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Preview Avertissements Agricoles - Grandes cultures - Centre - 1997 - 35

B u l l e t i n n ° 3 5 d u 2 6 / 1 1 / 9 7 et en cas de nouvelles pluies, le risque peut évoluer et amener à protéger les cultures en C o l z a préventif ( 11 de produit commercial à base de carbendazime) avant l ' entrée de F ' hiver. P u c e r o n s Les populations régressent, mais les puce- rons sont toujours présents, le plus souvent C é r é a l e s dilués dans une importante végétation. Loca- lement, cependant, dans des parcelles ayant P u c e r o n s G é r e r efficacité d e s souffert de la sécheresse de l'automne, on Les captures sont désormais très faibles à la interventions e t peut remarquer des ronds ou des pieds qui tour à succion : 11 pucerons la semaine passée jaunissent avec parfois des pertes de feuilles ; r é s i s t a n c e d e s m a l a - et 6 cette dernière semaine. L'expérimentation il s'agit vraisemblablement d'une interaction d i e s d e s c é r é a l e s : "pot piège" montre aucun pot porteur de virus sécheresse et nuisibilité directe des popula- ces deux dernières semaines. n o t e c o m m u n e I N R A - tions importantes de pucerons verts. Au champ, nos comptages ont montré très I T C F - S P V . M Des parcelles très colonisées méritent peu de parcelles avec des pucerons : L e p o i n t s u r le Piétin- toujours un nettoyage. Eure et Loir : Guillonville 0 %, Viabon 0 %, v e r s e e n r é g i o n C e n t r e S u i v i p h o m a Orgères en Beauce 0 %, Allaines 0 %, Fains la d a n s le p r o c h a i n Folie 0 %, Toury 0 %. Des projections importantes ont été notées Loiret : Donnery 0 %, Fay aux Loges 0 %, bulletin. sur la plupart des pièges du 20 au 24 novembre. Bougy lez Neuville 2 %, Teillay le GaudinO %. Les parcelles à risque (principalement dans le Indre : Vouillon 0%, Maron 0%, Sassierges Drouais Thymerais), ont dû recevoir une pro- 0 %, Arthon 0 %, Lothiers 0 %, Le Blanc 0 %, tection fongicide la semaine passée. Martizay 0 %, Azay le Ferron 0 %, Chatillon/ A u t r e s m a l a d i e s Indre 0 %. De l oïdium est toujours observe en Indre et Indre et Loire : Auzouer en Touraine 0 %, Loire en particulier à Ste Maure de Touraine, Autrèche 0 %, Verneuil le Château 0 %, près Reugny, Autrèche, Arthanes sur Indre et de 10 % de pieds porteurs sur une parcelle à Beaumont La Ronce, et signalé également à Gy Joué les Tours, quelques pucerons également les Nonains (45). Localement, à Ste Maure, à Sonzay. une parcelle bien touchée présente des jaunis- � Surveillez encore vos parcelles. Des situa- sements de pieds et des pertes de feuilles tions abritées peuvent justifier une interven- importantes. Ces attaques d'oïdium sont ex- tion en particulier en Indre et Loire : le seuil ceptionnelles et certainement liées à l'autom- retenu est de 10 % de pieds porteurs. En cas ne clément et sec. La présence d'alternaria sur defaibles infestations, ne laissez pas séjour- les feuilles (taches noires concentriques) est C O L Z A : S l M ner les pucerons plus de 10 jours. également notée dans certaines parcelles d'In- p h o m a : l e s E n b r e f dre et Loire. Des dégâts d'oscinies, par petits foyers, sont p r o j e c t i o n s . signalés à Auzouer en Touraine (37) et à l e s m a l a d i e s p e u S c l e r o t i n i a d u t r è f l e Varennes (45). Les symptômes sont analo- gues à ceux de la mouche grise ou mouche f r é q u e n t e s e n Message FNAMS/SRPV. jaune : feuille centrale qui jaunit avec présence Sclérotinia spécifique des trèfles et luzernes. c e t t e s a i s o n . d'un asticot à la base. La faible pluviométrie enregistrée en septem- M Pas d'intervention possible. bre-octobre et les gels marqués de fin octobre C E R E A L E S : T r è s n'ont pas favorisé la levée des apothécies R é s i s t a n c e a u x f o n g i c i d e s cette année. Dans le Cher, l'Eure et Loir, l'Indre Avec l ' arrivée de familles de fongicides à mode p e u l e p u c e r o n s et Loire et le Loir et Cher, on n'observe pas d'action nouveau, le nombre de partenaires a a c h a m p . S u r v e l l - encore d'apothécie sur les placettes d'obser- pour