ebook img

Le culte des saints en Egypte, des Byzantins aux Abbassides: l'apport des inscriptions et des papyrus grecs et coptes PDF

458 Pages·2001·2.962 MB·French
Save to my drive
Quick download
Download
Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.

Preview Le culte des saints en Egypte, des Byzantins aux Abbassides: l'apport des inscriptions et des papyrus grecs et coptes

LE CULTE DES SAINTS EN ÉGYPTE DES BYZANTINS AUX ABBASSIDES. L’APPORT DE LA DOCUMENTATION PAPYROLOGIQUE ET ÉPIGRAPHIQUE GRECQUE ET COPTE Arietta Papaconstantinou 2 AVANT-PROPOS Le présent ouvrage a été entrepris en 1989, après que Jean Gascou m’eut proposé d’étudier le culte des saints en Égypte à partir des papyrus, qui dans ce domaine restaient sous-exploités. Il a d’abord pris la forme d’une thèse de doctorat fondée sur la seule documentation grecque, et soutenue en 1993 devant l’Université des Sciences humaines de Strasbourg, aujourd’hui Université Marc Bloch. Lors de la soutenance, l’un des membres du jury exprima le voeu qu’un travail analogue fût conduit à partir des sources coptes. C’est ce à quoi je me suis depuis consacrée, de sorte que le travail qui sort aujourd’hui des presses prend en compte, à la fois, les papyrus et les inscriptions en langue grecque et leur équivalent en langue copte. Sous l’effet de cette extension de la documentation et de l’inévitable mûrissement des problèmes au contact de sources nouvelles, l’ouvrage initial a été entièrement repris, de sorte que le livre aujourd’hui imprimé diffère profondément, dans son plan, dans son contenu et, bien sûr, dans sa base documentaire, de la thèse qui lui a servi de point de départ. La préparation de ce livre a été facilitée par le concours de plusieurs insitutions. Ma gratitude va d’abord aux responsables et au personnel des bibliothèques où j’ai été amenée à travailler, qu’il s’agisse de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg, où les ressources du Fonds Drioton m’ont été généreusement ouvertes par M. Allioux, responsable du cabinet de numismatique, de la Bibliothèque Byzantine du Collège de France et de sa directrice Mme Piganiol, ou encore de la bibliothèque de l’École normale supérieure. Je me réjouis aussi d’avoir pu compter sur le concours de plusieurs institutions universitaires et de recherche: l’Université de Strasbourg, où j’ai eu pendant des années accès aux instituts de papyrologie, d’art et archéologie de Byzance et d’histoire des religions; puis à Paris le Centre d’histoire et civilisation de Byzance, qui a bien voulu m’accueillir parmi ses membres; et enfin le Dumbarton Oaks Center for Byzantine Studies qui m’a accueillie comme Summer Fellow en 1998 et m’a ainsi permis de faire franchir à la rédaction de ce travail une étape décisive. Je dois en outre à James P. Allen, du Département d’art égyptien du Metropolitan Museum of Art, d’avoir eu communication de la police copte utilisée dans cet ouvrage: qu’il soit ici vivement remercié. 3 Mes remerciements vont enfin à tous ceux qui, pendant ces années, m’ont fait bénéficier de leurs conseils ou de leurs remarques. Jean Gascou, qui a bien voulu lire à plusieurs reprises des extraits du manuscrit, m’a signalé pistes nouvelles et documents inédits, et m’a communiqué avant leur parution plusieurs de ses travaux en rapport avec mes recherches. Les remarques d’Ewa Wipszycka, qui avait été une lectrice très attentive de la première version de ce travail, ont profondément influencé son évolution ultérieure. Anne Boud’hors, Michael Featherstone et Constantin Zuckerman m’ont aidée à résoudre de délicats problèmes de traduction. Joëlle Beaucamp, Alain Desreumaux, Françoise Dunand, Denis Feissel, Pierre Maraval et Jean-Michel Spieser ont, à divers moments, lu la thèse ou d’autres versions de ce travail, et leurs commentaires m’ont