « BANG » supersonique... L'ob- des Bermudes ! » servatoire national indiqua qu'un objet, dont il ne pouvait

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