assurer la protection des céréales augmente. vation ; dans l'Indre, quelques observations l e z e n c o r e v o s La note commune (présentée pages suivantes) à Fontenay : sortie d'une apothécie le 14 INRA-ITCF-SPV fait le point sur la manière p a r c e l l e s . novembre et le 24 novembre, et à Vineuil, d'intégrer ces nouveautés tout en préservant la sorties d'apothécies le 19 novembre. Ceci tra- C i c a d e l l e s : F i n d u pérennité des solutions déjà existantes duit donc un faible risque de contamination de (inhibiteurs des stérols...). r i s q u e . sclerotinia actuellement. Si la douceur persiste N o t e c o m m u n e I N R A - I T C F - S P V R é s i s t a n c e d e s m a l a d i e s d e s c é r é a l e s a u x f o n g i c i d e s Cette note commune ITCF, SPVet INRA a pour objet de faire un état des lieux de nos connaissances et de nos interrogations, tant en France qu 'à l'étranger, sur la résistance aux fongicides en céréaliculture. Un inventaire de la situation est réalisé pour le piétin verse (fapesia yallundae et Tapesia acuformis), / 'ordium (Erysiphe graminis f. sp. tritici), la rouille brune (Puccinia recondita) et la septoriose (Septoria tritici) sur blé et pour l 'helminthosporise (Helminthosporium teres ), la rhynchosporiose (Rhynchosporium secalis) et l'oïdium (Erysiphe graminis f. sp. hordei) de l'orge. epuis les premières utilisations des fongicides systé différentes : Tapesia acuformis et Tapesia yallundae. Pour miques unisites dans les années 1970, un nombre garder un langage connu, ce sera aux différents types de souches D croissant de pathogènes des céréales ont acquis une qu'il sera fait référence dans cet exposé. résistance en pratique qui se traduit par une baisse significative Les souches lentes et rapides présentent des comportements de l'efficacité au champ. L ' exemple le plus significatif de baisse variables vis-à-vis des fongicides au niveau du champ, ce phé- rapide de sensibilité peut être illustré par le carbendazime qui a nomène est confirmé au niveau du laboratoire grâce à des tests constitué pendant une décennie le produit anti-piétin de base. de résistance mis au point par l'INRA. Ceci a conduit à décliner Cette résistance acquise rapidement est typiquement qualitative. une classification présentée dans le tableau 1. Fréquemment on assiste à un changement graduel de sensibilité. Ces dernières années ont été marquées par une extension des C'est le cas de l'oïdium du blé et des orges qui présente une souches IIp (lentes résistantes au prochloraze) et Ib (rapides résistance quantitative. Les premières souches d'oïdium du blé résistantes aux triazoles). présentant une sensibilité réduite aux triazoles ont été signalées Efficacités a u c h a m p il y a une douzaine d'année en France. Les échecs de traitements Depuis 1991, une baisse de l'efficacité du prochloraze est obser- au champ n'ont été reportés que lorsque les souches fortement vée dans le nord de la France, liée à l'extension des souches Hp. résistantes ont été assez nombreuses dans les populations. Les triazoles présentent des efficacités très variables selon les A priori tous les fongicides et tous les parasites sont potentiel- sites. lement exposés à la résistance acquise. De ce constat découle Les associations prochloraze et triazoles à spectre piétin verse deux notions différentes (voir encadré): corrigent en partie cette irrégularité dans les régions à souches � Une notion de stratégie pour limiter le développement de la rapides. résistance R e c o m m a n d a t i o n s M Une notion de gestion de l'efficacité pour faire face à un a Au Nord, les souches lentes dominent ainsi que leur résistance problème d'efficacité en pratique potentiellement lié à une résis- tance . au prochloraze. Les régions Nord Pas de Calais, Picardie et Haute Normandie présentent une fréquence de souches lentes supé- P i é t i n - v e r s e rieure à 50%, parmi lesquelles plus de 5 0% de souches résistantes au prochloraze. De plus, les souches Ib (résistantes aux triazoles) Le début des années 80 a été marqué par l'apparition de sont bien représentées parmi les souches rapides. Aussi, même