permis de préciser mes idées et d’éviter des erreurs. A tous va ma plus vive reconnaissance, ainsi qu’à Bernard Flusin, qui ne m’a jamais ménagé son temps ni ses conseils et qui, en acceptant d’accueillir cet ouvrage dans la collection qu’il dirige, en a rendu possible la publication. A. P. 4 CONVENTIONS Les dépouillements sur lesquels repose ce travail ont été arrêtés fin 1997, et les publications recensées sont celles qui à cette date étaient disponibles dans les bibliothèques parisiennes. Le manuscrit lui-même a été achevé en juin 1999. Postérieurement à cette date, seules quelques publications ponctuelles ont pu être prises en considération. En revanche, il ne m’a pas été possible de tenir compte dans le commentaire de deux publications importantes pour mon sujet: le deuxième volume sur le monastère de Baouît, édité d’après les notes de Jean Clédat par Dominique Bénazeth et Marie-Hélène Rutschowskaya, et les actes du sixième congrès international d’études coptes qui s’est déroulé à Münster en 19961. Comme on le verra plus loin, cet ouvrage comporte deux parties: un inventaire, puis un commentaire de toutes les mentions relatives aux saints apparaissant dans la documentation papyrologique et épigraphique grecque et copte. Il relève de plusieurs disciplines entre lesquelles les échanges sont d’ordinaire assez réduits. Chacune possède, particulièrement en matière d’abréviations, ses propres conventions qui souvent ne sont connues que des seuls spécialistes. Parmi elles, les plus hermétiques sont celles des papyrologues, « hellénistes » ou « coptisants ». Plusieurs publications toutefois recensent les abréviations dont ces savants font usage pour citer leurs sources: j’y renvoie le lecteur désireux d’obtenir des informations complètes sur les collections de papyrus et sur leurs éditions2. Cependant, mue par le souci de faciliter le travail du lecteur en rendant ce livre aussi autonome que possible, j’ai pensé utile de donner un état des abréviations que j’ai moi- même utilisées, ce qui évitera aux personnes peu familiarisées avec la littérature papyrologique et épigraphique d’avoir recours à des ouvrages spéciaux, et m’a en outre permis d’intégrer dans un ordre alphabétique unique - par définition plus maniable - les abréviations correspondant à des publications ne figurant pas dans les répertoires existants. Il 1 J. Clédat, Le monastère et la nécropole de Baouît, éd. D. Bénazeth et M.-H. Rutschowkaya, Le Caire, 1999 (MIFAO, 111), et Ägypten und Nubien in spätantiker und christlicher Zeit. Akten des 6. Internationalen Koptologen-Kongresses, Münster, 20.-26. Juli 1996, II (=Sprachen und Kulturen des christlichen Orients, 6/2), éd. S. Emmel et al., Wiesbaden, 1999, p. 114-116. 2 Pour les papyrus coptes jusqu’en 1976, voir A.A. Schiller, A Checklist of Coptic Documents and Letters, BASP 13, 1976, p. 99-123; pour les grecs, J.F. Oates, R.S. Bagnall, W.H. Willis et K.A. Worp, Checklist of Editions of Greek Papyri and Ostraca, 3e édition, Chico, 1985 (BASP, Suppl. 4) et 4e édition, Atlanta, 1992 (BASP, Suppl. 7). 5 s’agit, dans la plupart des cas, de publications de sources épigraphiques dont j’ai abrégé les titres selon les principes suivis depuis plus d’un siècle par les papyrologues hellénistes. Les abréviations débutent habituellement par une lettre: P (papyrus), O (ostracon) ou I (inscription). Lorsque le texte considéré est publié dans un recueil, suit la mention soit du lieu de conservation du manuscrit correspondant (PLond), soit du lieu d’origine de ce document (POxy), soit de l’éditeur (ILef), soit de deux de ces éléments combinés entre eux (PHermRees, ICairoMilne). À l’intérieur d’un même recueil, chaque texte est ensuite identifié par un numéro d’ordre (ILef 474), précédé, s’il y a lieu, d’un numéro de volume (POxy 11.1357). En ce qui concerne les recueils, font exception au système qui vient d’être décrit, certaines publications qui s’abrègent d’après leur titre, sans la mention initiale P, O ou I: c’est le cas des recueils de papyrus coptes (KRU, CLT), mais aussi de certaines séries anciennes de papyrus grecs (SB, SPP, BGU). Pour les recueils de lampes enfin, la mention « Lampes » remplace la lettre initiale. Les abréviations de tous les grands recueils utilisés, qu’elles soient traditionnelles ou qu’elles aient été élaborées pour l’occasion, sont données dans une liste placée au début de ce livre. Restent les documents publiés isolément. Il y est fait référence à l’aide d’abréviations élaborées à partir des principes retenus pour les recueils: PVindob renverra, par exemple, à la publication d’un papyrus faisant partie de la collection conservée à la Bibliothèque de Vienne. Suit, en règle générale, le numéro d’inventaire du document à l’intérieur de cette collection (PVindob G 14043). Comme il ne s’agit pas de recueils, ces abréviations ne figurent pas dans la liste placée en tête du volume. Il convient, à leur sujet, de se reporter à la liste des documents se trouvant p. $$$. Les papyrus et les inscriptions ont souvent donné lieu à une importante bibliographie critique. Cette bibliographie, ainsi que, plus généralement, les informations relatives aux documents eux-mêmes, sont données une fois pour toutes dans la liste figurant p. $$$. La citation des textes a été simplifiée, afin de faciliter la lecture. Les crochets droits, qui indiquent une lacune, ont été maintenus seulement lorsque celle-ci n’a pas été comblée par les éditeurs, ou lorsque la restitution prête à discussion. Ils ont été supprimés lorsque le texte proposé était sûr, du moins du point de vue du sens. Les lettres pointées, c’est-à-dire présentes, mais non aisément identifiables, ont été considérées comme certaines, eu égard à la faible incidence de ce point pour mon propos. Les résolutions d’abréviations ont été placées entre parenthèses. L’orthographe n’a pas été normalisée, afin de laisser transparaître la diversité des niveaux sociaux et culturels auxquels mes textes renvoient. L’accentuation de certains mots égyptiens passés en grec - en particulier celle des noms propres et des titres apa et abba - est incertaine3: aussi, conformément à l’usage adopté par de nombreux papyrologues, j’ai renoncé à les accentuer. Lorsqu’une citation est tirée d’un document bref, la ligne n’est pas indiquée systématiquement; elle l’est toujours pour les citations extraites de textes plus longs. Le numéro de ligne est séparé de la référence du document par une virgule. 3 J’adopte ici le point de vue exprimé dans T. Derda et E. Wiszycka, L’emploi des titres abba, apa et papas das l’Égypte byzantine, JJP 24, 1994, p. 23-56. 6 En ce qui concerne l’inventaire proprement dit, les notices qui le composent sont présentées dans l’ordre alphabétique grec des noms des saints. Les lettres particulières au copte - en l’espèce, x et ¥ - ont été ajoutées à la fin. Chaque notice est subdivisée en plusieurs rubriques qui préfigurent les grandes articulations du commentaire. La première (signalée par le chiffre I) concerne la titulature du saint et regroupe les divers qualificatifs sous lesquels il apparaît dans les textes du corpus. La seconde (II) présente dans l’ordre alphabétique les lieux (ville, nome ou région) où le culte de ce saint est attesté. La rubrique III, où sont énumérées toutes les mentions relatives au saint contenues dans le corpus documentaire, forme la partie principale de chaque notice. Elle est elle-même subdivisée en quatre parties, portant chacune sur un type de mention. La rubrique III/1 présente celles qui ont trait aux établissements de toute nature nommés d’après le saint. Elles sont classées géographiquement, selon