souches résistantes aux benzimidazoles. Cette résistance s'est si les souches rapides refont leur apparition depuis deux ans dans installée rapidement et sa généralisation a conduit au retrait le département du Nord - Pas de Calais et si ceci s'accompagne de l'homologation de cette famille de fongicides vis-à-vis du d'une remontée d'efficacité du prochloraze il faut rester prudent piétin-verse en 1991. Aussi, face à ce phénomène, il convient quant à son utilisation. d'utiliser à bon escient les substances actives disponibles sur le marché pour éviter de nouveaux échecs. � Seul, le cyprodinilprésente une efficacité correcte et régu- lière. E t a t de la résistance � La région Champagne Ardenne et le nord de la Franche Comté Jusqu'à présent le champignon responsable de la maladie était présentent moins de souches lentes que les zones précédentes. appelé Pseudocercosporella herpotrichoides et présentait dif- Toutefois des souches IIp sont fréquemment détectées et par férents types de souches dénommées lentes et rapides ; derniè- rement, il a été démontré qu'il s'agit en réalité de deux espèces Recommandations générales pour minimiser le risque de développement de la résistance. � Eviter d'utiliser des variétés sensibles sur de grandes surfaces. Privilégier lorsque cela est possible les variétés tolérantes aux | maladies pour limiter l'utilisation des fongicides à risque et diminuer la pression de sélection. � Limiter le nombre d'applications chaque saison avec une même famille chimique. � Le positionnement des interventions devra être raisonné en fonction du développement réel des maladies grâce à des méthodes fiables d'observations et/ou de suivi des parasites permettant de ne traiter que si nécessaire (abandonner par conséquent les interventions non rentables). � Alterner dans les programmes de traitement des substances actives avec des modes d'action différents. Cela est plus facilement réalisable avec l'intégration des nouvelles familles chimiques sur céréales. Recommandations générales pour faire face à un problème d'efficacité en pratique potentiellement lié à une résistance. � Utiliser des associations de produits efficaces à mode d'action différent (exemples: triazole + morpholine dans le cas de Erysiphe graminis ; fongicide unisite + multisite dans le cas de Septoria tritici). ailleurs des souches le (rapi- Tableau 1 : Activité des fongicides suivant le type de souche. des résistantes au prochlora- ze) sont régulièrement obser- E s p è c e s Type de s o u c h e Triazoles Prochloraze C y p r o d i n i l vées. la + + + ^ L'utilisation de cyprodi- nil est vivement conseillée. Tapesia yallundae Rapide Ib + + Pour éviter l'augmentation - - + l c des souches résistantes au Tapesia acuformis Lente Ils - + + prochloraze il conviendrait de limiter son usage. IIp - - + � La Bourgogne et le Jura pré- sentent la même fréquence de Au laboratoire + : sensible - : résistant souches lentes et de souches Ib que les deux régions précédentes avec une fréquence de � Des cas d'échec de traitements de certains triazoles pour lutter souches IIp plus faible (10 à 30% parmi les souches lentes). Les contre S. tritici ont été observés dans le cadre expérimental sans souches IIp représentent donc un faible pourcentage du total des que les conditions d'applications puissent être mises en cause. souches. � En pratique, les triazolesjugés les plus efficaces conservent un L ' Ile de France et le Centre présentent une fréquence de souches bon niveau d'activité bien qu'il existe une résistance croisée lentes inférieure à 30%. Les souches rapides sont en moyenne à positive entre tous les triazoles. 