un ordre qui va du nord au sud de l’Égypte. Lorsque plusieurs établissements sont connus pour la même ville, ou la même région, chacun fait l’objet d’un paragraphe séparé, à la suite duquel se trouve la bibliographie correspondante. En III/2 sont réunies les mentions relatives à la fête ou aux fêtes célébrées en l’honneur du saint. Les invocations de toute nature sont regroupées dans la rubrique III/3, qui comprend des paragraphes séparés pour les prières et amulettes, les questions oraculaires, les épitaphes, les graffiti, les lampes, les ampoules, les inscriptions monumentales et les inscriptions votives diverses. Enfin les autres mentions, atypiques, indéterminées ou irréductibles à l’une ou l’autre des catégories précédentes, sont données en III/4. Le texte de chaque mention est donné dans la langue originale ainsi qu’en traduction française. Il est suivi de la référence du document placée entre parenthèses. Conçue comme un commentaire, la rubrique IV consiste non en une étude d’ensemble du saint et de son culte, mais avant tout en un essai d’identification fondé sur la confrontation des mentions contenues dans le corpus avec les renseignements provenant d’autres sources, principalement égyptiennes. On y trouvera, outre les commémoraisons du saint dans le synaxaire arabe et dans d’autres calendriers liturgiques ou monastiques (Baouît, Saqqara), diverses indications sur le dossier hagiographique de celui-ci. Sont également signalées, s’il y a lieu, les mentions de Vies ou de Passions contenues dans des inventaires de bibliothèques, ainsi que les mentions - extérieures au corpus - concernant d’éventuels lieux de culte situés à Alexandrie. Lorsque le saint est déjà connu par ailleurs, on s’efforce de mettre en valeur l’apport spécifique de la documentation papyrologique et épigraphique. S’il s’agit d’un non-Égyptien, on ne s’intéresse à son culte en dehors d’Égypte qu’autant que cela est nécessaire pour la compréhension de la documentation égyptienne. S’il s’agit d’un Égyptien, les indications relatives à son culte en dehors de son pays d’origine sont données en détail. L’iconographie n’est pas prise en considération, sauf lorsqu’elle aide à identifier le saint, ou à mieux cerner sa personnalité. Enfin les références complètes des publications citées en abrégé dans la rubrique se trouvent soit dans la bibliographie de la notice elle- même - en ce qui concerne la littérature portant exclusivement sur le saint -, soit dans la liste des abréviations placée en tête du volume - en ce qui concerne les publications d’un intérêt plus général. La bibliographie placée à la fin de chaque notice suit l’ordre alphabétique. Sans prétendre aucunement à l’exhaustivité, elle regroupe les éditions de certains textes du dossier 7 hagiographique du saint, ainsi que des études concernant ce dernier. Directement liée à la rubrique IV, elle ne comprend pas les travaux qui n’ont pas été utiles pour la rédaction de celle-ci. Les références précises des renvois aux notices du synaxaire arabe et aux typika du Monastère Blanc sont données en annexe (p. $$$), afin de ne pas alourdir inutilement le texte. Les noms de lieux sont donnés en français, à partir de leur forme grecque. Dans la bibliographie toutefois, ces toponymes apparaissent aussi en copte ou en arabe. Aussi une table de concordance entre noms grecs, coptes et arabes, limitée aux seules formes citées dans cet ouvrage, est donnée en annexe (p. $$$). 8 LISTE DES ABRÉVIATIONS I. REVUES, SÉRIES, COLLECTIONS, ENCYCLOPÉDIES AA.SS. : Acta Sanctorum. AB : Analecta Bollandiana. Revue critique d’hagiographie. Aegyptus Aegyptus. Rivista italiana di egittologia e di papirologia. AfP : Archiv für Papyrusforschung. ASAE : Annales du Service des antiquités de l’Égypte. BASP : Bulletin of the American Society of Papyrologists. BHG : Bibliotheca hagiographica graeca, éd. F.Halkin, Bruxelles, 1957. BHL : Bibliotheca hagiographica latina, éd. F.Halkin, Bruxelles, 1898-1901. BHO : Bibliotheca hagioraphica orientalis, éd. P.Peeters, Bruxelles, 1910. BiblSS : Bibliotheca Sanctorum, 13 vol., Rome, 1961-1970. BIFAO : Bulletin de l’Institut français d’archéologie orientale. BS(R)AA : Bulletin de la Société (royale) d’archéologie d’Alexandrie. BSAC : Bulletin de la Société d’archéologie copte. BZ : Byzantinische Zeitschrift. CANT : Corpus Apocryphorum Novi Testamenti CCSA : Corpus Christianorum. Series Apocryphorum. CdE : Chronique d’Égypte. CPG : Clavis patrum graecorum CoptEnc : The Coptic Encyclopaedia, 8 vol., éd. A. Atiya, New York, 1991. CSCO : Corpus scriptorum christianorum orientalium. DACL : Dictionnaire d’archéologie chrétienne et de liturgie, éd. F. Cabrol et H. Leclercq, Paris, 1907-1953. DOP : Dumbarton Oaks Papers. JbAC : Jahrbuch für Antike und Christentum. JEA : Journal of Egyptian Archaeology. JJP : Journal of Juristic Papyrology JÖB : Jahrbuch der österreichischen Byzantinistik. JThS : Journal of Theological Studies. MDAIK : Mitteilungen des Deutschen archäologischen Instituts, Abteilung Kairo. MGH : Monumenta Germaniae historica. MEFR : Mélanges d’archéologie et d’histoire publiés par l’École française de Rome. MEFRA : Mélanges de l’École française de Rome - Antiquité. MIFAO : Mémoires présentés par les membres de l’Institut français d’archéologie orientale. MMAFC : Mémoires publiés par les membres de la mission archéologique française au Caire. OCP : Orientalia christiana periodica. OLZ : Orientalische Literaturzeitschrift. PG : Patrologiae cursus completus, Series graeca, éd. J.-P.Migne. PO : Patrologia orientalis. PSBA : Proceedings of the Society of Biblical Archaeology. RAC : Reallexicon für Antike und Christentum. 9 RBK : Reallexikon zur Byzantinischen Kunst, éd. K. Wessel, Stuttgart, 1963- . REB : Revue des études byzantines. REG : Revue des études grecques. ROC : Revue de l’Orient chrétien. RQ : Römische Quartalschrift. RSO : Rivista degli studi orientali. SC : Sources chrétiennes. SH : Subsidia hagiographica. WZKM : Weiner Zeitschrift für die Kunde des Morgenlandes. ZÄSA : Zeitschrift für ägyptische Sprache und Altertumskunde. ZNTW : Zeitschrift für die neutestamentliche Wissenschaft. ZPE : Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik. II. COLLECTIONS DE PAPYRUS, OSTRAKA ET INSCRIPTIONS AMC 2 : C. Wessely, Les plus anciens monuments du christianisme écrits sur papyrus, PO 18, 1924, p. 343-511. AmpoulesLouvre : C. Metzger, Les ampoules à eulogie du Musée du Louvre, Paris, 1981. Arb : W.C. Till, Die koptischen Arbeitsverträge, Symbolae Raphaeli Taubenschlag dedicatae = Eos 48.1, 1956, p. 273-329. BGU 1 à 4 : Aegyptische Urkunden aus den königlichen Museen zu Berlin. Griechische Urkunden, I à IV, Berlin, 1895-1912. BGU 12 : H. Maehler, Aegyptische Urkunden aus den staatlichen Museen zu Berlin. Griechische Urkunden, XII, Papyri aus Hermupolis, Berlin, 1974. BKU 1 et 2 : Aegyptische Urkunden aus den königlichen Museen zu Berlin. Koptische Urkunden, I et II, Berlin, 1905 et 1904. BKU 3 : H. Satzinger, Ägyptische Urkunden aus den staatlichen Museen zu Berlin, Koptische Urkunden, III, Berlin, 1967-1968. BL : Berichtigungsliste der griechischen Papyrusurkunden aus Ägypten, commencé par F. Preisigke, continué par F. Bilabel et al., 1913- BM : W.E. Crum, Catalogue of the Coptic Manuscripts in the British Museum, Londres, 1905. BMHall : H.R. Hall, Coptic and Greek Texts of the Christian Period from Ostraca, Stelae, etc. in the British Museum, Londres, 1905. BoisLouvre : M.