50% résistantes aux triazoles. Les souches IIp sont en faible � Le recours à des associations de type triazoles + contact proportion, mais leur fréquence est en nette augmentation cette (notamment chlorothalonil) améliore et/ou régularise les perfor- dernière année dans l'Eure et Loiret le Loiret. A noter également mances au champ des triazoles. la présence de souches le. R e c o m m a n d a t i o n s En Bretagne, la fréquence de souches lentes est plus forte qu'en � Limiter les utilisations des triazoles et/ou les associer en ayant Champagne. Les souches IIp sont peu nombreuses et plus de recours à d'autres substances actives efficaces et à mode d'ac- 50% des souches rapides sont de type Ib. tion différent parmi les produits de contact ou les nouvelles � Il est prudent d'alterner cyprodinil et prochloraze. familles de fongicides (strobilurines). � Le Poitou Charentes et les Pays de Loire sont dans l'ensemble deux régions à souches rapides (moins de 20% de souches O ï d i u m lentes), Les résistances aux triazoles sont élevées (50% en Les méthodes de lutte contre les oïdiums des céréales font moyenne). Les souches lentes résistantes au prochloraze sont largement appel aux fongicides, même si le choix de variétés rares. moins sensibles, par exemple, permet de réduire le niveau des � Libre choix entre cyprodinil et prochloraze. attaques. La gamme desfongicides disponibles, jusqu 'ici pres- � Le Limousin et l'Aquitaine présentent une fréquence de sou- que exclusivement composée d'inhibiteurs de la biosynthèse ches lentes très faible (moins de 10%), les souches IIp sont desstérols, s 'élargit à de nouvellesf amilles chimiques (strobi- quasiment inexistantes. Les souches Ib ont une fréquence de lurines, phénoxyquinoléine). présence inférieure à 50%. Etat de la résistance � Pas de restriction. � La baisse de sensibilité aux fongicides inhibiteurs de la biosyn- thèse des stérols (IBS) existe depuis de nombreuses années. Ces grandes lignes de stratégie permettent de dresser un gra- � Dans le cas des triazoles, bien que la résistance soit croisée dient de risque vis à vis du prochloraze à l'échelle nationale, positive entre eux, les niveaux d'efficacité varient entre les mais ceci nivelle les disparités de distribution des souches différentes substances actives. observées au sein de chaque région. A ussi, la stratégie à mettre � Au sein du groupe des morpholines-pipéridines, les essais de en oeuvre vis à vis du piétin verse devra être affinée au niveau laboratoire indiquent une résistance croisée systématique entre de chaque région. fenpropimorphe et fenpropidine. Par contre, il n'y a pas de résistance croisée avec le tridémorphe. S e p t o r i a t r i t i c i e Toutes les souches actuellement étudiées sont sensibles au S. tritici est la maladie la plus fréquemment rencontrée en cyprodinil, au quinoxyfen et aux strobilurines. France. Les méthodes de lutte reposent uniquement sur l'utili- Efficacités a u c h a m p sation des fongicides et presque exclusivement sur les inhibi- 0 Depuis 3 années, l'efficacité des triazoles au champ s'accroît. teurs de la demethylation des stérols (triazoles). Cette évolution favorable des performances semble liée à une E t a t de la résistance augmentation de la sensibilité des souches d'oïdium mesurée en � Des travaux récents ( 1997) mettent en évidence l'existence en laboratoire. France de deux populations de sensibilité distincte à l'ensemble � Sur blé, la baisse d'efficacité du fenpropimorphe semble pou- des triazoles. voir être reliée à une baisse de la sensibilité au laboratoire ; la � La part largement dominante de la population la moins sensible fenpropidine ne semble pas affectée en pratique. Cette baisse des suggère qu'une dérive de sensibilité à l'ensemble des triazoles performances du fenpropimorphe se manifeste par une perte de vers des souches résistantes a déjà eu lieu. persistance d'action alors que les triazoles sont souvent effica- � Cette dérive de sensibilité globale d'une part et les différences ces plus longtemps. d'activité intrinsèque entre les triazoles d'autre part pourraient a Aucune baisse d'efficacité des morpholines et pipéridines n'a expliquer les baisses d'efficacité constatées sur le terrain pour été notée sur orge. certains d'entre eux depuis 1994. R e c o m m a n d a t i o n s � Le chlorothalonil et les nouvelles molécules de la famille des � optimiser le positionnement des spécialités appliquées en strobilurines ne présentent pas de sensibilité croisée avec les s'appuyant sur leur mode d'action préventif ou curatif. triazoles. � utiliser une substance active à mode d'action différent en cas