-H. Rutschowscaya, Musée du Louvre. Catalogue des bois de l’Égypte copte, Paris, 1986 (cf BE 1988, n° 897). Burg : W.C. Till, Die koptischen Bürgschaftsurkunden, BSAC 14, 1950-1957, p. 165-226. CLT : A.A. Schiller, Ten Coptic Legal Texts, New York, Metropolitan Museum of Art, 1932. CM : W.E. Crum, Catalogue général des antiquités égyptiennes du Musée du Caire, nos 8001-8741, Coptic monuments, Le Caire, 1902. CO : W.E. Crum, Coptic Ostraca from the Collections of the Egypt Exploration Fund, the Cairo Museum and Others, Londres, 1902. CPR 2 : J. Krall, Corpus Papyrorum Raineri, II, Koptische Texte, I, Rechtsurkunden, Vienne, 1859. CPR 4 : W.C. Till, Corpus Papyrorum Raineri, IV, Die koptischen Rechtsurkunden 10 der Papyrussammlung der Österreichischen Nationalbibliothek, Vienne, 1958. CPR 9 : J.M. Diethart, Corpus Papyrorum Raineri, IX, Griechische Texte, VI, Vienne, 1984. CPR 10 : H. Harrauer et al., Corpus Papyrorum Raineri, X, Griechische Texte, VII, Vienne, 1986. CPR 14 : G. Fantoni, Corpus Papyrorum Raineri, XIV, Griechische Texte, X, Greek Papyri of the Byzantine Period, Vienne, 1989. Ep : W.E. Crum, The Metropolitan Museum of Art Egyptian Expedition. The Monastery of Epiphanius at Thebes, II, Coptic Ostraca and Papyri, New York, 1926. Erb : W.C. Till, Erbrechtliche Untersuchungen auf Grund der koptischen Urkunden, (SBWien 229.2), Vienne, 1954. Feste : M. Vandoni, Feste pubbliche e private nei documenti greci, Milan, 1964. GLP 2 : K. Treu et T.J. Diethart, Griechische literarische Papyri christlichen Inhalts, II, Vienne, 1993 (MPER, 17). IBaouîtClédat : J. Clédat, Le monastère et la nécropole de Baouît, Le Caire, 1904 (MIFAO, 12). IBaouîtMasp : J. Maspero, Fouilles exécutées à Baouît, éd. É. Drioton, Le Caire, 1931 (MIFAO, 59). ICairoMilne : J.G. Milne, Catalogue général des antiquités égyptiennes du Musée du Caire. Nos 9201-9400, 26001-26123, 33001-33037. Greek Inscriptions, Oxford, 1905. IEsna 1 : S. Sauneron, Les ermitages chrétiens du désert d’Esna, I, Archéologie et inscriptions, Le Caire, 1972 (Fouilles de l’IFAO, 29/1). IFay 2 : É. Bernand, Recueil des inscriptions grecques du Fayoum, II, La « méris » de Thémistos, Le Caire, 1981 (IFAO, Bibliothèque d’étude, 79). ILef : G. Lefebvre, Recueil des inscriptions grecques chrétiennes d’Égypte, Paris, 1907. IPhil 2 : É. Bernand, Les inscriptions grecques et latines de Philae, II, Haut et Bas Empire, Paris, 1969. IPhoebCopt : Y. Abd al-Masîh, W. Till et O.H.E. KHS-Burmester, Coptic Graffiti and Inscriptions from the Monastery of Phoebammon, dans R. Rémondon, W.C. Till, Y. ‘Abd Al-Massîh et O.H.E. KHS-Burmester, Le monastère de Phoebammon dans la Thébaïde, II, Graffiti, inscriptions et ostraca, Le Caire, 1965 (Publ. de la SAC), p. 21-102. IPhoebGr : R. Rémondon, Graffiti grecs du monastère de Phoebammon, dans R. Rémondon, W.C. Till, Y. ‘Abd Al-Massîh et O.H.E. KHS-Burmester, Le monastère de Phoebammon dans la Thébaïde, II, Graffiti, inscriptions et ostraca, Le Caire, 1965 (Publ. de la SAC), p. 1-20. ISyring : J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des Rois ou Syringes à Thèbes, Le Caire, 1926 (MMIFAO, 42). KFM : O. Wulff, Königliche Museen zu Berlin. Beschreibung der Bildwerke der christlichen Epochen, III, Altchristliche und mittelalterliche byzantinische und italienische Bildwerke, I, Altchristliche Bildwerke, Berlin, 1909. KOW : W.C. Till, Die koptischen Ostraka der Papyrussammlung der Österreichischen Nationalbibliothek, (Denkschr.Wien, phil.-hist.Kl., 78.1), Vienne, 1960. KPTI : T. Orlandi, Koptische Papyri Theologischen Inhalts. Papiri copti di contenuto teologico, Vienne, 1974 (MPER, neue Serie, 9). KRT : W.C. Till, Die koptische Rechtsurkunden aus Theben, (SBWien, phil.- hist.Kl., 244.3), Vienne, 1964. KRU : W.E. Crum et G. Steindorff, Koptische Rechtsurkunden des achten Jahrhuderts aus Djême (Theben), I, Texte und Indices, Leipzig, 1912.

See more

The list of books you might like

Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.