Efficacités a u c h a m p de renouvellement des interventions. � utiliser toute la panoplie des fongicides disponibles, en in- cluant les plus récents. en évidence entre des souches prélevées avant 1990 et celles de � compte tenu de l'existence de souches résistantes simultané- 1994, testées surbromuconazole et flusilazole. ment aux triazoles et au fenpropimorphe, préférer les associations Efficacité a u c h a m p triazole + fenpropidine plus efficaces. a L'efficacité des triazoles quels qu'ils soient est considérée comme insuffisante dans les conditions du champ. R o u i l l e b r u n e � Bien qu'il y ait résistance croisée entre tous les triazoles, Les études menées depuis 5 années par le groupe de travail certaines de ces substances actives s'avèrent plus efficaces que « résistance des maladies des céréales aux fongicides» de l ' d'autres en pratique, mais nécessitent toutes d'être complétées ANPP montrent l'absence d'une quelconque dérive chez les pour obtenir des performances acceptables. inhibiteurs de la biosynthèse des stérols, tant au niveau effica- � Des molécules à mode d'action différent comme le cyprodinil cité qu 'au niveau de la sensibilité. ou des strobilurines offrent de bonnes efficacités. H e l m i n t h o s p o r i o s e R e c o m m a n d a t i o n s Il est conseillé d'avoir recours aux nouvelles substances actives d e f o r g e : strobilurines ou/et cyprodinil en utilisation solo ou en associa- tion avec des triazoles par exemple. L 'helminthosporiose de l'orge due à Helminthosporium teres est une maladie courante en végétation, dont la principale R h y n c h o s p o r i o s e période d'extension se situe vers le gonflement et l'épiaison. La Nous ne disposons actuellement d'aucune information concer- lutte se réalise par voie chimique en végétation. Depuis plus nant une éventuelle dérive de la sensibilité des souches de d une quinzaine d'années elle s'articuleprincipalement autour Rhynchosporium secalis aux benzimidazoles ou aux triazoles, des triazoles. L 'introduction du cyprodinil et des strobilurines bien que cette dérive ait déjà été signalée dans d'autres pays. a permis d'élargir la gamme des solutions. E t a t de la résistance PRINCIPAUX FONGICIDES FOUAIRES UTILISES SUR CEREALES � En Grande Bretagne, la sensibilité des sou- Type de fongicide Famille fongicide ou mode d'action (cible) ches a fait l'objet d'un 1 Ma-t ière active 1 Produits U N I S I T E S � suivi régulier en An- gleterre depuis la fin Inhibiteur de benzimidazole carbendazime I Nombreuses spécialités divisions mitotiques des années 70. Une thiophanate méthyl Inhibiteur de la biosynthèse dérive a été observée des stérols (IBS) vis à vis du triadiménol Inhibiteur de déméthylaftion Triazole bromuconazoie GRANIT vers des souches (C14 déméthytase) cyproconazole ALTO moins sensibles au difénoconazole GEYSER début des années diniconazole SUMISTAR* 1990. époxiconazole OPUS 0 En France, une perte fenbuconazole INDAR de sensibilité est mise ffuqulnconazole VIST A CT* flusilazole CAPITAN flutriafol IMPACT hexaconazole PLANETE metconazole CARAMBA propiconazole TILT 125 tébuconazo/e HORIZON tétraconazole ARPEGE triadlméfon BAYLETON triadiménol BA YFIDAN Imidazole prochloraze SPORTAK HF Piperazine triforine SAPROL Inhibiteur de la Morphollne fenpropimorphe CORBEL réductase/I soméra se tridémorphe CALIXINE (Â14 réductase, �8-�7 Isomérase) Pipéridine fenpropidine GARDIAN Inhibiteur de la respiration Strobilurines krésoxime-méthyle OGAM* (transfert d'électron du azoxystrobine AMISTAR cytochrome b vers le c)tochrome c) Inhibiteur de la synthèse Hydroxyrtmldlne éthyrimol HALLEY* des acides nucléiques Inhibiteur de la synthèse Anilino pyrimidines cyprodinil UNIX des acides aminés | M U L T I S I T E S Phthalonitrile chlorothalonll Nombreuses spécialités Dithiocarbamate mancozèbe Nombreuses spécialités manèbe L soufre Nombreuses spécialités M O D E D ' A C T I O N I N C O N N U Dicarboximide iprodione BUT* Phénoxyquinoléine quinoxyfen FORTRES3 * La matière active concernée est proposée commercialement associée à une autre matière active.

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